Ca faisait des jours déjà, qu'il y avait ce rituel tacite. 23h20 précisément. Sur les plages de Malibu. Santiago venait nager ici, essayait d'aller le plus loin possible. Pas l'envie de laisser la bouteille gagner du terrain un soir de plus. Juste le besoin de se défouler. L'eau était froide. Le sable était collant. Et pourtant il en avait un besoin fou. Les vagues qui frappent doucement ses épaules, alors qu'il s'enfonçait chaque jour un peu plus loin, le ciel chaque nuit un peu plus sombre. Quelques lampadaires au loin. Rien de plus, si ce n'est cette silhouette, à cent mètres de là, qui, comme lui, venait s'enfoncer dans l'immense mare d'encre. Au départ, il avait sciemment choisi de l'ignorer, avait même été dérangé par cette présence inconnue sur son territoire -car à cette heure-ci, aussi loin des boutiques, c'était lui le maître. Puis, jour après jour, peut-être était-ce les vagues, peut-être la curiosité qu'il n'avouerait jamais, mais il s'était décalé, mètre après mètre, brasse après brasse.

Il n'avait encore jamais vu son visage, impossible même de dire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme. Tout ce qu'il avait vu, c'était une poupée de chiffons qui se délestait de ses tissus sur les côtes avant de se jeter dans la gueule de Scylla. Et puis ils avaient un autre point commun que cette curieuse obsession pour les baignades nocturnes. Quand ils arrivaient au bout de leur parcours, après avoir éprouvé bras et jambes par le biais des typhons miniatures, ils s'immobilisaient, et la tête dressé vers la Lune, ils hurlaient, leurs chagrins, leurs déceptions, leurs fureurs. Comme une meute à deux inconnues, liées par leur douleur.

Je devais me changer les idées ce soir, je n’arrivais pas à dormir, j’étais simplement tanné d’être seul et j’étais fatigué de cette vie, même si j’avais plein de collègues auprès de moi. Arrivé sur le sable, je regarde l’eau, je crois bien que je n’étais pas seul ici. J’allais bien voir cela après tout, je retire complètement mes vêtements pour ensuite plonger dans l’eau froide et je me rends assez loin tout de même. Je n’avais pas apporté ma planche de surf, car je ne voulais pas encore plus attirer les requins près de nous. Après quelques bonnes minutes, je m’arrête pour aussitôt regarder la Lune, je hurle soudainement en même temps que celui-ci. Je viens aussitôt frapper dans l’eau en colère pour soudainement laisser des larmes couler sur mes joues et je pleure soudainement. Après quelques secondes, je me ravise aussitôt et je regarde longuement l’horizon sombre. Je me mordis soudainement les lèvres pour ensuite me regarder longuement, l'eau était terriblement froide, elle me réveillait encore plus au moins je dirais. Je regarde longuement le gars au loin pour ensuite m’approche alors de celui-ci tranquillement, je me demandais bien si celui-ci voudrait de moi au moins à ses côtés.


Bonsoir, je peux rester auprès de vous pour profiter de ce moment ?


Je regarde autour de moi pour ensuite nager sur place pour soudainement m’éloigner légèrement de lui. Car j’avais assez envie d’un coup, j’aurais dû pisser avant d’aller dans l’eau visiblement. Une fois, cela fait, j'attendais un moment pour ensuite revenir vers lui. Je me demandais bien comment cette rencontre allait se passer. Je le regarde longuement, mais je reste tout de même à une bonne distance de celui-ci. Il était pas mal, je devrais dire, je souris pour ensuite baisser le regard et je soupire. J’avais vraiment hâte de profiter d’un moment auprès de quelqu’un, car je n’aurai vraiment de besoin ces temps-ci. Je ne voudrais pas non plus exploser devant quelqu’un, car j’avais trop de cela à l'intérieur de moi. Je viens soudainement lui faire dos pour ensuite nager tranquillement sur place.

