Avatar : Thomas Brodie-Sangster Messages : 723 Dollars : 253 Date d'inscription : 21/03/2020 Multicompte(s) : Ethan Miller & Elijah Shelton Crédits : Dydou Débarqué.e à Los Angeles depuis : 7 janvier 2022 , j'habite : dans la colocation du Phare . On me surnomme : Tom, Tommy , j'ai : 25 ans et je suis né.e le : 24 août 1997 . Je suis : Célibataire et : je suis homosexuel . Aujourd'hui, je suis : professeur de français et professeur particulier de piano
Charlie est présent à Los Angeles depuis presque sept ans et il ne se lasse toujours pas de cette ville. Avant, il était à New York et il se plaisait très bien là-bas, mais la vie new yorkaise n’a rien à voir avec celle des angelins. Cette ville est tellement grande, tellement différente. On peut tout trouver ici, on peut être en ville comme à la plage à observer le couché du soleil et c’est cela que Charlie aime tant dans cette ville. Elle est toujours animé, il y a toujours quelque chose à faire, on ne peut pas s’ennuyer. Puis avec le travail qu’il a au sein de l’entreprise de ses parents, il n’est pas à plaindre, loin de là.
Le blond sort de ses pensées qui étaient orientés vers les plages de Los Angeles. C’est la fin de la journée pour lui, il sort alors de l’immeuble où se tient le siège de l’entreprise pour se rendre dans une bouche de métro. Avant de rentrer chez lui, il doit aller faire les courses, n’ayant plus rien dans son réfrigérateur, ni dans ses placards, à part peut-être un pot de pâtes à tartiner. Mais ce n’est clairement pas avec cela qu’il va se faire un bon repas. Il ne prend donc pas la même ligne que d’habitude, se rendant dans le quartier de Weaswood. Là-bas, il sait qu’il pourra aller dans un supermarché qu’il connaît et il trouvera ce qu’il veut.
Arriver à destination, Charlie déambule dans les rayons pendant au moins une quinzaine de minutes, afin de trouver le nécessaire pour la semaine. Il se rend directement à la caisse une fois terminé, puis il attends son tour. Devant lui, une jeune femme blonde dépose ses courses sur le tapis roulant. Il fait alors de même, attendant patiemment son tour, écoutant le bruit ambiant et les “bip” provenant des articles que la caissière passe au scanner.
Depuis mon retour en ville rien est évident, je suis partie du Canada avec peu de billet et utiliser ma carte bleue n'est clairement pas quelques choses d'intelligent parce qu'il pourrait me retrouver trop facilement et je ne veux pas qu'il me retrouve je préfère mourir que de passer encore du temps avec cet homme qui me dégoûte tant. Pourtant rien est facile, rien est évident depuis que je l'ai quitté aussi rapidement qu'un coup de vent, j'ai essayé un tas de fois de partir et je n'ai jamais pu le faire, mais cette fois-ci j'y suis parvenue. Seulement reprendre une vie en essayant de se cacher ce n'est pas évident et mon fils a besoin de son traitement qui n'est pas donné. Je galère financière et ce n'est pas en bougeant mon postérieur tous les soirs que j'arrive à avoir assez de moyen pourtant je tente de réduire tout ce qui n'est pas utile. J'ai déjà fait des sacrifices pour pouvoir payer le traitement de mon fils et c'est en coupant et revendant mes cheveux que j'ai réussis à payer le nécessaire pour sa santé. Aujourd'hui je dois faire quelques courses et comme souvent mon garçon veut venir avec moi alors j'ai accepté. Tout le long du trajet la bonne humeur est au rendez-vous-même quand on a fait nos courses tout se passe bien. Mais cette bonne humeur me quitte une fois en caisse. Le montant que la caissière indique ne correspond pas au montant que j'ai en poche. Je me pince les lèvres et j'avale ma salive je déteste ce genre de moment jamais j'aurais pensé en arriver à ce stade et pourtant je le vis. Je regarde mon fils qui a son regard sur moi et je lui secoue un peu les cheveux en disant à la caissière de retirer une bouteille de lait quelques gâteaux, deux paquets de bonbons ainsi qu'un peu de viande, mais la voix de mon petit garçon me fait tourner la tête << Maman on peut quand même prendre les bonbons ? Seulement un paquet >> je le regarde et j'ai le cœur qui se brise une fois de plus. Je reste un quelques secondes sans rien dire avant de demander à la caissière de retirer le café pour remettre le paquet de bonbons. Je sais que je passe pour une mère indigne qui ne sait pas s'occuper de son fils pourtant personne ne connait mon histoire et je ferais toujours passer mon enfant en premier. Je vois de la joie sur le visage adorable de mon petit garçon je paie remercie la caissière et je quitte ce magasin où je viens de vivre un moment de honte intense. Nous marchons tranquillement le long du trottoir en le regardant manger un bonbon. @Charlie Eastwood
