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BENJAMIN MURPHY • ft. Jamie Dornan
Invité

Réponses: 10
Vues: 260

Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: BENJAMIN MURPHY • ft. Jamie Dornan    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyDim 31 Oct - 14:37
Murphy Benjamin
Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville. Verlaine
{#}aboutme{/#}
38 ans 12/04/1983Atlanta en géorgie origines : irlandaises et américaines Veuf & Coeur Brisé En reconstruction professionelle.  $$$$$$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Lex. J'ai actuellement 38ans et je vis en France. Je joue comme personnage un Inventé avec Jamie Dornan comme avatar. Le forum je le connais grâce à Dev et c'est tout nouveau.. Je remercie également Tumblr pour les petites beautés.

{#}imtaken{/#}

Code:
▸ <reserve>Jamie Dornan</reserve> — @"Benjamin Murphy"

Confidentialité · Conditions générales
Codage fait pour LAAL. Merci de ne pas utiliser ailleurs.
Benjamin Murphy ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

80
Charismatique
90
Explosif
85
Intelligent
95
Colérique
60
Perfectionniste
100
Indiscipliné
Benjamin Murphy ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Mon chat, Malefoy
une maison hp
Gryffondor
un style de musique
Rock
de la nourriture
Gambas flambées au whisky

Lieux de vie
1983--> 2001 : Atlanta
2001-->2018 Miami
2018-->oct 2021 San Diego
oct 2021 --> New Life à L.A


 
Benjamin Murphy ● I Fall apart

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

1_ Je suis né à Atlanta, deuxième enfant d'un couple à la dérive qui s'est vite avéré incapable de faire face. Ça ne les a pas empêchés pour autant d'avoir deux autres fils ensuite. Brett l'aîné a assez vite considéré que c'était à lui de mettre de l'ordre dans ce bordel, ce qui passait selon lui par le fait de nous foutre des raclées dès qu'on lui désobéissait, donc tout le temps dans mon cas. Brody lui prenait parce qu'il ne répliquait pas et même si aujourd'hui je n'en suis pas franchement fier je n'étais pas le dernier pour lui coller une trempe... Billy je ne l'ai pas vraiment connu, c'était encore un chiard quand j'ai quitté la maison.
2_ Le début de ma scolarité a été assez aisé, j'avais la chance d'avoir un certain nombre de facilités donc d'apprendre facilement. Pour autant ça ne m'intéressait pas beaucoup. En grandissant j'ai rapidement préféré errer dans les rues avec quelques potes plus âgés... Je prenais des branlées mais je recommençais encore et encore parce que ce vent de liberté était nécessaire à ma survie psychique. Enfant du milieu, entre Brett qui jouait les piliers pour mon père et Brody qui attirait toute l'attention de notre mère, je ne récoltais que de l'indifférence. Avec le recul je me dis que je cherchais sans doute à ce que quelqu'un me pose des limites... A ce que quelqu'un tienne assez à moi pour stopper l'effroyable spirale dans laquelle je me jetais à cœur perdu... Soyons clairs, je n'ai trouvé personne !
3_ Quand j'avais 15 ans je n'allais quasiment plus en cours, je me faisais renvoyer du bahut en quasi permanence. Insolence, désobéissances, bagarres... Les prétextes étaient nombreux ! J'ai été renvoyé d'un nombre incalculable d'écoles jusqu'à ce qu'un prof plus malin que les autres n'utilise cette rage pour me mettre à la boxe. M'apprendre à encaisser? Inutile c'était mon quotidien, mais m'apprendre à rendre les coups ? J'ai adoré ça, à un point dingue. Le grand adolescent dégingandé, mal à l'aise dans son corps a pris du muscle. Brett étonnamment s'amusait moins à me taper dessus... D'un autre côté je faisais moins le con. J'enchaînais les entraînements et les combats. Le prof malin comme tout m'imposa alors une règle, pour continuer à boxer ma moyenne devait remonter et je devais être assidu en cours autant qu'à la salle. Sans ce gars, M. Tomlinson, Je me serais égaré...  
4_ Sans lui, mais aussi sans elle, Sofia. Je l'ai rencontré lors de ma première année à l'université à Miami. Tendre, douce, délicate comme une fleur. Je suis tombé littéralement sous son charme et on a rapidement vécu ensemble. Je bénéficiais d'une bourse grâce au sport et à M. Tomlinson. J'avais tout pour être heureux. Je me sentais apaisé en sa présence, elle me permettait de freiner mon impétuosité, elle me canalisait. J'étais fier de l'avoir à mon bras, j'avais l'impression que je pouvais conquérir le monde. Avec la boxe j'ai gagné un peu d'argent et j'ai mis à profit mes études de finance pour faire des placements. J'ai eu un peu de nez et énormément de chance, j'ai gagné gros, très gros. Mon compte est à au moins six chiffres depuis cette époque.
5_ J'ai validé deux masters pendant que Sofia finissait ses études pour devenir instit'. L'argent appelant l'argent on s'est retrouvés à la tête d'un joli pactole. Être à l'abri du besoin est une sensation que j'ai attendu pendant 27 ans, c'est tellement agréable de se sentir en sécurité... J'ai acheté une maison, immense, et je l'ai demandé en mariage! Elle m'a dit oui, faisant de moi le plus heureux des hommes. Exit mon côté taciturne et taiseux, bienvenue aux sourires et à la joie de vivre.
6_ On a négocié un moment, elle ne voulait pas que je n'invite personne de ma famille mais j'ai tenu bon. Je ne voulais personne d'autre dans ma vie ! Je voulais ma propre famille. J'avais une vie bien rythmée, organisée, entre ma femme, mon job, notre désir d'enfant, une entreprise à faire tourner. Un véritable requin dans un monde de requin à la tête d'une chaîne d'hôtel ciblant les indépendants en difficulté pour les racheter au plus bas prix et rénover pour faire du pognon. Rien d'illégal mais souvent immoral... Je m'en foutais, j'étais froid et détaché dans ma vie pro. Comme à la boxe, attendre l'ouverture, puis frapper, fort, sans hésitation. Vivre à Miami était un vrai bonheur, je découvrais l'océan et une douceur de vivre peu commune.
7_  On a eu beaucoup de mal à concevoir un bébé, Sofia a du se plier à un traitement de stimulation ovarienne. Long, fastidieux, éprouvant pour les nerfs... Jusqu'à ce qu'un matin elle me rejoigne dans notre chambre avec un petit paquet cadeau. Petite boîte contenant son test de grossesse... Je me rappelle encore du tsunami d'émotions, fierté, amour, peur de ne pas être à la hauteur, joie... Tout ça en même temps en une vague immense. Je l'ai prise dans mes bras et j'ai pleuré de joie, pour la première fois de ma vie. La seconde fois où les larmes se sont invitées c'était à l'hôpital quand j'ai entendu ce petit cœur battre. Je crois que ce son me hantera toujours...  On a su que c'était un garçon, on a même choisi son prénom, petit mot doux que je garde enfermé dans mon cœur, que je n'ai jamais confié à personne.  
8_ Ce petit garçon, je n'ai pas eu la chance de le voir grandir, pas pu le serrer dans mes bras... Je ne serais jamais père, je ne suis plus qu'un écorché vif à la dérive. Elle est morte, emportant notre enfant à naître, sur les rives d'un monde où je n'ai pas pu les suivre. C'est moi qui lui avait offert ce vol en hélicoptère. Elle devait rendre visite à sa mère et je ne voulais pas qu'elle roule plusieurs heures. Comble du comble, je craignais un accident... L'hélicoptère a eu un problème, avarie en vol qu'ils ont dit. Toutes nos condoléances qu'ils ont dit. Je ne comprenais pas, je voyais leurs lèvres bouger, je savais qu'ils me parlaient mais je ne comprenais pas. Je répétais ok ok mais laissez moi la voir. Est ce qu'elle va bien ? Mon esprit essayait de fermer la porte à L'Insoutenable vérité... Je ne la reverrais plus jamais.... Morte.... Quel mot idiot, laid et odieux. Un mot dégueulasse qui est venu détruire ma vie. Je suis resté mutique pendant les jours qui ont suivi leur mort, en pilote automatique, quasiment sans dormir. Je suis allé à l'enterrement, raide comme un piquet, au cimetière je suis resté agenouillé devant leur tombe pendant des heures entières sans que personne n'arrive à me faire bouger, ni les suppliques ni les menaces n'avaient le moindre effet. Quand mes larmes ont fini par se tarir je me suis levé, j'ai fermé les yeux, insultant mentalement toute force omnipotente qui aurait laissé faire ça, je me suis retourné et j'ai pris la route. Pendant une dizaine de minutes j'ai cru que je serais capable de rentrer chez nous et puis j'ai visualisé sa chambre, avec ces toutes petites chaussures sur la commode.... Je me suis arrêté juste à temps pour ne pas vomir dans la voiture. J'ai hurlé à la lune et j'ai pleuré encore avant de rouler, sans me retourner. J'ai tout abandonné, mes affaires, ma maison, mon boulot.
9_ J'ai fui, parce que c'était le seul moyen de ne pas mourir, de ne pas me flinguer... J'ai traversé tout le pays quasiment sans m'arrêter. J'aurais pu rentrer à Atlanta mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Retrouver la famille ? Quelle famille ? J'ai choisi Sans Diego, presque par défaut. Le seul truc que je savais c'est que je voulais retrouver l'océan et le bruit des vagues.
10_ J'étais pété de fric, je n'avais plus personne pour en profiter avec moi, plus personne à mettre à l'abri du besoin alors je me suis acheté un penthouse immense surplombant la ville et l'océan ainsi qu'un hôtel. Un palace vieillissant que j'ai entièrement repensé. C'est devenu toute ma vie. Le travail, jusqu'au bout de mes forces, jusqu'à m'abrutir pour ne plus penser...  Avec les années je ne peux même pas dire que la douleur est moins forte... Parce que je refuse de faire mon deuil, de me pencher sur la question... Je me contente de me saouler quand c'est insupportable et de baiser pour me sentir vivant. L'ennui c'est que j'ai beau ériger toutes les barrières du monde entre les autres et moi, je n'en suis pas moins humain, pas moins sensible. Mes émotions j'ai jamais su les nommer, encore moins les gérer... Sofia m'y aidait mais elle n'est plus là,. Depuis 3 ans, maintenant ... Une part de moi est morte avec elle.... Je ne suis plus que l'ombre de moi même.
Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Lawrence Crowford • Every fear you ever had about cops is gonna come true    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyDim 31 Oct - 0:29
Lawrence Crowford
This is my unit. My unit. I take the heat. I take the bullets. Is that clear?
{#}aboutme{/#}
57 ans 11/03/1964 New York Américaines Célibataire Sergent de police $$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Audrey. J'ai actuellement 22 ans et je vis à Orléans. Je joue comme personnage un Prélien de {@=696}Ezra O'Domhnaill{/@} avec Jason Beghe comme avatar. Le forum je le connais grâce à toujours la même histoire et je l'aime de tout mon coeur. Je remercie également Nilvenia pour les petites beautés.

{#}imtaken{/#}

Résa check
Confidentialité · Conditions générales
Codage fait pour LAAL. Merci de ne pas utiliser ailleurs.
Lawrence Crowford ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Attentionné
Défaut 1
Borné
Qualité 2
Gentil
Défaut 2
Vulgaire
Qualité 3
Drôle
Défaut 3
Rancunier
Lawrence Crowford ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Loup
une maison hp
Gryffondor
un style de musique
Rock
de la nourriture
Pâtes au Pesto

Quick facts about Lawrence
• Célibataire de longue date
• A un fils adoptif dont il est gaga
• Fume et boit très peu, mais apprécie un bon verre après le travail
• "Papa" de sa brigade
• Plus ou moins marié à son travail

 
Lawrence Crowford ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay. Lawrence Allen Crowford, né le 11 mars 1964 à New York. Le printemps, les arbres bourgeonnants, un petit vent frais, et l'arrivée du soleil. Tout aurait pu être parfait. Cependant, une ombre assombrit le tableau : La mère de Lawrence ne survécut pas à l'accouchement, après une grossesse tardive et compliquée. Le jeune Lawrence fut donc laissé aux bons soins de son père, qui n'avait absolument aucune idée de comment s'occuper de ce petit truc là.