@Santiago Montero

Ce devait être un drôle de spectacle pour les vagues que ces deux individus sombres, à la silhouette dessinée par la Lune, hurlant leur colère vers le ciel. Santiago avait pris l'habitude de voir cette autre humain fouler l'eau obscure, de l'entendre crier sa rage et ses déceptions. Il faut dire que la nuit était silencieuse, particulièrement ici. Deux âmes esseulées qui se mêlaient dans l'écume pour témoigner des injustices. Tribunal à ciel ouvert, barreau marin, alors que le docteur Montero, toujours sans le moindre indice sur le visage de l'autre, en était venu à penser qu'il s'agissait peut-être de Lui. Mi-soulagement mi-déception quand, ce soir-là, il s'était rapproché, et avait pris la parole. Santiago n'avait pas envie de discuter, pas envie de se livrer, encore moins à un inconnu total. Au départ, il avait fait chemin arrière, s'étant décidé à s'écarter pour mieux couper toute tentative de conversation. Mais le jeune brun continuait de le suivre au fur et à mesure qu'il reculait. A quoi bon fuir, s'il se faisait poursuivre ? Soupirant bruyamment, Santiago décida d'arrêter de bouger, et le regard fixé vers la voûte céleste, ne laissa sa voix rauque marmonner que quelques mots. "Oui, si vous voulez. Mais laissez de la place au silence." Pas même un sourire qui trahirait le moindre remord, la moindre plaisanterie. Il était sérieux. Il avait de toute façon toujours préféré, et de loin, les films muets.

D’accord, j’allais rester auprès de lui en silence, je le regarde pour ensuite regarder longuement le ciel et l’horizon. Je regarde par-là suite l’eau et je soupire légèrement, pour soudainement laisser des larmes couler sur mes joues. Je restais là debout sans bouger, je laissais ses vagues me frapper légèrement. J’étais terriblement bien en ce lieu. J’étais en quelque sorte encore plus avec mon passé, car j’étais toujours dans cette ville, mais je ne voulais pas la quitter, j’aimais trop celle-ci. Alors je devais composer simplement avec le présent. Je viens soudainement faire légèrement du bruit dans l’eau avec mes mains pour ensuite baisser le regard. Pourquoi j’avais eu besoin de se passé je n’aurais pas pu avoir un bon passé comme la plupart des gens. Je frissonne soudainement d’un coup et je grimace assez, c’était tout de même assez froid, mais j’avais l’habitude de ses plages. Je regarde longuement le ciel et ses étoiles pour ensuite m’éloigner encore un peu plus loin de la berge. Je m’arrête aussitôt pour ensuite nager tranquillement dans l’eau. J’étais vraiment dans mon élément et dans ma bulle cela se voyait et j’étais aussi surtout dans mes pensées. Je ferme aussitôt les yeux pour soudainement perdre pied d’un coup, mais je me rattrape aussitôt, pour de nouveau revenir légèrement vers la berge en silence, mais je restais dans cette eau sombre. Je me demandais bien tout ceux que j’avais perdu, ils pensent quoi de moi aujourd’hui surtout que j’étais toujours seul. Je regarde longuement l’homme pour soudainement lui faire dos.