Thomas Evans
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Signe Astro : Métier : Prénom : Dydou
Avatar : Thomas Brodie-Sangster Messages : 723 Dollars : 253 Date d'inscription : 21/03/2020 Multicompte(s) : Ethan Miller & Elijah Shelton Crédits : Dydou Débarqué.e à Los Angeles depuis : 7 janvier 2022 , j'habite : dans la colocation du Phare . On me surnomme : Tom, Tommy , j'ai : 25 ans et je suis né.e le : 24 août 1997 . Je suis : Célibataire et : je suis homosexuel . Aujourd'hui, je suis : professeur de français et professeur particulier de piano
Alors que Charlie patientait à la caisse pour payer ses courses, il voit la scène avec la jeune femme devant lui et son petit garçon. Son coeur fond totalement quand elle privilégie le paquet de bonbon pour son enfance à la place du café. Il a vraiment de la peine pour les deux, alors quand la jeune femme repart avec la moitié de ses courses, le bon coeur de Charlie reprend le dessus, comme à chaque fois. Lui, il estime avoir trop d’argent, alors si il peut rendre des services, il le fait. Il saute alors sur l’occasion et quand vient son tour, il demande de rajouter les courses de la femme précédente dans un sac à part. La caissière esquisse un sourire face à cette action et Charlie paye le tout.
Le blond sort du magasin après avoir payé, son propre sac de course dans la main gauche et l’autre pour la jeune femme dans sa main droite. Il regarde autour de lui pour savoir dans quelle direction la femme s’est dirigé. Une fois trouvé, il se met alors à trottiner pour la rattraper tandis qu’elle marche à côté de son petit garçon, qui lui est en train de manger un bonbon. Il l’interpelle alors.
« Madame, attendez ! »
La femme s’arrête alors et Charlie peut désormais lui faire face. Il lui sourit chaleureusement, puis il lui tend le sac de course qui lui est destiné.
« Tenez, le reste de vos courses. »
Charlie n’aime pas se vanter lorsqu’il fait une bonne action, non il le fait parce que cela réchauffe le coeur des gens et cela réchauffe son propre coeur. Après cela, il sait qu’il se sentira mieux, car si il avait laissé cette jeune femme partir comme cela avec son petit garçon, avec seulement la moitié de ses courses, il aurait culpabiliser de n’avoir rien fait, alors qu’il en a les moyens.
Ce genre de moment me met toujours dans une mauvaise posture simplement parce que je déteste être dans ce genre de situation surtout qu'en tant normale, je suis une personne largement capable de subvenir à mes besoins et ceux de mon fils… Mais depuis mon retour en ville ? La vie est compliquée et je vis bien trop souvent ce genre de scène quand nous sommes aux courses à chaque fois, je me promets de ramener davantage pour pouvoir tout payer, mais cela ne suffit jamais. Pourtant, je travaille tous les soirs pratiquement et je tente de faire des extras en restant toujours correct, je ne pousse pas le vice au-delà d'une danse privée. J'ai besoin d'argent, mais j'ai quand même du respect pour moi et je ne suis clairement pas prête à me rabaisser davantage pour quelques billets. Nous avons donc quitté le magasin et je marche au côté de mon fils qui mange un bonbon en souriant, il semble heureux de la situation malgré tout. Il sait que rien n'est facile parce que je ne lui cache rien, il connaît toute la situation d'ailleurs… C'est lui qui m'a demandé de partir de la maison pour ne plus jamais voir son père, je pense que les paroles de mon enfant ce jour-là mon fait réagir et c'est pour cela que j'ai trouvé la force et le moment de le faire. Lui retirer son père alors que je me suis forcée pendant cinq ans à rester avec lui j'avoue que j'avais du mal à me faire à l'idée, mais quand lui m'en a parlé directement je n'ai pas hésité.