Dès qu'il fut en âge de marcher, Lawrence fut incapable de rester en place. L'école ? Une épreuve quotidienne, pour cet enfant turbulent, qui prenait un certain plaisir à faire tourner chèvre ses instituteurs, à force de courir partout, amuser la galerie, et surtout être insolent. Ce que préférait le jeune garçon, c'était jouer avec les règles, dépasser les limites, marcher sur la ligne rouge, en dépit de l'éducation stricte octroyée par son père... Mais le petit Lawrence avait horreur des injustices, qu'on s'en prenne à plus faible que soi, si bien qu'il devint rapidement le chef de sa bande de copains, qui, dès l'école élémentaire, jouèrent les justiciers. Au moins, dans son école, il n'y avait ni racket, ni railleries. Lawrence était toujours là pour protéger les autres. Finalement, bien que turbulent et insolent, il n'avait pas mauvais fond.

Lawrence n'était qu'au collège lorsque son père fut renvoyé de la police, arrivant bien trop souvent ivre au poste. Cela faisait plusieurs années maintenant qu'il s'était mis à boire, de plus en plus souvent, rejetant la faute sur le jeune garçon et ses nombreuses bêtises, d'autant plus que ses notes n'étaient pas excellentes, et qu'il n'avait aucune idée de ce qu'il voulait faire de sa vie. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il ne voulait pas devenir comme son père, une épave alcoolique au chômage.
Mais son père n'avait pas que des mauvais côtés. Il essayait tant qu'il le pouvait de le pousser à réussir, le faire devenir un homme... Et après une énième mauvaise note rapportée par le collégien, et, trop ivre pour se contrôler, il lâcha la phrase de trop, celle qui brisa quelque chose entre eux : "Si t'es pas capable de faire des études, inscris-toi au moins au concours de la police, histoire d'au moins servir à quelque chose.".

Sur le coup, Lawrence l'avait très mal pris, mais arrivé à la fin du lycée, après avoir passé et obtenu (de justesse) son diplôme, ne sachant toujours pas quoi faire de sa vie, il s'inscrivit au concours d'entrée de la police de New York, sans grande conviction... Et fut accepté à l'académie de police. Son père y était peut-être pour quelque chose, mais quoi qu'il en soit, il ne voulait pas le savoir, étant en froid avec lui depuis la fin de son collège. Leur quotidien ressemblait plus à une colocation qu'à une relation père-fils. Ils ne se parlaient quasiment plus, ne mangeaient plus ensemble, et passaient tous leur temps enfermés dans leur chambre... Du moins jusqu'à ce que Lawrence ne déménage, tant pour se débarrasser de son père que pour prendre son indépendance. Après tout, il avait tout juste dix-huit ans, il pouvait bien se permettre de partir, ayant assez travaillé ces deux derniers étés pour payer au moins les six premiers mois de loyer de son nouveau chez-lui.

Lawrence ne pensait pas tomber amoureux de la police, et pourtant ce fut le cas. Il était une des plus jeunes recrues, et pourtant, il s'entendait très bien avec les autres, tant avec ses collègues qu'avec ses supérieurs. Et il y avait cette femme. Cette sublime policière aux traits hispaniques, un peu plus âgée que lui, belle à lui couper le souffle. Dès le premier regard, il s'était dit que c'était la bonne, que cette femme serait celle qui lui dirait oui. Elle s'appelait Carmen.

Comme s'il s'agissait du destin, Lawrence et Carmen se marièrent à peine un an après leur rencontre, alors que cette dernière était enceinte. Lawrence était jeune, il était immature, mais il allait être père, et c'était la plus belle chose qui puisse lui arriver, si bien qu'il avait même renoué des liens avec son propre père, qui avait entre temps arrêté de boire. L'idylle était parfaite. Cependant, cela ne dura pas. Carmen fit une fausse couche, et leur mariage commença à s'ébranler. Mais leur désir d'enfant était plus fort que cela. Ils suivirent donc une procédure d'adoption, qui fut un succès. Ils avaient à présent un fils... Un pansement sur un plus gros problème : il n'y avait plus d'amour entre Carmen et Lawrence. Et ce fut de pire en pire. Pas un jour ne passait sans qu'il n'y ait des cris et des pleurs. C'était très simple : ils ne se supportaient plus. Et ils avaient beau essayer de ne pas se disputer devant leur fils, leur colère était clairement palpable. Lawrence dormait sur le canapé depuis un bon moment maintenant, et s'occupait presque exclusivement de son fils quand il sortait de l'école, puisque Carmen disparaissait de plus en plus souvent, et quand elle rentrait, elle était étrangement de bonne humeur, comme si toute tension avait disparu. Et Lawrence n'était pas dupe. Il était jeune, et c'était son premier amour, mais il n'était pas stupide. Sa femme le trompait, et il pensait savoir avec qui. Ses collègues parlaient de plus en plus dans son dos, riaient de lui... Franc de nature, il demanda à sa femme si ce qu'il pensait était vrai. Il pensait qu'elle lui mentirait, mais non. Elle lui lâcha directement l'information comme s'il s'agissait d'un banal fait divers. Elle couchait avec d'autres membres de la brigade. Brigade qui l'avait vu grandir, devenir inspecteur, se marier, avoir un enfant...

Alors Lawrence décida de partir. Il chercha dans un premier temps un emploi, mais il voulait partir de cette ville. Son regard s'était porté sur Los Angeles. Du soleil toute l'année, de bonnes écoles pour son fils (parce que oui, s'il partait, il ne le laisserait pas derrière lui), et il était sûr de ne pas s'y ennuyer, avec tous les gangs qui régnaient en maître... Et un poste de sergent, le rang qu'il visait, venait de s'y libérer. Sans attendre, il y postula, et chercha d'emblée une maison ou un appartement. Après tout, s'il voulait partir vite, il fallait qu'il cherche tout de suite...
La réponse ne se fit pas attendre, il fit alors une demande de transfert pour le poste de sergent, et au vu de son début de carrière déjà prometteur, le chef de la police l'embaucha immédiatement.

Ce fut ainsi qu'il se retrouva propulsé dans une nouvelle vie, à un poste qu'il convoitait, au sein d'une ville dans laquelle il souhaitait vivre, divorcé, avec la garde exclusive de son enfant.

Aujourd'hui, âgé de cinquante-sept ans et en excellente santé, Lawrence est un vieux de la vieille de sa brigade, n'ayant pas changé ni de rang, ni de poste, se sentant parfaitement bien là où il se trouve. Fumeur occasionnel et petit buveur, sa fierté est de ne pas être tombé dans les vices de son père au même âge.

Papa un peu trop gâteau pour son fils, il le fait toujours passer avant tout, y compris à présent qu'il a pris son indépendance.
Jamais remarié, il n'a pas encore retrouvé l'envie de chercher sa moitié, bien qu'il n'y soit pas fermé. Plutôt dire que cela ne l'a plus vraiment intéressé, malgré l'insistance de son fils à ce sujet.

ADELINA Vacaresco • Sweet Dreams
Invité

Réponses: 13
Vues: 508

Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: ADELINA Vacaresco • Sweet Dreams    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyJeu 28 Oct - 18:43
Adelina Vacaresco
We live in a fantasy world, a world of illusion. The great task in life is to find reality.
{#}aboutme{/#}
27 ans 14 septembre 1994 Los Angeles Américaine d'origine roumaine Célibataire Journaliste $$$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Laura / Alessea. J'ai actuellement 24 ans et je vis en France en PACA. Je joue comme personnage un scénario de {@=167}Tomas Vacaresco{/@} avec Victoria Pedretti comme avatar. Le forum je le connais grâce à {@=830}Malia S. Harris{/@} et je vous LOVE Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 4195643965 . Je remercie également @wintcrdvst (tumblr) pour les petites beautés.

{#}imtaken{/#}

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Confidentialité · Conditions générales
Codage fait pour LAAL. Merci de ne pas utiliser ailleurs.
Adelina Vacaresco ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Protectrice
Défaut 1
Fière
Qualité 2
Ambitieuse
Défaut 2
Suceptible
Qualité 3
Pétillante
Défaut 3
Têtue
Adelina Vacaresco ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Louve
une maison hp
Gryffondor
un style de musique
Pop
de la nourriture
Du chocolat

Caractère
Adelina est une jeune femme souriante et plein d'entrain. Expressive serait le mot pour qualifier cette personnalité colorée. Elle s'implique à 100% dans ce qu'elle entreprend, quitte à des fois trop en faire. Son perfectionnisme fait d'elle une personne soigneuse mais facilement contrariée si les choses viennent à ne pas fonctionner comme elle l'aurait souhaité. Il faut dire que dès que la Vacaresco a une idée derrière la tête, il est difficile de lui faire changer d'avis. Fière et bornée, elle n'en démordra que si elle n'a pas d'autre choix. D'ailleurs, il est assez facile de la mettre en rogne mais ça ne dure de toute évidence jamais longtemps. Adelina sait prendre du recul, souvent après avoir agit de manière spontanée. Trop spontanée même. Il lui arrive de se laisser emporter et d'être prise de regrets l'instant d'après. Ou parfois pas, si la personne méritait de se faire incendier pour son comportement. Vous l'aurez compris, la jeune journaliste n'est pas du genre à se laisser prendre pour une imbécile et encore moins quand ça concerne ses proches.

Protectrice, elle se veut toujours présente pour ses frères, en particulier Andrei, le plus jeune de la fratrie. A l'écoute et de bon conseil, le bien fondé de sa famille est l'une de ses priorités. Ce côté tournée vers autrui se ressent également dans son quotidien, notamment dans ses activités en dehors du travail. Engagée pour différentes causes, elle n'hésite pas à dénoncer certaines pratiques et à mettre en lumières vérités qui dérangent dans des articles chocs qu'elle fait publier.

Mis à part son travail, Adelina apprécie prendre du temps pour elle. Voyager, sortir et s'aérer seule ou en bonne compagnie.

 
Adelina Vacaresco ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay. Le rêve américain.
Réalité ou fabulation ? Chacun est libre d'écrire son histoire, ou presque.

Fille d'immigrés roumains, ma famille est venue s'installer aux Etats-Unis après la mutation de ma mère dans un poste plus confortable d'enseignante il y a de cela une vingtaine d'années. Je n'étais même pas encore née quand mes parents et mes ainés sont arrivés ici, à L.A. J'ai moi-même vu le jour le 14 septembre 1994 et grandi dans une famille aimante, unie. La curiosité a toujours fait parti intégrante de moi, tant j'aimais observer mon environnement et m'amusait à essayer de lire parfois ce que j'avais sous la main sans forcément comprendre le sens des mots. Quelle ironie, de savoir que l'art de la sémantique deviendrait plus tard mon fer de lance. Une arme d'expression redoutable au service de ses lecteurs. J'avais tout pour m'épanouir dans cette société multiculturelle qui n'a de cesse de tantôt me fasciner, tantôt me révolter. Pourquoi les américains sont-ils incapables de solidarité plutôt qu'à l'indifférence ou pire, préfèrent vivre de l'individualisme ? Voilà une des questions à laquelle je tente de répondre en tant que journaliste.

En somme, je n'ai manqué de rien sauf de l'absence de ma grande sœur Julia. J'étais jeune à l'époque, très jeune pour comprendre. Je me souviens de vacances en montagne, d'une dispute et la dramatique nouvelle que je ne la reverrai plus jamais. Mes parents avaient fait de leur mieux pour préserver notre famille de cette tragédie. Mes frères, Isaac et Tomas, de me protéger de l'horrible vérité que je cherchais désespérément à connaitre jusqu'à aujourd'hui. En vain.

La recherche de la vérité.
Bien que mes convictions soient purement personnelles, elle est à mes yeux ce que doit être le vrai journalisme face à ce fléau que sont les fake news, le plus souvent aux bottes des politiques et des grands lobbys pour arranger leurs petites affaires. Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours eu cette force de caractère à vouloir combattre le juste. A l'école déjà en prenant la parole, et à travers mes écrits. J'aurais pu devenir avocate et défendre des intérêts à la barre. Seulement je savais au fond que ce n'était pas ma vocation. Grâce à ma famille, j'ai pu réaliser mes rêves. Intégrer une université et faire mes études de journalisme. Réussir dans mon travail est la plus belle des récompenses.

