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 Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works

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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 13:18
Aeson Reid
ft. Emil Andersson
si j'étais ...
un animal
Puma
une maison hp
Serdaigle
un style de musique
Rock
de la nourriture
Sushi
Know me better
++ : Social, perfectionniste, ouvert d’esprit, attentif, patient, doux, créatif, manuel, réaliste et galant quand il le veut.

-- : Froid au premier abord, arbore une carapace pour se protéger, borné, impulsif, sarcastique et méfiant.

(:hearts:) Travailler l’argile (:hearts:) Passer du temps avec sa sœur jumelle. (:hearts:) L’ambiance dans lequel, il se transporte quand il bosse. (:hearts:) Ses cheveux qui n’ont pas connus de visite chez le coiffeur depuis des années. Aeson préfère couper les pointes lui-même. (:hearts:) Il aime tout autant passer la soirée à bouquiner qu'aller dans un bar avec des amis. (:hearts:) Aeson aime voir de la beauté, même là où il y en a le moins. (:hearts:) Voir sa nouvelle création du moment prendre forme sous ses yeux. (:hearts:) Binge-watcher une saison entière d’une série en une seule journée, de préférence avec sa sœur. (:hearts:) Les animaux, particulièrement les chats.

(🗲) Les clients qui passent plus d’une trentaine de minutes dans sa boutique et qui repartent sans rien acheter. (🗲) Perdre son temps. (🗲) Les tendances et les challenges stupides qui défilent sur ses réseaux sociaux. (🗲) Le froid et la pluie par la même occasion. (🗲) Les fêtes de fin d’années.


nom : Reid
prénom : Aeson, le prénom de son grand-père paternel qu'il n'a jamais connu.
date et lieu de naissance : 11 mars 1994 à Los Angeles
âge : 26 ans
nationalité : américaine
origines : principalement anglaises, mais cela ne le surprendrait pas d'avoir des racines ailleurs.
statut civil : Célibataire
statut social :Il vit correctement et n'a pas à se plaindre. Après tout, ce n'est pas donné à tout le monde de vivre de sa passion. Aeson est dans le juste milieu entre modeste et aisé.
profession(s)/étude(s) : Potier. Avec l'assurance vie de leur père, sa soeur et lui ont touché à leur dix-huitième année assez d'argent pour qu'Aeson puisse acheter un studio de poterie. Celui-ci lui fait aussi office d'atelier et de boutique. Le jeune homme propose même des stages pour adulte "Drink and make stuffs" (bois et fais des trucs). Il a étudié le modelage aussi de côté et sculpte pour son propre plaisir. Son atelier "50 Shades of Clay" se trouve dans le West Hollywood juste à côté du farmers market. Si le nom vous amuse, sachez que cela vient d'un pari perdu...
History, Diary
Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire, vous connaissez ? Je suis sûr que vous en avez entendu parlé, que ce soit la série, le film ou bien le livre. Des frères et sœurs qui se retrouvent sans parent et dont le destin est tout autant bouleversant que rocambolesque. Mais voilà, ceci n’est que fiction, ceci ne montre en rien la dure réalité qu’est de devenir et vivre en tant qu’orphelin.

Je ne vais pas vous raconter le jour de ma naissance en détail, je ne vous dirais pas comment était la météo à ce moment-là, parce que de un : j’en sais rien et de deux : qui cela intéresse au fond ?

Non tout ce que je vous dirais, du début de ma vie, c’est que je suis le premier-né, faisant de moi le l’ainé entre ma sœur jumelle et moi. Je n’ai pourtant jamais utilisé ce titre, à part peut-être pour jouer les frères protecteurs. Abigayle et moi avons toujours été proches l’un de l’autre. Je pourrais vous dire que tous ses clichés sur les jumeaux sont bien vrais, du moins pour la plupart. Parce que non; non, je ne ressens aucune douleur quand ma chère sœur se fait mal. Non, nous n’avons jamais créé notre propre dialecte secret, juste pour parler sans que d’autres comprennent un mot de nos dialogues. Mais le fait d’avoir grandis à ses côtés, d’avoir passé autant de temps avec elle –et encore de nos jours ; je sais quand elle n’est pas bien, quand elle se sent mal, quand quelque chose cloche. Nous connaissons l’autre presque autant que nous-même, mais cela n’a rien de surnaturel.

Nous vivions presque le rêve américain. Un couple, d’heureux enfants, une jolie maison dans laquelle vivre. Il ne manquait plus que la barrière blanche, mais celle-ci n’est jamais arrivée.

Nous avions douze ans, quand notre mère a été diagnostiquée d’un cancer en stade avancé. Cette chose si vile et meurtrière s’était installée dans son corps, ne laissant aucun chemin de guérison possible. Notre lueur d’espoir avait été étouffée sans attente, laissant naître une épaisse obscurité dans nos corps.