Le murmure des vagues venant chuchoter à l'oreille des plages, alors que soudainement, l'inconnu se mit à pleurer, en silence, ne laissant que le clapotis des eaux faire front au souhait de mutisme du docteur Montero. C'était carrément bizarre. Il avait besoin de tout, sauf de ça. Mal à l'aise, Santiago commença à reculer. Il espérait sans vraiment trop y penser que ce n'est pas sa remarque incisive qui aurait fait office de goutte d'eau de trop, jusqu'à décimer une journée déjà mal entamée pour ce pauvre type. Et en même temps... C'était juste étrange. Tiag avait pris l'habitude de voir des gens, au loin, sur les plages, passé minuit. Au bout de quelques heures, surtout en cette saison, ils s'éclipsaient d'eux mêmes, dans de subtiles volutes de fumée. Mais l'homme était resté là, dans l'eau, debout, à mêler le sel de ses larmes à ceux des profondeurs. Il fallait partir. Dans tous les cas, il n'avait pas du tout envie de partager cette rare intimité avec quelqu'un. Le type avait l'air pas mal. Mais pas le temps de penser à des coups de reins rageurs. Il fallait juste se casser de là. Derrière lui et ses bras qui dessinaient une première tentative de fuite en cassant l'écume, Santiago entendit un vague bruit. Le type avait failli tomber. S'il était bourré, ça n'était pas non plus une bonne idée de le laisser là, au milieu de l'océan, avec quatre degrés dans le sang. C'était la noyade assurée. Il fallait boire et venir, boire et venir, boire et venir, en boucle, continuellement, pendant plusieurs soirs, pour apprendre à oublier l'alcool au milieu des eaux. D'un côté, le chirurgien n'avait pas envie de laisser ce pauvre type à sa mort certaine. De l'autre, il n'en avait pas grand chose à foutre des inconnus larmoyants. Il fallait trancher - mais déjà, l'autre revenait, grand sourire, à la nage. Soit il n'avait pas compris le sens caché du silence, donc le besoin de solitude, soit il avait bien aimé l'acidité de Santiago et en redemandait. Grande inspiration. Il allait ramener ce mec sur la berge, et aller nager plus loin. Seul, cette fois. Jusqu'au bout de la nuit.

Visiblement, j’étais seul avec cet océan et ses pensées ce soir, ce type ne voulait vraiment pas me voir. Je l’avais vraiment dérangé alors je ne sais si je devais lui parler ou non probablement pas. Même pas pour me changer les idées ou même pour l'aider, car il voulait être seul. Je regarde longuement la berge, il était peut-être temps pour moi de quitter cette plage et de retourner chez moi à hurler seul dans ma chambre. Je regarde longuement l’eau pour ensuite soupirer longuement, je regarde longuement le gars en silence pour ensuite aller vers la berge une fois sur celle-ci, je viens soudainement m’asseoir sur le sable froid tout en me laissant refroidir par le vent du lieu. J’étais seul je n’avais que ses fans autour de moi et personne d’autre dans cette ville pratiquement, toutes mes rencontres était pratiquement des échecs, je trouvais, je n’étais sûrement pas un bon gars pour les autres de cette ville. Je tremble soudainement pour ensuite me lever et je me séchais comme je le pouvais, je regarde autour de moi pour ensuite regarder l’horizon de l’eau. J’avais vraiment envie de hurler, mais le gars allait sûrement me trouver de nouveau bizarre.


Personne ne veut de moi dans cette ville à part mes fans, je suis terriblement seul !


Je respire soudainement rapidement pour ensuite hurler terriblement de douleur. Je préférais mourir d’un coup que de continuer à vivre ainsi, mais je savais bien que je devais continuer à vivre malgré toute cette douleur et retrouver ma place dans cette vie. Je me demandais bien qu’allait être la suite des événements, mais je crois bien qu’il allait me faire sortir de cette plage alors que moi, j’allais retourner bien au chaud dans ma maison et prendre une bonne douche et après, j’allais bien voir si je réussis à dormir de nouveau, alors que j’étais seul dans mon lit, ce soir cela m'aurait vraiment prit quelqu’un simplement pour cette nuit au moins. Je laisse aussitôt des larmes couler sur mes joues et je restais ainsi en silence, je sentais que je ne pouvais plus bouger d’un coup, je ne savais pas trop pourquoi. Décidément, j’étais un bon à rien et personne ne voulait de moi. Je viens soudainement essuyer tranquillement ses larmes du revers de la main.