J'ai débuté dans divers petits journaux mais je n'ai jamais été aussi heureuse qu'aujourd'hui qu'avoir trouvé ma place dans les locaux réputés du Los Angeles Times, plus déterminée que jamais à mettre en lumière les sujets qui valent la peine d'être publiés, des plus divers au plus sulfureux. Qu'ils plaisent ou qu'ils fâchent.
Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Reagan Doyle • Collect moments, not things    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyMer 27 Oct - 18:55
Reagan Doyle
The power of imagination make us infinite
{#}aboutme{/#}
34 ans 08 octobre 1987Belfast, IrlandeAnglaiseCélibataireLieutenant à la criminelle$$$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Elise. J'ai actuellement 28 ans et je vis en FRANCE/REGION HAUTS DE FRANCE. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec CHYLER LEIGH comme avatar. Le forum je le connais grâce à PRD et je l'adore déjà. Je remercie également Crédits images/gifheroichollywood/gt-icons /alexdanversfbi/royal food/serie-80 /Lcigh

{#}imtaken{/#}

Résa check
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Codage fait pour LAAL. Merci de ne pas utiliser ailleurs.
Reagan Doyle ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Déterminée
Défaut 1
Têtue
Qualité 2
Attentionnée
Défaut 2
Rancunière
Qualité 3
Courageuse
Défaut 3
Méfiante
Reagan Doyle ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Lapin
une maison hp
Poufsouffle
un style de musique
Pop Rock
de la nourriture
Des lasagnes

Petit plus
Reagan possède une moto qu'elle adore conduire. Si vous lui laissez le choix entre la voiture et la moto, son choix est vite fait; Elle ne possède pas de voiture d'ailleurs. + Autrefois, elle avait les cheveux longs. Un jour, elle a décidé de couper ses cheveux parce qu'elle se sentait mieux ainsi. + Elle aime manger. Son plat préférés sont les pizza et son dessert préférés les glaces. Elle est une addict du chocolat (qu'il soit à manger ou à boire) et boit surtout du cappuccino comme café + Homosexuelle, ce n'est plus un secret pour personne. Elle l'assume depuis qu'elle la découvre, mais suite à des déceptions, elle ne croit plus au grand amour. + Elle déteste les sites/appli de rencontre, c'est une perte de temps pour elle et préfère largement faire sans. + Elle adore lire et écouter de la musique, mais il lui arrive de temps à autre d'aller au cinéma ou de regarder une série. + Elle est sportive, elle fait son jogging tout les matins avant d'aller travailler.

 
Reagan Doyle ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay.- Reagan est née en Irlande. Elle est la première enfant de ses parents et a une petite sœur, ce qui fait donc d'elle l'aînée. Reagan a vécu presque toute sa vie à Belfast, sa ville natale. Elle était très proche de sa sœur.

- Lorsqu'elle avait sept ans, sa petite sœur a été enlevée. Une enquête a été ouverte pour tenter de retrouver la petite fille, mais ça n'a jamais rien donné. Reagan s'est est toujours voulu de ne rien avoir vu, même encore aujourd'hui et pourtant, ses parents lui ont déjà dis qu'elle n'y était pour rien. Que ce n'était pas de sa faute.

- Les années ont passé et ses parents ont perdu l'espoir de retrouver leur deuxième fille un jour, mais pas Reagan. Elle sentait que sa sœur était toujours en vie. Elle a continué à la chercher, sans jamais rien trouver. Elle est même devenue flic pour ça.

- Lorsqu'elle était au lycée, elle a découvert qu'elle n'avait aucune attirance pour les hommes et qu'elle aimait les femmes. Lorsqu'elle en a parlé à ses parents, ils l'ont très bien pris et l'ont même soutenu.

- Elle a connu quelques histoires d'amour, mais elles se sont tous mal terminées. La dernière en date lui a fait perdre espoir. Tout aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle devait se marier et la femme avec qui elle partagé sa vie l'a trompé. Celle d'avant l'a quittée sans aucune explication et bien que Reagan est essayé d'en savoir plus à ce sujet, elle n'a jamais eu de réponse.

- Suite à sa récente rupture, Reagan à décidé de quitter son pays natal et à décidé de s'installer à Los Angeles, dans le quartier de Santa Monica. Elle a intégré la brigade criminelle du LAPD peu de temps après son arrivée en ville, c'est-à-dire il y a bientôt un mois maintenant.

- Reagan travaille pour la police depuis 10 ans maintenant. Comme tout le monde, elle a commencé en bas de l'échelle avant de gravir les échelons et d'être promu lieutenant l'an dernier.

Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Andrea Lewis • Je suis capitaine de mon âme, maître de mon destin    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyMer 27 Oct - 15:33
Andrea Lewis
petite citation
{#}aboutme{/#}
33 ans 25 juillet 1988 Los Angeles américaine célibataire infirmière $$$
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{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Marion. J'ai actuellement 35 ans et je vis à/en France/Alsace/67. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec Odette Annable comme avatar. Le forum je le connais grâce à ma partenaire qui va venir et magnifique design. Je remercie également Crédits images/gif twilixo, sixteensilverbullets, emxedits, series-80 et hawtcelebs

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Andrea Lewis ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

sociable
Sociable
jalouse
jalouse
sportive
sportive
gourmande
gourmande
fidèle
fidèle
n'aime pas les araignées et serpent
Andrea Lewis ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
un chien
une maison hp
POUFSOUFLE
un style de musique
de tout
de la nourriture
pizza

Petit titre ici
Andrea adore boire du lait froid - Elle adore le parfum café et chocolat noir en glace.  Elle déteste les motos, depuis qu'elle a perdu son frère dans un accident de la route. Même si s'est une adulte, elle adore toujours et encore les Walt Disney.

 
Andrea Lewis● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay.
1) Andrea est née à Los Angeles, son père est médecin orthopédique et sa mère , une mère au foyer. Cette dernière a préféré rester à la maison, pour s'occuper de son fils Ethan et de sa fille Andrea. Elle n'a jamais manqué de rien. Des parents toujours présents. Tout était parfait et Andrea était très heureuse. Elle a eu une enfance heureuse, son frère était plus âgé, deux ans les séparaient et pourtant, très fusionnel. Ethan et sa sœur dormaient ensembles étant petit. Elle ne voulait pas rester seule surtout les nuits d'orage. Elle n'aime pas les orages, surtout, s'ils sont forts. Encore maintenant, elle a peur des gros orages.

2) Andrea a voulu suivre les traces de son père. Elle voulait travailler à l'hôpital. Son père était un médecin réputé, c'était facile pour la jeune femme de trouver une place. Elle a fait ses études, réussies avec brio ses études afin de devenir infirmière. Elle travaille dans l'hôpital de son père et est fière d'elle.

3) Elle n'a jamais connu le grand amour. C'est pendant ses années de lycée, qu'elle rencontra une jeune femme. Le courant passa vite entre elles. Andrea découvrit son attirance pour les femmes. Elle l'avoua à ses parents, qui le prire bien. Malheureusement, la jeune femme mit fin à sa relation avec Andy, car ses parents ont eu une mutation.

4) C'est pendant ses études, qu'elle se découvre une attirance pour les femmes. D'abord, elle avait peur, mais petit à petit, elle se fit à l'idée d'aimer les femmes. Alors souvent, elle avait des aventures avec des hommes ou des femmes à l'hôpital même. La plupart du temps, c'était pendant sa pause ou le soir avant de rentrer chez elle.

5) Son frère décéda dans un accident de la route. Il rentrait de son boulot en moto, quand un chauffeur ivre lui fonça droit dessus. Il décéda sur le coup. Andrea se sentait triste et seule. Elle qui venait de perdre son ami, son frère.

6) Andrea est passé du côté obscur, on va dire.  À la mort de son frère, elle n'avait plus envie de rien. Andy s'est drogué et à couché dans un club de strip-tease. Elle a réussi à s'en sortir grâce avec ses parents. C'est un passage, qu'elle veut oublier et ne souhaite en parler à personne.

7l Andy espère trouver l'amour un jour. Mais elle se dit, elle le trouvera jamais. Mais elle ne se doute pas, qu'une femme va changer sa vie à jamais. Cette femme sera Reagan. Affaire à suivre.


Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: sam Reagan • I hope you're happy, but don't be happier.    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyJeu 21 Oct - 21:31
SAM REAGAN
someday i'll be everything to somebody else
{#}aboutme{/#}
32 ans 23 septembre 1989 Deep Cove, Canada canadiennes célibataire organisatrice de mariage, propriétaire de Ever After $$$$$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle GASOLINEHEART. J'ai actuellement 108 ANS  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 3323657340 et je vis dans UNE RÉGION TRÈS LOINTAINE. Je joue comme personnage un INVENTÉ (MAIS À VALIDER AVEC @"ROXY REAGAN" Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 83992723 avec SHANTEL VANSANTEN comme avatar. Le forum je le connais grâce à UNE AMIE  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 4176130315 et BIEN HÂTE DE RP AVEC VOUS Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 1747797886 . Je remercie également withoutpsd + tumblr pour les petites beautés.

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Sam Reagan ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
romantique
Défaut 1
têtue
Qualité 2
drôle
Défaut 2
maladroite
Qualité 3
déterminée
Défaut 3
impatiente
Sam Reagan ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
un chat
une maison hp
hufflepuff
un style de musique
pop/rock
de la nourriture
sushis

I'd say you broke my heart, but you broke much more than that.
(infos en vrac) elle est fan de la série friends ainsi que de toutes les sitcoms existantes + elle n'aime pas particulièrement se maquiller, mais elle regarde tout de même des tonnes de vidéos sur youtube parce qu'elle trouve que c'est un véritable art de regarder ceux qui le font + elle ne peut pas vivre sans son café le matin, elle n'est pas très matinale et donc il est préférable de ne pas lui adresser la parole avant qu'elle ait son café dans le corps + elle est très familiale, elle pourrait crever pour sa famille + c'est une grande romantique dans l'âme, elle rêve de se marier un jour surtout qu'elle voit les gens le faire à tous les jours avec son métiers + elle est fan de tous les sports, elle a été dans plusieurs équipes plus jeunes et maintenant elle n'est que supportaire + elle adore les pâtisseries + elle n'aime pas son véritable prénom alors elle préfère se faire appeler Sam par son entourage + elle a peur de l'océan ce qui est tout de même ironique puisqu'elle habite à Malibu tout près d'une plage + l'hiver elle aime bien passer du temps au Canada pour faire du snowboard ou du ski + elle adore tous les styles de musique + elle prend de longs bains lorsqu'elle a besoin de se reposer + elle est fan de vin, elle préfère le rouge, mais adore aussi le blanc + elle a déjà été coiffeuse avant de faire le métier qu'elle fait présentement + c'est une fan de sushis + elle rêve de faire le tour du monde + sa fête préférée est l'halloween bien qu'elle adore aussi Noël.

 
Sam Reagan ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay. (un) née un doux matin de septembre, Samantha Jules Reagan est une autre petite fille d'une très grande famille. ce n'est pas pour rien qu'elle a toujours été une personne très familiale. c'est dans un petit coin du Canada qu'elle a passée une bonne partie de son enfance. même encore aujourd'hui, ce pays a une place très importante dans sa vie et elle y va plutôt régulièrement puisqu'elle considère que cela fait partie d'elle. Sam a toujours été une jeune femme très dynamique. Déjà plus jeune, elle ne passait pas inaperçue grâce à son énergie débordante et son imagination incroyable. tout le monde croyait qu'elle deviendrait écrivaine tellement elle adorait inventer des histoires et créer des scénarios dans sa tête. elle s'est toujours très bien entendue avec sa famille et ses parents même si cela n'a pas toujours été simple pour tout le monde. c'est à l'âge de douze ans qu'elle est arrivée à Los Angeles avec le reste de la fratrie et ses parents. elle n'a pas tout de suite aimé l'endroit bien qu'elle a été obligée de s'habituer plutôt rapidement. elle était persuadée qu'elle quitterait cette ville aussitôt qu'elle aurait l'âge légale pour voler de ses propres ailes, mais l'idée d'être loin de sa famille ne l'intéressait pas du tout. (deux) à l'adolescence, elle était très solitaire. elle avait quelques amis, mais passait très inaperçue. Sam n'a jamais été du genre capitaine des cheerleader, très populaire avec tous les hommes à ses pieds. en fait, elle était beaucoup plus one of the boys puisqu'elle faisait partie de toutes les équipes sportives du lycée et tous les garçons qu'elle aimait lui disait qu'elle n'était qu'une amie. pourtant, la jeune femme était tellement romantique et rêvait de rencontrer le prince charmant, mais il faut croire que ce n'était pas pour elle. (trois) elle était très jeune lorsqu'elle est tombé amoureuse des mariages. c'était lorsqu'elle était encore au Canada, la famille avait été conviée au mariage de l'une de ses cousines et Sam était impressionnée de voir l'organisatrice de mariage gérer tous les problèmes et surtout, être aux côtés des mariés lors de la plus belle journée de leur vie. c'est exactement à ce moment-là qu'elle a su qu'elle voulait faire ça comme métier. elle est tout de même passionnée par plusieurs autres choses et malgré le fait qu'elle soit hyper occupée, elle trouve tout de même le temps d'écrire aussi un livre en plus de faire quelques chroniques dans un magazine. elle déteste n'avoir rien à faire Sam, surtout qu'elle n'a pas non plus d'hommes dans sa vie et donc elle consacre toute sa vie à ses boulots et ses proches. (quatre) le seul moment où elle a vraiment cru vivre son conte de fée date d'il y a deux ans. elle était en couple depuis déjà quelques années, elle était heureuse et surtout terriblement amoureuse. en fait, Sam elle était même en train de préparer son propre mariage. fiancée depuis un an déjà, elle devait se marier dans deux mois lorsqu'elle a découvert que son fiancé couchait avec l'une de ses meilleures amies depuis des mois déjà. détruite, anéantie, trahie, elle a disparu pendant quelques mois, ne voulant plus sortir de chez elle. seulement quelques personnes de son entourage son au courant de la véritable histoire parce qu'elle avait trop honte de dire la vérité Sam alors elle a préféré dire qu'ils ne s'aimaient plus alors qu'elle avait le coeur brisé. (cinq) elle a sa compagnie d'organisation de mariage depuis déjà un petit moment. Ever After fonctionne très bien, elle a énormément de clients et s'occupe de plusieurs mariages elle aussi en plus de gérer ses employés et la compagnie. Sam est surtout fière de tout ce qu'elle a accomplie, surtout que les mariages à Los Angeles, ça fonctionne très bien. encore à ce jour, elle est passionnée par tout ça, arrive toujours avec de bonnes idées originales pour ses clients parce qu'elle ne peut pas le nier, elle est amoureuse de l'amour.
Pablo Salazar • Infierno
Invité