Alors que nous marchons tranquillement, j'entends une voix masculine tenter de m'interpeller. Je me tourne et découvre le visage du client du magasin celui qui était derrière moi. Directement, je place mon fils derrière mes jambes comme pour le protéger, si quelques choses tournent mal après tout, je ne connais pas cet homme, il pourrait être l'ami de mon ex. Je fais face à l'homme quand il me dit « Tenez, le reste de vos courses. » Je le regarde et je descends mon regard bleu sur le sac de course où je découvre le reste des courses que j'ai malheureusement dû laisser à la caisse. Je fronce doucement les sourcils ne comprenant pas ce geste et je repose mon regard sur cet homme que je ne connais pas du tout. Mon regard est interrogateur, surpris et méfiant. Je regarde autour de nous comme pour vérifier qu'il est seul et pas avec d'autre personne, je passe certainement pour une femme totalement paranoïaque, mais je sais de quoi mon ex est capable et j'ai peur dans le fond. Je demande à mon fils de se mettre sur le côté pour me laisser parler avec cet homme de manière privée. Mon petit bonhomme se place dans le coin non loin de moi pour que je puisse le regarder et le surveiller attentive à mon fils malgré tout, je remets mon regard sur cet homme.
<< Écouter je ne sais pas ce que vous voulez de moi, mais je ne fais pas d'extra-autre que la danse même pour un sac de course. >>
Directement, je pense qu'il veut plus de ma personne qu'il a envie de passer une nuit en ma compagnie… C'est peut-être vantard, mais je ne vois pas pourquoi il paierait des courses autrement. Pour moi la seule explication logique, c'est qu'il m'est vu danser et qu'il veut plus maintenant.
Thomas Evans
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Charlie regarde la femme face à lui. Elle agit étrangement, mais peut-être qu’elle se méfie de lui, ce qui serait compréhensible. Peu de personnes sont généreux, elle ne doit donc pas être habitué à ce que quelqu’un paye ses courses. Il la regarde écarter son fils pour qu’ils puissent discuter et il ouvre un peu plus grand ses yeux à l’entente de sa phrase.Il ne comprend pas ce qu’elle lui dit. Est-ce qu’elle sous-entend que Charlie voudrait passer une nuit avec elle ? Si c’est cela, il faut vite qu’il rectifie le tire et qu’il la rassure, parce que ce n’est absolument pas ce qu’il veut. Enfin, c’est une belle jeune femme, mais il n’a pas d’arrières pensées. Et puis, elle parle de danse, est-ce que c’est une artiste ? Il ne sait rien de la femme qui se tient devant lui et il ne comprend pas pourquoi il se prend la tête avec lui-même alors qu’il a juste payer ses courses.
« Oh non, je ne savais pas que vous dansiez. Et puis… je ne veux pas plus, vous vous méprenez. C’est juste… un acte généreux de ma place ? »
Le producteur esquisse un sourire dans l’optique de la rassurer. Il ne pensait pas à mal en lui achetant le reste de ses courses. Ce n’est pas la première personne avec qui il le fait. La femme face à lui a tout de même l’air nerveuse, il a bien remarqué qu’elle regardait autour d’eux, comme si elle vérifiait qu’elle n’était pas suivi. Charlie fronce légèrement les sourcils, ne comprenant pas sa réaction. Il monte son bras vers elle pour lui tendre une fois de plus son sac de courses.
« Vous avez l'air tendue, vous allez bien ? »
Le blond regarde autour de lui à son tour, pour s’assurer que personne ne les observe cherchant une personne dont la jeune femme pourrait avoir peur. Ou alors elle le prend tout simplement pour un psychopathe qui lui veut du mal ? Après tout, tout est possible à Los Angeles, mais il tient à la rassurer.
« Rassurez-vous, je ne vous veux aucun mal, juste vous donnez vos courses. »