A nouveau, le silence brisé, harmonie muette, des guitares de la mer jusqu'à l'orgue des écumes, le type impose sa voix et de nouvelles lamentations. Il s'est laissé tomber sur le sable, et je commençais déjà à repartir vers les vagues avant qu'il ne m'interrompe avec une plainte sonore. Je secoue la tête. J'ai jamais aimé les états d'âmes des autres. Depuis quelques années, j'ai déjà du mal à lutter avec les miens, alors me demander d'absorber et de solutionner ceux des autres... C'est trop. La recette la plus basique et épurée d'un cocktail molotov. Je n'ai finalement que ces instants de perdition entre les vagues, quand je me fais fauve à hurler à la lune, pour complètement décompresser. Ce sont les seuls moments pendant lesquels je suis presque sobre. Je sais qu'il pourrait être là, le spectre qui me poursuit depuis de très longs mois, qu'il pourrait être en train d'analyser la situation pour mieux m'emmener au loin, à batifoler dans l'Océan pour y créer un tsunami dans lequel il pourra me noyer. De ses reins à la vague, une seule secousse pour m'entraîner jusqu'au fond. Parfois, je songe à arrêter, à le laisser gagner. Mais c'est trop facile. Je vaux mieux que ça : et en regardant ce pauvre type sur la plage, la tête entre les genoux, prêt à pleurer à nouveau, j'ai un vilain reflet. Je refuse d'être comme ça. Je ne veux pas baisser les bras, repartir avec toute mon acidité, mon aigreur, mes déceptions. Rien qu'une soirée, je veux rester fort, maître de moi-même, seigneur de cette lune qui se jette en onde sur l'eau troublée. "Tu comptes vraiment chialer toute la nuit ? T'as pas une femme, des gamins qui t'attendent ?" Les mots sont durs, peut-être même cruels. Je peux me le permettre, maintenant qu'il a retrouvé le chemin de la côte, il ne risque pas de se jeter sur un lit de coquillages. "Si tu comptes sur tes "fans" pour redresser le navire à ta place, t'es pas prêt d'aller mieux. Reprends-toi, t'es pas un gamin, merde !" Comme si je projetais toute ma colère, toute ma frustration sur ce pauvre mec. Je serre la mâchoire, les jambes figées dans le sable, à l'entrée du point d'eau, prêt à rejoindre les sirènes en quelques pas.

Je viens soudainement remettre tranquillement mes vêtements pour ensuite écouter ses paroles. Non, je n’avais plus de copine vu ce qu’elle m'avait fait et maintenant, j’ai peur à cause de cela et non je n’avais pas d’enfant également peut-être un jour, je l’espérais bien. Mais oui, je devais me reprendre, mais je ne savais pas trop comment je n'avais aucun ami ici dans cette ville. Je regarde longuement le ciel et cette Lune en silence pour ensuite regarder intensément vers lui.


Non, mon ex m'a fait quelque chose d’horrible alors je l’ai quitté, depuis je ne suis pas trop à retrouver l’amour auprès d’une fille. Oui, je fais de mon mieux pour me reprendre si tu savais !


Je ne savais vraiment plus quoi faire de ma nuit maintenant, je regarde autour de moi pour ensuite soupirer. Je me demandais bien comment allait être avec moi celui-ci maintenant que je lui avais parlé de tout cela. Je regarde longuement l’eau pour ensuite m’asseoir dans le sable et je restais ainsi en silence, j’étais terriblement dans mes pensées d’un coup. Je ferme aussitôt les yeux pour ensuite profiter tranquillement du léger vent qui avait soudainement dans ce lieu. J’espère qu’il allait être plus gentil maintenant avec moi aussi non bon soit que j’allais partir ou bien, j’allais le laisser faire après tout. Mais j’aimais bien étrangement sa présence, car il semblait lui aussi brisé à l’intérieur tout comme moi. Je viens soudainement m’étirer tranquillement pour ensuite me demander si lui-même avait une femme ou bien un homme qui sait ou encore des enfants.


Toi, tu as quelqu’un dans ta vie et des enfants ?


J’ouvre enfin mes yeux pour ensuite regarder longuement le ciel et de nouveau cette Lune. J’espère que je n’allais pas me faire ramasser à cause de ses paroles, aussi non cela allait être de ma faute après tout car j’avais abordé le sujet tout comme il avait fait avec moi.