Réponses: 15
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Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Pablo Salazar • Infierno    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyMar 19 Oct - 15:54
Pablo Salazar
Sobreviviendo en una realidad de la cual yo no podía ni escapar.
{#}aboutme{/#}
Iris Cape Royale, une fleur assez rare et chère, mais rien n’était trop beau pour elle. Il ne faisait pas que passer, il s’asseyait à chaque fois au pied de sa tombe au minium deux heures et il lui « parlait » de tout et de rien essentiellement, de sa vie, de ses souvenirs, de ses projets. Au passage, il lui a « dit » pour son homosexualité et Esteban. Après tout, elle ne pouvait pas le juger, elle était morte, même si Virginia ne l’aurait jamais fait. Malgré tout, ça avait fait du bien à Pablo de le dire enfin à « quelqu’un ». Sinon, il ne cherche pas plus que cela à connaître sa famille maternelle, ses grand-parents, ses tantes… Parce que sa famille maternelle, malheureusement pour eux… C’est celle de Mina, dont il se sentait bien plus proche puisqu'ils l'avaient accueilli sans concession tout comme elle. Avec les Gonzalez, il avait juste l’impression d’être un étranger malgré les efforts de chacun.

6. Pablo est homosexuel et l’a toujours été. Il le savait, depuis le début, et cela n’a jamais été un problème personnel pour lui. La chose s’est réellement confirmée après ce baiser échangé derrière l’église avec son amourette du moment, à l’âge de treize ans. Cependant, ayant grandi dans une famille très catholique et pieuse, Pablo a gardé sa sexualité secrète, ayant peur de la réaction de ses parents, comptant bien évidemment Mina là-dedans comme elle toujours été comme une mère pour lui. C’est pourquoi devant eux, et le reste de sa famille, il a toujours dit être hétérosexuel. De toute manière, vingt-neuf ans qu’il joue au caméléon, ce n’est plus un souci pour lui… Ou presque. Sachant cela, même s’il est loin d’être sa première relation, Esteban reste malgré tout son premier amour. Personne n’est au courant de son existence du sicario qui avait perturbé sa vie pendant un an, de 1996 à 1997, même pas son épouse. Il ne voulait pas en parler, de peur d’être jugé parce qu’il avait cautionné un temps les actions d’un narcos, parce qu’il avait profité de ce que cette violence lui apportait. Il avait honte de cette relation sur certains aspects, d’une part par rapport à sa mère et d’autre part pour sa toxicité et pour ne pas avoir été assez fort pour le repousser et l’exclure de sa vie dès la première gifle. Mais qui pouvait lui reprocher d’avoir été envoûté par le chant des sirènes à dix-sept ans ? Encore aujourd’hui, il est amoureux de lui, profondément, éperdument, mais Pablo se voile la face, bien que ses rêves s’acharnent à lui rappeler la dure réalité. Il n’aimera sûrement que lui. Comment oublier quelqu’un quand notre cœur vibre pour lui depuis vingt-quatre ans ? C’était impossible pour Pablo.

7. En parlant d’amour, venons-en à cette grande mascarade qu’est le mariage de Pablo et Elizabeth. Il l’avait rencontré à la fac, quand il était resté pour faire ses études aux Etats-Unis. Elle, elle était une étudiante brillante en droit, ayant pour rêve de devenir un jour district attorney (± procureur général). Lui prenait des cours du soir en droit en plus de son cursus en traduction et interprétariat juridique et financier. C’était là qu’ils s’étaient rencontrés et rapidement, ils étaient devenus comme cul et chemise comme on dit vulgairement. Elizabeth était née dans une famille très bourgeoise et ultra-conservatrice, où les femmes n’avaient leur place qu’au côté d’un homme, avec plein d’enfants autour d’elle et qui ne pouvait s’épanouir qu’à travers leur époux et la maternité. Ils étaient contents qu’elle fasse des études, mais… Seulement pour être la future épouse distinguée et intelligente (pas trop quand même) au bras de son puissant mari. Pour blaguer, quand ses parents l’appelaient, elle avait pour habitude de dire « Au secours, j’ai les années 40 qui m’appellent ! Mais pas envie d’y retourner ! » Seulement, il y avait un hic dans les rêves que les parents d’Elizabeth avaient pour leur fille: elle était lesbienne, féministe et carriériste. Dépendre d’un homme pour avancer dans la vie ? Ça lui donnait la nausée. Pablo admirait la force de sa meilleure amie à s’opposer à sa famille, tout en restant dans la diplomatie caractéristique de son milieu. Toutefois, dès qu’elle avait eu son diplôme en poche, sa famille lui mit une pression terrible pour qu’elle se marie, qu’elle fasse des enfants et qu’elle tienne enfin son rôle. Elle n’en pouvait plus, jusqu’à ce que Pablo eut cette idée « de génie ». « Et si on se mariait tous les deux ? » Elizabeth éclata de rire. « Mais mon ange, y a pas plus gay que nous deux ! On sera pas crédible une seule seconde ! » Même si Pablo était d’accord avec elle, il lui exposa son idée. « Écoute, c’est tout bénef’ pour nous. Ta famille, c’est Retour vers le Futur en 1857 et la mienne est aussi très catholique et ma mère c’est pas la première fois qu’elle me titille avec le mariage, quand est-ce que je lui ramène une belle-fille et tout le tintouin. Toi, tu sais que ta famille acceptera jamais ton homosexualité et moi…Je sais pas. Alors que si on se marie tous les deux…Ils nous foutent tous la paix et nous, on continue d’avoir nos relations comme on veut à côté. » Elle comprit tout de suite que Pablo lui proposait un mariage de façade pour se libérer de toutes ces conventions qu’elle rejetait en bloc. Et, dans la bouche des jeunes de vingt-trois ans qu’ils étaient, l’idée semblait parfaite. Alors Elizabeth, aussi dingue que Pablo, dit oui à cette idée complètement farfelue. Si les parents de la jeune femme étaient un peu attristés de voir que leur fille ne leur ramenait pas un yankee, bien blanc comme il faut, ils acceptaient néanmoins l’union. Quand Pablo fit l’annonce à ses parents, Mina a tellement crié de joie que même sur Pluton, on a dû l’entendre. Le mariage, prononcé en 2003, avait été simple et express, mais les voilà enfin débarrassés de la pression familiale. Comme prévu, chacun vivait ses histoires de son côté. Au départ, parce qu’ils étaient jeunes, ils s’amusaient et ça n’affectait pas leur mariage, mais en vieillissant, autant Pablo qu’Elisabeth, ils désiraient des relations un peu plus stables et sérieuses même si c’était compliqué dans la tête du Colombien. Et Elizabeth avait aussi d’autres désirs.

8. « Pablo, je veux un enfant. Avec toi. Avec mon meilleur ami. » C’était le seul cadeau qu’Elizabeth avait demandé le soir de ses vingt-sept ans, au moment du désert dans le restaurant où Pablo l’avait emmené. Sur le moment, il n’avait pas su quoi lui répondre. Il n’avait rien dit d’ailleurs. Il ne s’était jamais imaginé père. C’était quelque chose qui lui était totalement étranger et qui n’avait jamais suscité d’envie particulière chez lui. Un torrent de questions fourmillait dans sa tête. Comment allaient-ils faire ? Qu’allaient-ils dire à l’enfant ? Car Elizabeth semblait oublier qu’ils n’étaient pas un vrai couple. Était-ce sain de concevoir un enfant dans de telles conditions ? Qu’allait-il faire et dire si jamais il tombait sur un homme avait lequel il avait vraiment envie de s’émanciper et construire quelque chose ? Même pour Elizabeth ? Comment allait-elle faire si elle rencontrait l’amour ? Comment expliquer cette situation ubuesque à de possibles partenaires ? Comme Pablo et Elizabeth ne se cachaient jamais rien et qu’il y avait une très bonne communication entre eux, il n’hésita pas à lui en faire part. Cette conversation, elle dura des jours, des semaines même, mais Elizabeth avait finalement trouvé les bons arguments pour convaincre Pablo. Quand il lui demanda comment ils allaient si prendre pour concevoir cette enfant, la FIV se présenta tout de suite à eux. Le parcours fut très long et très difficile, surtout marqué par des échecs et des obstacles en tout genre qui ont beaucoup fait souffrir Elizabeth. Elle avait l’impression que c’était de sa faute, qu’elle était bonne à rien, qu’elle ne méritait peut-être pas d’être mère. Et Pablo était toujours là pour la soutenir et la rassurer. D’ailleurs, aux yeux de leur famille, bien évidemment que cette histoire de FIV était secrète et que tout le monde croyait qu’il le faisait avec la méthode naturelle. Après tout, ils étaient mariés non ? Quoi de plus normal ? Et forcément, puisque le bébé tardait à arriver, toute la pression était mise sur les épaules d’Elizabeth, mais Pablo n’était jamais le dernier pour la défendre. « Vous savez, peut-être que c’est moi qui ai un problème et que chez elle, tout va bien. Ou peut-être qu’on a tous les deux un problème ou bien encore qu’on est tout simplement pas "compatible." » On ne venait plus embêter Elizabeth ensuite. Encore plus quand, au bout de dix ans du parcours du combattant, elle annonça le tant attendu « Je suis enceinte! » à Pablo. Les deux étaient très heureux, leur famille encore plus. Ils nageaient dans le bonheur. Le 13 septembre 2016, la famille Salazar s’agrandissait avec la venue d’un petit garçon. « Comment tu veux l’appeler ? », demanda Elizabeth en regardant la petite frimousse de son bébé. Pour Pablo, la réponse était toute trouvée. « Esteban. » C’était sa façon à lui de lui rendre hommage et de faire en sorte que son souvenir ne s’efface jamais. Personne n’a connaissance de son histoire avec lui de toute façon et même si Pablo en venait à être jugé pour ça…Il s’en fiche. Rien ne pouvait perturber son bonheur.

9. « Pablo, j’ai rencontré quelqu’un. C’est la première fois que ça me fait cet effet-là, je crois que je suis vraiment amoureuse. Je… Je veux divorcer. » Si Elizabeth était enfin prête à 42 ans à s’assumer, à enfin vivre sa vie, c’était très loin d’être le cas de Pablo. Il avait peur que le secret explose, peur de ce qu’on penserait de lui, surtout sa famille, pas tant pour la révélation de son homosexualité, mais plus sur le mensonge qu’il avait entretenu pendant presque 20 ans sur son mariage. L’aveu de son homosexualité semblait même dérisoire à côté de son immense mensonge et de la façon dont il avait berné tout le monde depuis tant d’années. Puis que faire par rapport à leur fils ? Il n’avait que cinq ans, certes, mais il fallait quand même lui expliquer des choses, à sa hauteur d’enfant avec des mots d’enfants et ça, ni lui ni Elizabeth ne savaient comment s’y prendre. Il fallait l’épargner et le protéger autant que possible. Esteban, le mal nommé, était né dans de mauvaises conditions, dans un mensonge et Pablo et Elizabeth semblaient prendre conscience de la chose que maintenant. « C’était TON idée cet enfant Elizabeth ! Et par pur égoïsme, tu veux tout faire capoter alors que ça marchait bien jusqu’à maintenant. » Des mois que le « couple » s’enlisait dans des disputes interminables, se balançant des reproches complètement insensés… Leur amitié d’antan semblait si loin désormais et le divorce inévitable.