Il aura fallu six mois pour que le cancer l’emporte. Durant ce laps de temps si court, notre mère a pu nous voir gagner un an de plus. Il n’y avait eu là aucune réelle fête d’anniversaire, juste une famille, une atmosphère lourde et un gâteau. Je pense que chacun essayait d’alléger l’atmosphère, mes parents en mettant de côté la maladie et nous en essayant d’être excités à l’idée de souffler une nouvelle fois les bougies.

Mr Walton Reid et ses enfants Abigayle et Aeson
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Rose Reid


L’impact de sa mort toucha chaque membre de notre petite famille d’une certaine manière. Et si ma sœur et moi essayions de reprendre un cours de vie normale, notre père lui, "guérissait" son cœur brisé au moyen de l’alcool.

Il était cependant, loin du stéréotype du père alcoolique et de ce fait, jamais ses poings avaient rencontré nos corps. Par contre, nous ne pouvions pas dire la même chose de ses paroles.

Le jour où les médecins ont déclaré notre mère mourante, fut le début d’un long escalier en spirale descendant. Heureusement pour ma sœur et moi, nous n’étions plus des enfants, bien que forcés à grandir bien plus rapidement que la norme. Nous aimions notre père, mais celui-ci nous força à jouer le titre de parent. Essayer de jongler entre le rôle d’adolescent et de parent, est loin d’être facile, mais heureusement pour moi, je n’étais jamais seul avec Abigayle à mes côtés.

Dois-je ajouter que l’école était encore moins une partie de plaisir ? Tenir le titre de « celui qui a perdu sa mère » et les regards remplis de tristesse et de pitié des professeurs étaient loin d’aider notre situation.

Abigayle et Aeson Reid
ont la tristesse de vous faire part du décès de leur père
Walton Reid


Le sol s’était dérobé sous nos pieds, comme si l’escalier s’était transformé en toboggan en l’espace d’une seconde. Un fatal accident de voiture. Pourtant, on aurait dû le voir venir. En l’espace d’une heure nous nous étions retrouvés devant les portes d’inconnus, en traînant dernière nous tout ce que nous avions pu mettre dans nos valises. Vêtements et souvenirs de nos défunts parents se mélangeaient à l’intérieur de ses caisses.

Nous avions aucune chance d’être adopté et au fond, cela n’était pas plus mal. Après tout, nous avions 16 ans quand, nous sommes devenus pupilles de l’état. Nous étions comme ces vieux chats dans un refuge pour animaux, ceux que personne n’adoptent.

Nous ne sommes pas restés bien longtemps dans notre premier foyer. Celle qui s'occupait de nos cas avait eu vent de notre insociabilité avec nos tuteurs légaux. Au fond, il ne fallait pas s’étonner, des jumeaux devenus orphelins et qui se retrouvent à vivre avec des inconnus ; à quoi s’attendaient-ils ?

C’est là, que notre assistante sociale prit la pire décision pour nous : séparer les jumeaux Reid. Je vous laisse imaginer un peu l’impact de cet acte, c’est comme si on vous arrachait une part de vous-même. D’ailleurs, ils avaient eu bien du mal à nous séparer ce jour-là.

Je m’étais donc retrouvé dans un nouveau foyer, celui-ci hébergeait déjà d’autres ados dans mon style. Une cohabitation qui fut un enfer à vivre...

Coupé de ma sœur, je n’étais plus que la moitié de moi-même. Je perdis le goût de bien des choses, en particulier à la vie et à ma passion. Voici la chose qu’on ne voit pas l’histoire des orphelins de Baudelaire. Cette expérience qu’est la perte de ses parents, vous refaçonne sans vous demander votre autorisation. Ce gamin de 13 ans que j’étais, avait quitté cette terre en même temps que sa mère.

Durant ces longs mois, je vis ma sœur qu’à deux reprises. Celle-ci semblait tout aussi affectée que moi par cette séparation. J’aurai pu lui demander comment cela se passait, lui avouer à quel point j’avais mal de mon côté, lui dire tout ce que j’avais sur le cœur. Mais aucun de ces faits n’avaient dépassé le bord de mes lèvres. Peut-être était-ce dû à la peur. La peur de partager ce que vivait l’autre, car cela rendrait cruellement chaque détail noir de nos vies bien trop réel.

C’est à ce moment-là, que je me laissais pousser les cheveux, refusant de les couper, avalant chaque remarque tout aussi puérile les unes que les autres sur ma crinière d’or. Je n’avais aucun temps et énergie à attribuer à ce genre de débilité. Mon visage en avait connu des poings et moi, au lieu de me défendre, je laissais faire. Quand tes émotions sont si ternes et fades, te défendre est loin d’être une priorité.