Pas la moindre culpabilité qui m'étreint quand ce type me raconte ses problèmes. Tout au plus un rictus. Une histoire de coeur. De sexe, même. Probablement. Le type avait dû se faire berner par ses phéromones. C'était toujours ça, le scénario. Rencontre. Bisou. Tendresse. Baiser. Sauvage. Tromperie. Rupture. Il y avait rarement des éléments intermédiaires. Je ne lui réponds même pas. Me contente de me laisser tomber dans le sable. Les pieds dans les vagues. Lorsqu'elles les atteignent. Le regard figé vers le ciel. Bénéficiant de la plénitude totale. Loin de tous les tracas. Loin des bouteilles. Pourtant, j'aurais bien dû en jeter une à la mer. L'autre revient. S'assoit à côté de moi. Bon, déjà il s'est rhabillé. Sa voix brise la quiétude océanique. Les naïades rouspètent, et je manque grogner. Une question. Indiscrète, en plus. Je me redresse sur mes avant-bras. Fixe l'écume, balayée, qui revient pourtant à chaque fois. Les étoiles vont se noyer, à plusieurs centaines de mètre de cet acte tragique. "Non. Pas de gamin, pas de mari. Personne." Je le regarde rapidement, évalue son visage, ses traits malmenés par les larmes versées il y a quelques minutes. "On est jamais mieux que tout seul." Discrète allusion à ma soirée, dont les rites ont vacillé il y a une vingtaine de minutes. Quand il s'est pointé, avec ses désespoirs et ses déceptions. Quand il est venu troubler les miens. Message qui ne semble pas passé, puisqu'il reste là, les yeux fixés sur moi. Je dresse les sourcils. Soupire. "Qu'est-ce que tu veux, exactement ?" En espérant débloquer la situation. Retrouver un peu mon harmonie. Juste moi et Poséidon. Son trident et mon acidité qui vient le ronger. L'océan n'est pas qu'à moi, mais pourtant jamais je n'ai eu un tel désir de l'acheter et de me le réserver.

Donc il était comme moi pas de personne à aimer et n’y de gamin très bien. Effectivement parfois on étais mieux seul, mais parfois on n’avait besoin d’être entouré également pour plusieurs raisons. Visiblement, ce type voulait que je parte, je crois bien, c’est cela que j’allais faire. Je voulais vraiment le revoir celui-là peut-être qu’il allait mieux m’aimer à une prochaine rencontre, car c'était peut-être le mauvais moment visiblement pour parler un peu, je crois bien pour le connaître. Je devrais peut-être dire mon nom tout de même avant de quitter cette plage. Je regarde autour de moi.


Oui, parfois, on est mieux seul, mais on a toujours besoin de quelqu’un à un moment…


Je voulais avoir un ami ou une personne à qui parler ou autres ou voir plus. Je voulais connaître les autres, mais visiblement, personne ne me voulait. Je regarde longuement autour de moi et puis la sortie de la plage. Je ne savais vraiment plus trop quoi dire à celui-ci d’un coup, je ne voulais pas le déranger, car il voulait que je parte après tout, je soupire légèrement pour ensuite m’étirer tranquillement d’un coup.


Je suis Tyler Sawyer et toi ? Je cherche à me faire des liens et avoir une personne à aimer et à connaître les autres a par mes fans rien de plus. Mais visiblement, tu veux être seul alors je vais te laisser à bientôt…


Je me lève aussitôt pour ensuite lui faire dos, j'allais aller chez moi boire et faire mes trucs seul encore, je crois bien comme à chaque jour et soir. Cela est quand je ne travaillais pas au studio. Soudainement, je sentais mon corps réagir d’un coup, d'accord cela n'était vraiment pas prévu visiblement, il me plaisait plus que je pensais. Je viens soudainement me plier en deux pour du même coup grimacé, je viens terriblement rouge pour ensuite essayer de faire passer la douleur.