10. Dans un tout autre domaine, Pablo a profité de sa double nationalité et de son bilinguisme pour travailler en tant que traducteur et interprète assermenté au sein de la DEA. Son travail consiste essentiellement à traduire en anglais toutes les écoutes téléphoniques en espagnol récoltées au cours des enquêtes. Il traduit aussi tout un tas de documents juridiques, comme des comptes-rendus d’enquêtes ou de tribunaux en tout genre ainsi que tout un tas d’autres documents relatifs à des instructions dans les deux langues, surtout quand les équipes de DEA doivent travailler avec celles des pays concernés par les enquêtes visées par la lutte anti-drogues et cartels américaines. Il sert aussi d’interprète durant les interrogatoires, mais aussi au tribunal lorsque les deux parties interrogent les témoins ou même pour communiquer avec les équipes locales avec l’aide d’autres interprètes. Même s’il travaille essentiellement à Los Angeles, il a souvent été amené à se déplacer aux quatre coins des Etats-Unis, surtout dans le sud et aussi dans les pays d’Amérique Latine et du Sud, quand l’équipe à laquelle il était rattaché devait se rendre sur place. Avec le temps et la réputation exemplaire qu’il s’était bâtie, c’était toujours Pablo que la DEA appelait en premier quand leurs affaires nécessitaient l’intervention d’un traducteur-interprète. Après tout, qui de mieux placé que lui pour intervenir dans ce genre de cas, lui qui avait été au cœur du système pendant un an ? Certes, c’était peu, mais cette unique année avec Esteban lui avait permis de reconnaître les tics, les codes et le langage des narcos, même si sa carrière lui avait appris bien plus de chose encore. Il se plaisait dans cette tâche, parce qu’il avait l’impression d’être utile et de rendre, à son niveau, justice à sa mère et à Esteban, tous les deux victimes à des degrés différents du trafic de drogue et de la violence des cartels qui gangrènent depuis tant d’années le sud du continent.
Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Francisco Nguyen • Un peu de lumière dans ce monde    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyLun 18 Oct - 23:23
Nguyen & Francisco
petite citation
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34 ans 03 décembre 1986 Los Angeles Philippino-espano-américain, oui c'est un almagame particulier pour un homme exceptionnel Fiancé Dentiste pour les stars $$$$$$$$
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Hello, hello, moi je m'appelle PIGEON. J'ai actuellement 30 ans et je vis à/en Canbéc, comme le dirait l'autre. Je joue comme personnage un INVENTÉ/PRÉ-LIEN NON OFFICIEL avec DARREN CRISS comme avatar. Le forum je le connais grâce à UNE JOUEUSE QUI N'EST PLUS ICI et À CHAQUE PERSONNAGE, JE DIS QUE C'EST LE DERNIER...ET JE FINI TOUJOURS PAR EN CRÉER UN AUTRE...ET UN AUTRE...ET UN AUTRE.... Je remercie également Crédits images/gif pour les petites beautés.

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Résa check
Confidentialité · Conditions générales
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Nguyen & Francisco ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Facétieux
Défaut 1
Dépensier
Qualité 2
Charismatique
Défaut 2
Lunatique
Qualité 3
Spontané
Défaut 3
Indépendant
Nguyen & Francisco ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Panda roux
une maison hp
Serdaigle
un style de musique
Comédie musicale
de la nourriture
Un caramel

Petit titre ici

☆ Il a été chanteur principal dans un boy's band lorsqu'il était adolescent.  Les Magics summer Boys étaient très populaires et célèbres,  ils ont fait 2 tournées mondiales avant de se séparer. Les magasines People n'ont jamais été capable de connaître la raison de la séparation du groupe et prédisait une magnifique carrière solo à Francisco  sauf que ce dernier n'essaya jamais d'en démarrer une.

☆ Il est physiquement incapable de faire des clin d'oeil.

☆ Il déconstruit souvent les proverbes. Il n'est pas rare de l'entendre massacré des dictons.

☆ il danse souvent n'importe quand et sans raison.



 
Nguyen & Francisco ● 1 mn

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Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay.
• Jamais l’étrange couple Nguyen ne pensait avoir un enfant, un jour. Pas parce qu’ils ne chérissaient pas le rêve ultime d’avoir un prolongement d’eux même, mais simplement parce qu’ils se savaient en situation financière précaire et parce que Naya O’Hara était stérile. Une femme n’ayant aucun ovule ne peut pas enfanter, n’est-ce pas?

• Sang Oh Nguyen est un immigrant philippin-espagnol qui a obtenu la nationalité américaine grâce à son mariage avec une femme de ce pays renommé pour sa liberté. Ce fut le coup de foudre dès les premiers instants. Sang Oh quitta donc sa vie confortable dans son pays pour emménager à Los Angeles, où ses études d’enseignant ne furent pas reconnues. Par nécessité, il devint serveur dans le même petit restaurant où travaillait Naya.

• Ça faisait presque dix ans que le couple était marié lorsque l’impossible se produisit. N’ayant pas d’assurance pour couvrir les frais d’hôpitaux, Naya refusa obstinément que son mari -fou d’inquiétude- l’amène à l’hôpital alors qu’elle se tordait de douleur dans le lit. Après des mois étranges et une douleur abdominal affreuse, Naya mis au monde un bébé prématuré de quelques semaines, à son plus grand étonnement. En effet, elle ne se savait pas enceinte et n’avait jamais vu de changement hormonal dans son état puisqu’elle n’ovulait pas depuis des années. Bien sûr, elle avait pris un peu de poids, mais rien n’effrayant.

• L’enfant, bien que prématuré, était en parfaite santé. Après avoir dépassé la surprise initiale, le couple fut extatique de voir que leur union avait reçu la bénédiction divine de Dieu. Le petit garçon fut nommé Francisco comme le père de Naya, celui qui leur avait légué sa petite maison à sa mort.

• Le couple, loin de roulé sur l’or, redoublèrent d’effort afin de gagner un peu d’argent supplémentaire. Ils savaient que jamais ils ne seraient riches, mais ils se firent la promesse que jamais leur fils ne manquerait de rien.

• L’argent mis de côté afin que Sang puisse faire ses études en enseignement afin de faire reconnaître ses diplômes en Amérique fut dépensé afin d’acheté tout le matériel de base pour bien s’occuper d’un enfant : vêtements, meubles, poussettes, biberons, lait. Les finances du couple furent mises à rudes épreuves.

• Francisco portait souvent des vêtements de secondes mains, mais ils étaient en bon états et propres. Les friperies des alentours devinrent rapidement les boutiques préférées de Naya qui apprit également à coudre pour confectionner également quelques vêtements « neufs » pour son fils. Les sorties de famille étaient rares vu que la famille Nguyen se devaient d’économiser chaque sou, mais ça ne les empêchait pas de passer beaucoup de temps ensemble et de s’aimer énormément. L’argent n’était rien puisqu’ils étaient ensemble.

• À l’école, Francisco montra rapidement son intelligence remarquable. Toujours souriant, gentil et prêt à aider, il était premier de classe sans nécessairement faire des efforts. Il avait de la facilité pour tout ce qu’il faisait et son comportement enjoué et altruiste le rendait sympathique aux yeux des autres. Bien sûr, il remarquait aisément que ses vêtements étaient moins neufs que ceux de ses camarades et qu’ils n’avaient pas autant de jouet beaux et neufs que ses amis, mais il s’en fichait. Il savait que ses parents travaillaient fort et il n’avait jamais été malheureux.

• Ce fut lorsqu’il entra au secondaire que sa popularité disparue. Les enfants innocents qu’ils avaient tous été vieillirent et même si lui garda sa personnalité joyeuse et aimante, les jugements concernant ses vêtements et sa situation financières lui valurent des moqueries et même de l’intimidation. Pourtant, il continua à s’accrocher, à conserver son sourire et à aider tout ceux qui en avait besoin. On le voyait souvent aider les élèves en difficultés dans certaines matières, même à ceux qui se moquaient de lui.

• Ses enseignants lui ont souvent mentionné qu’avec ses capacités intellectuelles, il mériterait un enseignement meilleur que ce que pouvait lui procurer l’école publique du quartier qu’il fréquentait, mais ses parents n’avaient pas les moyens de lui en donner plus et Franscisco ne réclama jamais autre chose. Parce que réclamer n’était pas son genre.

• Ce fut lorsqu’il eut seize ans que sa vie et celle de sa famille changea. Au spectacle de fin d’année, alors qu’il bossait à l’arrière-scène, le groupe qui l’intimidait le poussa sur scène et réclama qu’il divertisse tout le monde, l’empêchant même de quitter la scène lorsqu’il essaya. Les adultes responsables étaient trop occupés à discuter ensemble pour comprendre ce qui se passait. En désespoir de cause, Francisco commença à chanter et danser et ce fut une explosion d’émerveillement.

• Du jour au lendemain, Francisco passa du sympathique étudiant intellectuel et intimidé à la bête de scène charismatique qui s’était révélé sur scène. L’intimidation cessa. Jamais Franky n’avait pas pensé se produire plus que cette fois où il y avait été obligé, mais un recruteur de talent l’approcha pour le faire entrer dans un groupe.

• Il lui fallut quelques jours pour réfléchir à la proposition, mais ce fut finalement le montant associer au contrat qui le convainquit d’essayer. Parce que le restaurant où bossait ses parents venaient de fermer et que la récession économique faisait qu’ils avaient de la difficulté à se retrouver du travail.

• Le groupe devint populaire quasi instantanément et enchaina les tubes. Franky mis une pause à ses études en établissement pour partir en tournée et enchainer les spectacles, mais là où les musiciens du groupe s’amusaient et faisaient la fête, Francisco poursuivait son éducation avec des précepteurs.

• Le groupe fit deux tournées, jouèrent dans tous les pays de ce monde et se séparèrent à la demande de Franky. Parce que ses camarades sombraient de plus en plus sur une voie qui ne le représentait pas et où il ne se sentait pas bien. Il les voyait se détruire à coup d’alcool, de drogue et de fêtes et que souvent, des engueulades violentes éclataient lorsqu’il tentait de les raisonner. Alors il quitta le groupe. Vu qu’il était le chanteur, le groupe fut automatiquement décimé.

• Vu l’argent qu’il avait gagné pendant cette carrière mondiale, il décida de s’inscrire à l’université et donna le reste à ses parents pour leur offrir un confort auquel ils n’avaient jamais espéré prétendre vu qu’ils avaient tout sacrifié pour lui.

• Au bout de plusieurs années d’études, il devint dentiste et établis son cabinet dans le NorthEast de Los Angeles. Il ne fallut pas longtemps avant qu’il devienne populaire auprès des célébrités. Sa clientèle devint de plus en plus diversifiée et pourtant, il n’oublia jamais d’où il venait. Les soins bucco-dentaires coutent extrêmement cher en Amérique, mais il offrait souvent des soins pro-bono à ceux qui n’avaient pas les moyens de se les offrir. Il redonnait à la société la chance qu’il avait eu.

• Ce fut alors qu’il installait des broches à une cliente bénéficiaire d’un de ses actes pro-bono qu’il rencontra Catalina Camacho. Cette jeune femme avait un regard si désespéré et triste que ça lui brisa le cœur. Il tenta de la faire sourire, mais rien à y faire. Une fois partit, il ne cessa de penser à elle. Pour lui, aucun humain ne devrait être aussi triste et il voulait l’aider à aller mieux. Il lui proposa un café et lui demanda la cause de sa tristesse. Elle lui expliqua qu’elle enceinte et amoureuse d’un pompier américain qui était décédé dans un incendie particulièrement violent. Qu’ils étaient censés se marier pour qu’elle obtienne la citoyenneté américaine et que maintenant, elle était menacée d’être renvoyé dans son pays, la Colombie.

• Dans son regard angoissé, Francisco revit l’histoire de ses parents. Il proposa donc ce qui lui semblait juste de faire : Il la fiança. Pourquoi faire ça pour une inconnue? Pourquoi pas, vous répondra-t-il. Il lui proposa un mariage suivit d’un divorce lorsqu’elle obtiendrait son visa permanent et c’est ainsi qu’il se retrouva à planifier un mariage avec une inconnue afin de lui offrir une chance de bonheur à son enfant et elle.

• Il ne savait néanmoins pas que le pompier déclaré mort n’était pas le véritable fiancé de Catalina, mais un collègue qui s’était trompé de veste de pompier. Le véritable fiancé de Catalina est bel et bien vivant, hospitalisé et incapable de parler. Ils le découvriront plus tard et, heureusement, avant le mariage. (sera joué sur le forum en rp. Pour l’instant, il est fiancé à Catalina et en préparation du mariage).