C’était savoir que cet enfer était passager qui me fit continuer à marcher sur ce satané chemin. Je me mettais plongé corps et âme dans mes études, c’était après tout la porte à ouvrir pour un futur promettant. Je rêvais de vivre de ma passion, un souhait qui avec le temps et l’aide de notre père devint une réalité à ce jour. Je lâchais les tourments de mon âme dans l’art de la poterie et du modelage, afin d’extérioriser ma souffrance.

Au bout de sept/huit mois, notre assistance social eu enfin le bon déclic. Il lui y en aura fallu du temps pour comprendre que son premier choix avait été une belle bêtise de sa part (pour ne pas dire un mot bien plus grossier…).

Je quittais enfin cette baraque de l’enfer pour me retrouver avec Abi dans un foyer bien plus confortable. Le temps passé avec cette famille, fut une période de réadaptation nécessaire pour que le lien de jumeaux se renforce à nouveau. Je retrouvais à nouveau cette part de moi-même et la motivation nécessaire pour petit à petit reprendre goût à la vie. Et si vous vous demandez, si nous nous sommes parlé Abi et moi sur ce qui nous était arrivé durant notre séparation, la réponse est non. Avec ce nouveau départ, nous avions laissé dans le passé ces mois loin de l’autre.

50 shades of Clay
Afin de célébrer le lancement de la boutique
vous êtes cordialement invité à sa soirée de pré-ouverture
le 17 Novembre 2017

Un certain cadeau nous est tombé dessus le jour de notre dix-huitième année : l’assurance-vie de notre paternel. Nous qui pensions avoir perdu l’argent de nos parents durant le procès de l’accident, nous nous retrouvions avec une somme d’argent suffisante pour réaliser un rêve. Tout comme moi, Abi avait reçu une bourse d’étude et me poussait à prendre l’argent de l’assurance pour ouvrir mon propre atelier de poterie après la fac. J’avais d’abord décliné, refusant de prendre sa part pour mes propres fins, mais c’est mal connaître Abigayle, que de croire qu’elle allait abandonner aussi facilement cette idée. Oh que non. Après une soirée à en discuter (à me prendre la tête), à me proposer un plan pour rembourser sa part (à me forcer à voir les bons côtés) et à me dire que c’était là, la meilleure idée (à me traiter de crétin pour refuser, tout en me frappant avec un coussin) ; j’ai fini par accepter (elle ne me laissait pas vraiment le choix en fait).

C’est donc du haut de mes vingt-deux ans, que j’ai acheté mon studio de poterie. Il me fallut cependant un peu moins d’un an pour que celui-ci soit opérationnel. La facture de cette idée était salée, me provoquant bien des nuits blanches. Cependant, grâce à l’assurance et à nos boulots respectifs à ce moment-là de nos vies, nous arrivions à vivre.

Trois ans plus tard, c’est-à-dire aujourd’hui même, 50 shades of Clay à sa petite popularité. Le studio plaît aux touristes tout comme aux habitants de la ville. Je vis mon rêve, même si chaque jour réserve son lot de joie et de malheurs. Je fais de mon mieux pour que mon studio reste au meilleur de sa forme, pour que mes créations plaisent et soient toujours tendance. Le working man que je suis en oublie sa vie amoureuse, il faut avouer que je n’ai pas vraiment le temps pour ça…

J’essaye juste d’être la meilleure version de moi-même et d’apprécier la vie au maximum parce que, quand je pense à mes parents, je sais que la vie peut-être bien plus courte qu’elle ne l’est déjà. Dire que je ne suis plus touché par leur absence serait un mensonge, balancer que je n’ai pas de trauma sur cette expérience en foyer en serait une autre. Nous avons tous des démons accrochés sur nos épaules, mais il en vient à nous de décider de ne pas prendre en compte ce qu’ils peuvent nous murmurer.

Hello, hello, moi je m'appelle Indie. J'ai actuellement 33 (oui, je suis veille) et je vis en FRANCE. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec EMIL ANDERSSON comme avatar. Le forum je le connais grâce à FB et Il est superbe  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 3919751404 . Je remercie également Little Wildling & tumblr pour les petites beautés.


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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 14:33
Bienvenue Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 929825381
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Merci! Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 1381452710
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 16:35
Bienvenue officiellement parmi nous Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 2053055156 Cette jolie petite tête t'est bien réservée en tout cas Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 1747797886 et puis encore une fois si tu as la moindre question n'hésite pas Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 815057589 Bon courage pour la rédaction de ta fiche Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 468627832
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 16:37
Merci Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 732458500
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 16:43
Bienvenue parmi nous courage pour ta fichette :ananas:
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 16:45
Merciii Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 929825381
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 19:00
Yeaaaaah bienvenue parmi nous I love you
Je connais pas le petit, mais il a l'air canon Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works 3421644744 :bigsmile:
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptySam 1 Aoû - 22:52
bienvenue à toi =) ♥♥
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#  Aeson ♣ A heart that hurts is a heart that works EmptyDim 2 Aoû - 12:37
Merci les filles :)
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