Milo Wright • Heart melting tornado.
Invité

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Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Milo Wright • Heart melting tornado.    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptyDim 10 Oct - 11:13
Milo Wright
if you want the rainbow, you have to put up with the rain
{#}aboutme{/#}
61 ans. 18 Janvier 1960. Los Angeles. Britannico-italien. En couple avec Alexander. Ecrivain (polars), criminologue à la retraite. $$$$
{#}photos{/#}
{#}myreallife{/#}
Hello, hello, moi je m'appelle Syato. J'ai actuellement 27 ans et je vis à/en Dans le sud-ouest français. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec Ralph Fiennes comme avatar. Le forum je le connais grâce à Alexander qui m'a montré le chemin   I love you et j'ai hâte de développer Milo parmi vouuus  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 348917934 . Je remercie également Crédits images/gif pour les petites beautés.

{#}imtaken{/#}

resa check
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Milo Wright ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Cultivé
Défaut 1
Fier
Qualité 2
Ambitieux
Défaut 2
Secret
Qualité 3
Ouvert
Défaut 3
Superficiel
Milo Wright ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Un renard
une maison hp
Gryffondor
un style de musique
Du Jazz
de la nourriture
Une tarte au chocolat

Trivia en vrac
• Natif du coeur de Los Angeles, d'une couche un peu plus populaire que le reste de ses voisins, Milo est l'aîné d'une fratrie disparate, aujourd'hui étendue aux quatre coins du monde : son petit frère Daniel vit en Suisse depuis une vingtaine d'années où il tient une chaîne d'hôtels réputées, et sa sœur Linda joue de ses aiguilles à Tokyo où elle a explosée en tant que styliste en vogue. Les trois enfants Wright, en dépit de leur éducation dans un milieu modeste, se sont aujourd'hui hissés dans les hauteurs d'une société conquise, où leur nom brille désormais.

• Garçon turbulent et particulièrement malin, il était un élément fédérateur de son voisinage, toujours à fomenter des plans tordus avec la même bande de copains pour s'amuser et se déjouer de l'autorité des adultes. Le seul qu'il respectait et craignait un tant soit peu, c'était son père. Un homme bourru qui le condamnait à travailler avec lui quand son fils séchait les cours, vissé derrière le comptoir de son petit bar familial. Une volonté de lui mettre un peu de plomb dans la cervelle. La tentative s'est soldée par un semi-échec : Milo s'est certes un peu plus discipliné, mais a surtout appris à observer les clients, leurs aspirations, leurs motivations. Les questionner de « pourquoi ? » intempestifs était devenu un nouveau passe-temps bien plus lucratif que de voler des bonbons. Étrangement, ce sont ces punitions paternelles qui ont fait naître cette passion de la psychologie, qui l'accompagne encore aujourd'hui.

• Conscient très tôt de son penchant incliné vers les sourires des hommes autant que vers ceux des demoiselles, il n'a cependant pu l'exprimer qu'en s'extirpant du carcan familial en entrant l'université. Cette libération sexuelle, couplée à sa jeunesse fougueuse, ce cocktail détonant est parvenue à faire vriller tout un tas de tête et lui construire une réputation solide de Don Juan intempestif. Comportement qui, s'il s'est plus ou moins calmé aujourd'hui, demeure cependant comme une ombre dans ses faits et gestes. Il a ce besoin compulsif de charmer son entourage, que sa valeur soit reconnue, enviée. Et se sentir au centre d'un monde qu'il aime à conquérir.

• C'est à vingt-deux ans qu'il fait la connaissance de celle qui deviendra sa promise, sa moitié, son double au féminin. Helen est splendide, mais avant tout, dotée d'un magnétisme aussi terrible que fascinant. Fille de médecin, elle suit les traces de son père et se destine à une brillante carrière de chirurgienne. Ambitieuse, fatale, rusée, c'est une évidence qui se joue quand leurs regards se croisent au détour d'une fête de campus, à l'époque où Milo caracole dans son master en sciences du comportement. De rendez-vous en nuits étirées de bonheur savoureux, Milo et Helen se complètent, se ressemblent, et trouvent l'un chez l'autre ce même désir d'indépendance, de liberté au sein de leur complicité. Ils se marieront deux ans plus tard, avec le contrat tacite que leur couple demeurera le ciment de leurs excès. Roi et reine de leur empire aux nuances libertines, amants et amantes sont autorisés des deux côtés, tant que la transparence demeure, que leur famille passe avant le plaisir, et que les sentiments ne viennent pas interférer. Chose que Milo respecte tout naturellement, si ce n'est l'exception qui confirmera la règle. Une exception du nom d'Alexander, qui dura quatre ans d'amour plein, franc en dépit du secret, au contraire du reste des âmes qui ont partagé son lit par après.

• Embrassant une carrière d'écrivain sur le tard, après des années au sein du FBI en tant que criminologue, il sera l'auteur de six romans policiers, dont le premier best-seller, « Le Sang et le Feu », a été adapté en 2015 sur grand écran. Son style se rapproche de l'enfant unique d'un Michael Connelly et d'Harlan Coben, teinté d'une touche d'Oscar Wilde en grande pompes, selon certains critiques acérés.

• Friand de jazz de toutes sortes, il possède une collection impressionnante de CD et de vinyles d'époques, se refusant à la modernité du son synthétisé sur ordinateur pour écouter « les plus grandes voix de son temps », comme il aime à le dire. Un trésor de sa collection se trouve être par ailleurs une pochette signée de la main d'Aretha Franklin.

• Grand lecteur assidu, il possède une collection couvrant trois grandes bibliothèques. Lors de son emménagement avec Alex, il a essayé de faire un tri pour n'en prendre que l'essentiel mais... ce fût une perte de temps et d'énergie, donc il a tout pris. • Hypermétrope depuis quinze ans, il porte constamment des lunettes lorsqu'il écrit, lit ou regarde la télévision. • Voyageur émérite, il est déjà allé en Suisse, au Japon, au Cambodge, au Brésil, en Ecosse et au Maroc. • Il adore le ski, en dépit d'une fracture de la jambe quand il a emmené ses petits au sports d'Hiver en 2004. Il a tendance à simplement faire du ski de fond quand il a l'occasion de remettre les pieds à la montagne. • Profondément anti-vente d'armes, il s'est engagé publiquement pour la cause lors d'une interview pour un journal. • Il prêche le manger bio, le jogging et le yoga. Dans les faits, certes il cuisine, mais il a relégué le sport au second plan pendant sa convalescence. Il s'y remet, petit à petit, sans retrouver sa forme d'autrefois. • Il fume la pipe de temps à autre pour diminuer les achats de paquets de cigarettes et faire rire ses petits-enfants. D'un côté, il ne consomme plus autant de nicotine que dans sa jeunesse, et ses poumons, tout comme son médecin, lui disent merci. • Il est allergique aux plumes d'oiseaux et aux abricots, cette dernière ayant été détectée il y a dix ans, quand il a gonflé comme une baudruche en mangeant une part de tarte dans un salon de thé. Il a également une très légère intolérance au lactose depuis quelques années. • Il est extrêmement proche de sa mère, encore plus depuis le décès de son père. La famille est pour lui une valeur sacrée, au-delà de ses principes les plus ancrés. • Il parle un peu le japonais, le gaélique écossais et a quelques notions de français. • Très soigneux de son apparence physique, il passe parfois plus d'une heure dans la salle de bain le matin, et use de tout un panel de crèmes, de lotions et autres rituels soi-disant miracles pour conserver son capital jeunesse. • Il vit d'ailleurs relativement mal son côté plus dégarni avec l'âge, signe d'une calvitie future, accentuée encore plus avec le traitement chimiothérapique pendant ces derniers mois. Ses cheveux ont plutôt bien repoussé depuis sa rémission, ainsi que sa barbe, mais il a très peur de les perdre à nouveau. • Il adore profondément danser, et ne manque pas une occasion de le faire quand il emmène Alex à un concert de leur café-jazz favori. • Il avait une trouille bleue des papillons dans son enfance, peur disparue au profit de celle des chauve-souris. • Il ne résiste jamais à une bonne pâtisserie, même s'il a du mal à en manger depuis un an. Une de ses plus grosses frustrations, à mi-chemin entre son régime imposé par son médecin et la trouille de demander Alex en mariage.

 
Milo Wright ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

Change your life today. Don't gamble on the future, act now, without delay.
18 Janvier 1960 • Naissance de Milo à domicile, sur le canapé d'un petit appartement au-dessus du bar de son père dans le coeur de Los Angeles. Le bébé est déjà braillard et énergique, trait principal de son caractère à venir. Sa mère est la plus heureuse des femmes et son père pleure pour la première fois de sa vie d'adulte. Suivront trois ans plus tard un petit frère, Daniel, et un encore après une petite soeur, Linda.

1960 – 1985 • École buissonnière, cycle de la vie, sur les pavés des rues bondées. Bon élève mais forte tête, son tempérament épuise ses professeurs. Il grandit avec l'idée que le monde est bien plus vaste que son petit univers italo-américain, et malgré sa bande d'amis soudée depuis l'enfance, Milo finit par quitter la ville pour entrer dans une université prestigieuse de Washington, dans un cursus double en psychologie et science politique. Se destinant d'abord à devenir psychologue, c'est après son master en science du comportement et une thèse soutenue avec brio qu'il s'intéresse à la criminologie, et tente le concours d'entrée à la formation du Quantico qu'il réussit après un entraînement acharné. Le voilà officiellement membre du FBI, carrière qui le propulsera bien plus que ce qu'il ne le pensait.

1985 – 1989 • Affecté à l'étude des profils psychologique, Milo se voit polyvalent, et d'une volonté sans faille à agir pour le bien de la nation. Parfois trop tête brûlée cependant, derrière une forme de comportement frisant l'arrogance, on le met en duo avec un nouvel élément, Alexander Jenkins, jeune recrue qui ne cessera de le troubler. Premier véritable émoi amoureux depuis sa rencontre avec son épouse sur les bancs de la fac. Même si son couple demeure très libre et lui permet d'aller voir ailleurs, les sentiments qu'il ressent pour son coéquipier dépassent les simples histoires sans lendemain auxquelles il est coutumier. Elle en vient presque à l'effrayer, à menacer l'équilibre qu'il construit sur un château de cartes bien rôdé. C'est l'annonce de la grossesse d'Helen, de leur premier enfant tant désiré, qui le poussera à rompre et demander son affectation dans un autre bureau, une autre ville, un autre état. Là où ils pourront tenter de construire des souvenirs chacun de leurs côtés, presque aussi beaux que ceux qu'ils ont partagés, sans jamais parvenir à pleinement s'oublier. Ils se reverront, encore et encore au fil des années, comme une vie alternative dans leur bonheur caché.

1989 – 2018 • Baltimore. Une ville suffisamment grande pour bâtir des fondations solides. Helen met au monde leur fille, Meryl, première pierre sacrée de leur édifice fantastique. Neil, Pearl, Alana et enfin Carl viendront compléter ce beau tableau idyllique. Maman et Papa s'entendent à merveille, encore plus depuis que leur train de vie est installé. Malgré cette angoisse de s'encroûter dans une routine trop étouffante, Milo trouve un réconfort certains auprès des siens et n'est plus effrayé de rien.
Son travail de profiler continue de lui apporter un épanouissement certain, bien qu'il ne participe plus autant qu'avant aux missions de terrain et qu'il lentement commence à tourner en rond. Arrivé à l'aube de sa cinquantaine, en 2009, il jouit de plus de temps de libre et l'utilise pour se consacrer à une passion refoulée depuis un moment, celle de l'écriture de roman. Puisant son inspiration dans ses expériences personnelles au sein du Bureau, il tente un premier roman jouant sur le frisson du thriller, qu'il présente à des maisons d'édition sans trop d'espoir. C'est la chance qui lui sourit quand on accepte son manuscrit, et que son éditeur lui demande une suite tant le premier tome marche d'un d'enfer. C'est le début d'une toute nouvelle opportunité de carrière, qu'il embrasse à bras le corps. Il démissionne en 2011 après vingt-cinq ans de bons et loyaux services, pour enchaîner les succès les uns après les autres. Il sera l'auteur de deux sagas interconnectées, de trois tomes chacune, plus quelques essais ça et là. On lui proposera même, en 2015, d'acheter les droits de son tout premier roman pour l'adapter au cinéma.
Tout semble lui sourire, et lui-même porte avec fierté la mine resplendissante d'un homme à qui rien de mal ne pourra jamais arriver. Jusqu'à la seconde où le rêve ne dégringole, évidemment.

Mars 2018 • Les histoires sans fin n'existent pas. Il pensait que celle écrite avec Helen ne s'achèverait pas avant leur dernier souffle, mais il faut croire que les courbes chaloupées d'une caribéenne de passage eurent raison de leur naufrage. C'est peut-être l'aigreur d'un divorce qui met à mal sa fierté, ou bien l'idée que son ex-femme quitte le pays pour une autre, mais Milo n'apprécie pas tellement la lubie de sa chère adorée. Il ne peut cependant que s'incliner face à sa décision, qu'il comprend malgré tout. Elle a toujours eu plus de suite dans les idées que lui, et il peinait ces dernières années à suivre sa flamme toujours aussi crépitante que le plus pur des brasiers. En dépit de la fin de leur mariage, leur relation restera d'une tendresse infinie l'un pour l'autre, et Helen sera toujours présente pour lui et leurs enfants à n'importe quel moment, même si elle a décide d'aller siroter des pina colada aux Bahamas avec sa bien-aimée.
Certes, tout ça est bien beau, bien doux.
Mais il n'en demeure pas moins que Milo s'est fait quitté pour une jeunette de vingt-cinq ans et que ça lui restera en travers de la gorge un petit moment.

2018 – Décembre 2020 • Garçonnière de 180m² à Seattle, que l'écrivain a acheté pour une bouchée de pain. Il s'y est installé pour profiter de son célibat et trouver l'inspiration. Le complexe de son âge se fait davantage ressentir et ses enfants, tous devenus grands, n'ont de cesse de lui rappeler qu'il va finir par payer sa vie d'excès. Ses cinq petite merveilles ont tous et toutes une existence épanouie, certaines d'entre elles ont même eu des enfants à leurs tours, de quoi ravir leur papy qui les gâte à chaque Noël en famille.
Quand bien même ses proches comptent avant tout, ses écrits font aussi partis de sa vie et il traverse un certain syndrome de la page blanche depuis 2019 et la publication de son dernier ouvrage. Le rythme effréné de ses activités de clubbeur du grand monde ne font que l'épuiser d'avantage et appuyer le déni de son âge, de même que ses conquêtes dont il oublie systématiquement le nom une fois le lit quitté. Il a bien un numéro auquel il est fidèle depuis de longues années, qu'il peine souvent à composer pour ne pas perdre ce qu'il reste des miettes de sa Superbe. Car vieillir le terrifie. Ses erreurs aussi. L'une d'elle viendra le frapper le 3 Décembre, quand suite à une crise de nausée durant un déjeuner avec Meryl, son médecin ne lui annonce la présence d'une tâche brune inquiétante sur la partie superficielle de son estomac. Le diagnostic encore en cours, la tumeur prise à temps, résorbable à coup d'un lourd traitement. A deux doigts de filer sans qu'il ne s'en aperçoive, Milo garde pour lui le secret médical, pris de plein fouet par une vague de doute existentiel. Il ne dit rien à personne, même pas à Helen. Même pas à Alexander.

2 Janvier 2021 • Un mois après l'annonce de son cancer, son père décède des suites d'une faiblesse cardiaque qu'il traînait depuis des années. Tout le monde s'y attendait, mais personne n'est parvenu à le vivre correctement. Daniel et Linda reviennent en Amérique pour l'enterrement, très difficile pour leur mère. Encore remué de la découverte du mois dernier, et n'ayant plus rien à attendre d'une vie moins calme qu'elle ne le devrait, Milo décide de revenir à ses racines et rentrer à Los Angeles, plus proche de ses souvenirs et de l'importance qu'il se doit de leur accorder.

27 Janvier 2021 • Retour officiel à Los Angeles, après avoir vendu son loft à Seattle. Retourner là où tout a commencé. Il y retrouvera Alexander, cessera de dissimuler ses sentiments sous une tonne de fierté. Après des hauts et des bas, des difficultés dans cette nouvelle vie à deux, notamment avec la révélation au grand jour de son cancer au détour d'une fouille de son amant, tout deux se l'avouent enfin : ils sont prêts à s'aimer au grand jour, se soutenir à jamais et rattraper le romantisme sporadique de leur drôle d'histoire.

Aujourd'hui • Une maison partagée, à deux, puis à trois avec la venue d'Annabeth, la petite-fille d'Alexander depuis peu. Une maison et ses petites histoires parsemées, des projets, une tumeur vaincue et beaucoup de repos. Du papier partout, des touches de claviers pleine de notes, des lunettes perdues pour la énième fois, un lit en désordre, un parfum de café. De l'arthrose au bout des doigts, une cicatrice à l'estomac, mais le sourire aux lèvres, constamment contre celle de son aimé. Et au final, avec un regard en arrière, Milo est fier. Plus qu'il ne l'a jamais été.
Rechercher dans: Présentations   Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySujet: Alexander Jenkins • How do we get ahead of crazy if we don't know how crazy thinks?    Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 EmptySam 9 Oct - 22:50
Alexander Jenkins
Le lion ne s'associe pas avec le cafard.
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64 ans. 4 novembre 1956. Washington D.C. Américain. En couple avec Milo. Profiler à la retraite. $$$
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Hello, hello, moi je m'appelle Skywalcino. J'ai actuellement 24 ans et je vis à/en Ile-de-France. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec Bb Mark Hamill comme avatar. Le forum je le connais grâce à c'est un comeback pour ma part, faute de temps j'avais du partir mais me revoilà !  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 468627832 et je suis contente de revenir avec une super partenaire  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 4068775363 . Je remercie également itsmarkhamill, giphy & mightyhamill, basedxluke, markhamillstan pour les petites beautés.

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Réservation ok (comme Tomas m'a dit que je pouvais éditer moi-même  Tag fucktheworld sur LOS ANGELES, A L'ANCIENNE - Page 16 3557439938)
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Alexander Jenkins ● 1 mn

Je suis comme je suis, so what ? {#}fucktheworld{/#}

Qualité 1
Extraverti
Défaut 1
Menteur
Qualité 2
Altruiste
Défaut 2
Impulsif
Qualité 3
Drôle
Défaut 3
Bavard
Alexander Jenkins ● 1 mn

Mes petites emmerdes et moi {#}maniesmaggle{/#}

un animal
Chien
une maison hp
Serpentard
un style de musique
Jazz
de la nourriture
Japonais

Miscellaneous

01. Tu préfères qu’un te surnomme Alex. Ton prénom laisse une note trop amère ; ça te rappelle quand ton père te sermonnait, quand ta femme voulait te remonter les bretelles ou quand Milo avait de mauvaises nouvelles à t’annoncer. Puis, ça te donne un air trop sérieux, tu détestes ça. Tu en as déjà eu assez comme ça avec la carrière que tu as embrassée. 02. Tu n’es pas timide pour un sou. Un grand bavard, extraverti à l’extrême. Tu fatigues beaucoup de monde, mais c’est aussi ça qui fait ton charme selon certains. Puis si ça ne plait pas, c’est pareil. Tu es comme ça. Pour rien au monde tu ne changeras pour qui que ce soit. 03. Tu es un grand passionné de jazz, surtout celui qui est catalogué comme psychédélique ou alternatif. Il ne faut surtout pas te lancer sur le sujet, sinon ton moulin à parole se transformera en un cataclysme infernal impossible à interrompre. Beaucoup en ont déjà fait les frais. Puisque Milo partage la même passion que toi, tu rêves d’écumer les bars jazz de La Nouvelle-Orléans ou d’Harlem à ses côtés. 04. Il faut toujours que tu parles d’Erika, feu ta femme. Même quand c’est hors propos. Il fallait que tu la fasses vivre d’une manière ou d’une autre, que personne ne l’oublie toi y compris. On ne t’en tenait pas rigueur, pas même Milo. Tu la connais depuis que tu as six ans, difficile de te reprocher de parler de celle qui t’a vu à toutes les étapes de ta vie. Tu as du mal à faire son deuil, mais Milo est là pour toi. 05. Tu es toujours le premier à plaisanter. L’humour noir, le sarcasme, l’ironie et l’autodérision sont des formes d’humour élevées au rang d’art chez toi. C’en est même parfois agaçant, car tu donnes souvent l’impression à tes interlocuteurs que tu ne prends rien au sérieux. Mais tu n’y peux rien, c’est une forme d’expression dont tu t’es toujours servi avec ta femme et ton fils, tu as bien du mal à t’en défaire et surtout aucune envie de le faire. Tu en as eu besoin de toute manière de ce manque de sérieux dans le privé pour encaisser cette carrière qui t’a emmené dans les pires travers de l’humanité. 06. Sans trop savoir pourquoi, tu voues un amour inconsidéré aux chèvres et aux chouettes. Tu as toujours dit que, si un jour la vie t’était trop insupportable, tu partirais en Europe élever des chèvres. Erika riait toujours rien qu’en pensant à cette idée. 07. Tu adores la cuisine, cuisiner et tu es super gourmand. Tu aimes découvrir de nouvelles choses sur ce plan, de nouveaux restaurants et recettes. Par contre, tu détestes viscéralement le chocolat sous toutes ses formes. 08. La seconde passion dans ta vie, c’est la littérature. Pas un seul de tes murs n’est pas recouvert par une bibliothèque ou une étagère pleine à craquer de bouquins. Tu les dévores, ils ne font jamais long feu dans tes mains, surtout les livres que Milo écrit. Cette soif de lecture te pousse aussi à être très curieux. Dès que quelque chose t’échappe, tu es obligé de faire des recherches dessus, c’est plus fort que toi. 09. Tu es gaucher. 10. Tu es un excellent tireur. Ton métier te confère cette qualité, mais tu pratiquais aussi le maniement des armes pendant ton temps libre dans un club de tir. Tu as transmis cette passion à ta petite fille et sa mère ainsi que Milo te tueraient s’ils savaient que tu lui avais appris quelques rudiments.

 
Alexander Jenkins ● 1 mn

Ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, right ? {#}notthebeststory{/#}

1956 · 4 novembre // Enfant si attendu. Helen a bien cru que jamais elle n’aurait la chance d’être mère. Elle avait jalousé ses amies qui collectionnaient les grossesses, s’enfonçant dans une certaine tristesse malgré le soutien indéfectible de son mari, Charles. Le destin lui donna sa chance, et le soleil revint à nouveau dans sa vie quand elle apprit qu’elle en accueillerait bientôt une dans neuf mois. Né quatre jours après le terme, Washington accueillait enfin tes premiers cris, si désirés par tes parents. Aucun autre enfant ne s’ajoutera à cette famille. C’est toi qui profiteras de tout l’amour de tes parents à travers une enfance plus qu’heureuse. Un léger manque du père peut-être à cause de son métier d’agent au FBI très prenant, mais tu ne manquas jamais de rien dans l’ensemble.

1977 · 19 juillet // (20-21 ans) Elle avait ri aux éclats le jour où tu lui avais demandé sa main. « Je t’aime beaucoup, gros idiot, mais t’es trop conventionnel parfois j’te jure. » Erika avait toujours été un esprit libre, une âme folle et frivole en total décalage avec la société dans laquelle elle vivait. Elle n’avait pas été élevée avec les mêmes us et coutumes que toi, étant née dans une communauté hippie avec pour parents trois mères et deux pères. Alors pour elle, le mariage était toujours apparu comme une convention bien plate et ennuyeuse. Pourtant, malgré sa liberté qu’elle revendiquait sans cesse, jamais elle n’était allée s’attacher à d’autres âmes que la tienne. Depuis que vous aviez six ans, les choses étaient ainsi faites. D’ami d’enfance à premier amour, vous deveniez un couple sérieux. Alors, deux ans après ta demande officielle, elle accepta enfin de porter ton nom. « Je croyais que j’étais trop conventionnel ? » lui avais-tu lancé avec un sourire provocateur. Elle avait répliqué en te donnant un coup sur l’épaule. « Tu m’agaces surtout beaucoup trop, Jenkins. » Autant elle que toi, vous n’avez aucun souvenir de la fête qui eut lieu ensuite : trois jours de beuverie, de fumette et d’autres drogues en tout genre qui ont sûrement dû vous faire faire des choses inconsidérées. Mais vous ne le regrettez pas, au moins vous aviez fêté comme il se devait votre union qui durera vingt-quatre belles années.

1978 · (22 ans) Tu accèdes enfin à l’un de tes rêves. Fraichement sorti de l’école de police, tu entres enfin dans la cour des grands en intégrant les troupes de la MPDC (la Metropolitan Police Department of the District of Columbia) à Washington D.C. Tu fais tes preuves, tu aides au mieux, tu essaies d’être le plus intègre possible en suivant l’idéal que la police représentait à tes yeux. Tes supérieurs pensèrent rapidement que si tu continues ainsi, tu auras une carrière plus que prometteuse dans la police.

198118 avril // (24-25 ans) L’enfant tant attendu est enfin là. Félicitations, c’est un garçon ! La naissance de Timothy vous comble de bonheur. Un beau bébé de trois kilos sept cents avec les cheveux bruns de sa mère et les beaux yeux bleus de son père. Tes collègues se souviennent encore avec humour et émotion de ton retour au poste le lendemain en criant à qui voulais bien l’entendre : « Mon fils est né ! Ça y est ! Mon fils est né ! »  Tu as toujours voulu être père et l’année de tes 24 ans, ce vœu fut enfin exaucé.

1983 · (27 ans) Après avoir suivi la célèbre et prestigieuse formation du FBI à Quantico, tu pouvais enfin te targuer de faire partie de la maison qui fait tant rêver bon nombre de policier. Toutefois, ton rêve ultime reste d’intégrer le BSU (Behavioral Science Unit), la fameuse et toute nouvelle unité de sciences comportementales. Pour cela, tu suis en parallèle des cours du soir en psychocriminologie. Entre ton travail d’agent du FBI, tes études et ta vie de famille, tu t’imposes une cadence de vie infernale et souffres de fatigue extrême, mais tu t’accroches. Parce que ton rêve et bien plus grand et important qu’un coup de fatigue.

1985 · (29 ans) Ca y est. Tu l’as, ton master en criminologie avec une mineure en psychologie. Tu es si fier de toi, Erika aussi, parce que tu en as chié pour l’avoir sans redoubler. C’est aussi grâce à tes faits d’armes et à ta carrière exemplaire jusqu’ici que les portes du BSU te sont enfin ouvertes. C’est aussi l’année où tu rencontres ton nouveau partner in crime, Milo. Tu n’en savais rien encore, mais la foudre t’avait percuté ce jour-là, dès l’instant où tu avais croisé son regard.

1989 · (33 ans) Quatre années de relation passionnée parties en fumée. Tu as hurlé, tu as pleuré, tu l’as supplié dans cette chambre d’hôtel qui fut la témoin de vos adieux déchirants. Quitter vos vies respectives et vos femmes pour vivre votre histoire au grand jour n’avait jamais fait partie des plans et les choses s’étaient toujours organisées ainsi entre vous, mais tu étais tellement abattu que tu lui avais juré de quitter Erika si ça pouvait le retenir. C’était violent. Tu étais tellement triste et en colère, mais ton cœur brisé ne pesait vraiment pas lourd dans la balance à côté de la naissance de son premier enfant. Sa demande de mutation termina de t’achever. Les semaines, les mois qui suivirent son départ… tu faisais pitié à voir et personne ne comprenait ce changement d’humeur chez toi, surtout Erika qui n’avait jamais eu vent de votre relation. Elle ne l’avait même jamais soupçonné. Elle avait gobé ton excuse au sujet de la pression au travail et des enquêtes difficiles. Tu mourrais à petit feu sans lui, en réalité, malgré tout l’amour que tu éprouvais pour ta femme. Ce n’est qu’en 1990 que Milo et toi repreniez contact de façon très sporadique. C’est mieux ainsi. Ça t’évite de trop souffler sur les braises encore chaudes de l’amour que tu lui portes.

2001 · 3 août // (44-45 ans) La tumeur au cerveau a emporté ta femme dans la nuit. Tu es resté à ces côtés jusqu’au bout. Elle a d’ailleurs trépassé dans tes bras pour quelle parte sans crainte pour l’Autre Monde. Tu avais beau te préparer à cela depuis deux ans, depuis l’annonce de sa maladie, la perte d’Erika t’avait anéantie. Comment survit-on à l’amour de sa vie ? À celle qu’on connait depuis ses six ans ? Tu n’étais plus bon à rien au travail. Tu coupas les ponts avec tout le monde, même avec ton fils qui vivait à Los Angeles depuis qu’il avait commencé ses études universitaires deux ans plus tôt. Tu voulais la rejoindre parce que tu ne pouvais tout simplement pas vivre sans elle. Tu avais pensé à bien des manières de te supprimer, te noyant dans cette dépression dont tu ne pouvais te relever. Penser à ton fils t’avait empêché de passer à l’acte et te maintenait tant bien que mal à flot. Il n’avait plus que toi, tu ne pouvais pas le laisser orphelin. Être veuf à 44 ans… c’est rude. Mais tu avais tant de choses à vivre encore pour elle, avec ton fils. Rien n’était perdu.

2002 · (46 ans) Tu décidas de tout plaquer pour refaire ta vie à Los Angeles en rejoignant ton fils. Tu aurais pu reprendre tes activités de profiler là-bas, mais tu préféras accepter un poste de simple inspecteur au sein du LAPD. Personne ne comprit les raisons qui avaient poussé un ponte du FBI à s’enterrer ici plutôt que de reprendre ses activités au Bureau. Tu avais ta logique et plus personne ne te posa de questions quand on remarquait que tu faisais bien ton travail, au point de te noyer dedans pour oublier ta peine. Timothy vivait mal ta descente aux enfers, il faisait tout pour t’aider, mais toi tu rejetais tout en bloc. Votre relation était houleuse et conflictuelle, mais ton fils ne lâcha rien.

2003 · (47 ans) Ta relation avec ton fils s’empira quand il t’annonça qu’il plaquait tout pour intégrer les rangs de l’armée. Les attentats du onze septembre l’avaient grandement remué et il cultivait depuis un patriotisme à l’extrême qui te laissait dans l’incompréhension la plus totale. Une violente dispute avait éclaté entre vous. Tu lui disais qu’il se trompait de combat, lui te traitait de lâche en t’accusant de ne rien faire pour ton pays. Tu n’as pas réussi à le convaincre, il est parti au front en Afghanistan malgré tout. Il revenait de temps à autre lors de ses permissions, mais vos relations étaient assez froides désormais.

2004 · 14 octobre // (47-48 ans) Deux ans après son mariage avec Lily, qu’il a rencontrée à l’université, Timothy t’offre l’opportunité d’être grand-père. Déployé en Afghanistan ce jour-là, c’est toi qui fus aux côtés de Lily pour la venue au monde d’Annabeth. Tu étais si heureux, tu avais dans les bras le plus beau bébé de la planète à tes yeux. L’arrivée de cette petite fille dans ta vie était un nouveau souffle, une nouvelle raison pour t’accrocher à la vie, toi qui avais encore tant de mal à faire le deuil de ta femme. En t’occupant d’Annabeth, tu sortais peu à peu la tête de l’eau. Tu voyais enfin l’éclaircie à travers les nuages.

2008 · 18 février // (51-52 ans) « Monsieur Jenkins, nous vous appelons pour vous annoncer la mort du Lieutenant Timothy Jenkins plus tôt dans la matinée. » C’était comme si la Terre s’était soudainement arrêtée de tourner. Le temps, ainsi que tout ce qui se trouvait autour de toi, s’était figé pour laisser ensuite le sol se dérober sous tes pieds. Tu savais, tu l’avais prévenu, que ce jour finirait par arriver. Un soldat n’était que de la chair à canon, un futur cadavre. C’est ainsi que tu avais formulé la chose auprès de ton fils lors de votre dispute avant qu’il ne s’engage. C’était cru, violent, mais c’était la réalité de la chose. Ta réalité. Et ce jour où la vie lui fut cruellement ôtée, c’était aujourd’hui. Tu entends encore le hurlement de Lily perforer tes tympans quand tu eus la douloureuse tâche de lui apprendre la nouvelle. Elle s’était effondrée dans tes bras, invectivant les dieux pour cette injustice. « Il revient quand papa ? » Tu n’as pas su répondre à ta petite fille. Tu refusais de lui briser le cœur en laissant ce « jamais » dépasser la frontière de tes lèvres. Tu avais juste l’impression d’être un peu mort avec lui, sans avoir pu respecter la promesse faite à ta femme : celle de le protéger, de t’occuper de lui jusqu’à ton dernier souffle. Timothy reçut les honneurs et eut le droit à la cérémonie funéraire réservée aux soldats morts on duty. Mais toi, tu en as rien à foutre de tout ça. Tout ce que tu vois c’est la terre avaler ton fils de vingt-sept ans. Tu étais sacrément en colère, ça n’était pas normal tout ça. Pas dans l’ordre des choses. C’est lui qui aurait dû se trouver devant ta tombe et non l’inverse. Tu ne voulais pas partir. Tu refusais de le laisser seul. C’était ton bébé et ça te crevait le cœur de le laisser dans les ténèbres. Des heures entières furent nécessaires à Lily pour te convaincre enfin de partir. Depuis ce jour, tu prétends, tu n’es que façade. Ta femme n’est plus. Ton fils non plus. Il n’y a qu’Annabeth pour te maintenir encore en vie.

2017 · (61 ans) Après 38 années au total de bons et loyaux services dans la police, tu mets fin non sans émotion à ta carrière. Tu quittes une grande famille, des collègues avec qui tu as aimé partager, échanger et travailler. Tu laisses un bon souvenir à tout le monde en tout cas — une équipe qui te laisse partir avec regret, mais tu l’as bien mérité, ta retraite.

2021 · (64-65 ans) Depuis votre séparation tragique en 1989, il vous arrivait de vous voir une fois l’an, parfois moins, parfois plus, mais jamais rien de très régulier. Les visites se sont espacées à mesure des drames qui jalonnèrent ta vie ou la sienne. Et pourtant, en ce mois de janvier, Milo avait bel et bien sonné à ta porte pour annoncer qu’il s’établissait définitivement sur Los Angeles. Fier, tu as voulu lui résister, l’envoyer chier et ne pas l’accepter aussi facilement dans ta vie, mais à quoi bon lutter contre celui que tu pouvais considérer comme l’homme de ta vie ? Le temps n’avait pas fait son travail sur vous. Votre amour restait intact et aussi vif qu’il y a trente-six ans. Vous remettre ensemble était naturel et une évidence. Tu fis ton coming-out bisexuel auprès de ta famille. Ça avait été plutôt difficile pour toi, très stressant. Si cela avait surpris Lily autant qu’Annabeth, cela ne changeait strictement rien pour elles, au contraire, elles furent contentes de te voir refaire — ou du moins reprendre — ta vie et peu importe que cela soit avec un homme ou une femme.

Mais, le malheur te frappe encore Alexander, parce que dès que tu as une toute petite miette de bonheur, il faut que les dieux te la reprennent, jaloux et envieux comme ils étaient. Tu sens que quelque chose ne va pas. Milo est ailleurs, Milo a des jours avec et des jours sans et les jours sans sont de plus en plus fréquents. Il est faible, mange moins, part de plus en plus souvent et longtemps pour des rendez-vous avec des éditeurs ou que-sais-je encore. Il te répond que ça va quand tu lui poses la question, mais tu vois bien que la réalité est toute autre. Tu as peur, parce que ça te rappelle trop les derniers instants d’Erika quand elle se trouva en pleine déchéance. Ça attirait de plus en plus ta suspicion et Milo avait oublié une chose : même si tu étais à la retraite, tu avais gardé ton instinct et ta curiosité de flic. Tu n’as pas pu t’empêcher de fouiller un après-midi où il s’était absenté. Tu as tout retourné ; ses papiers, ses affaires… pour finalement tomber sur ce que tu cherchais. Cancer de l’estomac. Pris à temps, mais cancer quand même. Tu avais senti ton estomac se retourner, ton souffle te manquer quand tu lus ces quelques lignes. Tes jambes t’avaient lâché ce jour-là, il a fallu que tu te raccroches à la table pour ne pas tomber. Tu étais tellement attristé, tellement en colère qu’il t’ait mis de côté. Tu étais terrorisé aussi à l’idée de le perdre pour de bon. Tu n’avais pas encore compris à ce moment-là qu’il avait fait ça pour te protéger. Des disputes éclataient. Par ta faute. Trop nerveux, trop amer. La crise dura longtemps, mais ta colère avait fini par s’apaiser et tu l’avais accompagné comme il se devait vers le chemin de la guérison.

Puisque Milo était désormais en rémission, se remettant très doucement de ce cancer, vous pouviez enfin profiter d’un peu de tranquillité. Enfin… c’est ce que vous avez cru avant de voir Annabeth débarquer un soir à votre domicile. Lily a trouvé quelqu’un. C’est sérieux. Alors tout naturellement, elle a présenté ce nouvel homme à sa fille. Mais Annabeth a très mal réagi. Elle refusait qu’on oublie son père, que quelqu’un d’autre prenne physiquement sa place aux côtés de sa mère. Tu n’avais pas très bien pris la nouvelle, du moins, ça t’avait piqué. Ça te dérangeait. Alors tu comprenais quelque part la peine de ta petite fille. Les relations étaient déjà très tendues entre mère et fille et cette histoire n’a rien arrangé. Alors, puisque Annabeth et toi vous entendiez très bien, tu te mis d’accord avec sa mère, et avec Milo, pour qu’Annabeth loge chez vous temps que les choses se tassent.
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