Petit titre ici ici vous pouvez mettre ce que bon vous semble ou ne rien mettre.
nom : Moore
prénom : Evelyna
date et lieu de naissance : 27/12/1985
âge : 34 ans
nationalité : je possède la double nationalité canadienne et américaine
origines : Mon père est un américain et ma mère une canadienne
statut civil : célibataire et maman d'un petit franklin
statut social : riche mais ne le montre pas
profession(s)/étude(s) : Journaliste au Scarlet
History, Diary
Ma personnalité :
Spoiler:
Le premier mot que j’utiliserais pour me décrire serait l’indépendance. En effet, je n’ai jamais eu besoin de personne pour arriver à ce que je voulais. Même sans l’argent de me parents j’ai persévéré à poursuivre mes rêves coûtes que coûtes. ♔ Je suis également très têtue. On peut dire que cela va un peu avec mon tempérament d’indépendante. Il m’arrive parfois de rester sur mes positions si je suis convaincue d’avoir raison. Mais avec une bonne dose d’arguments il est possible que je change d’avis. ♔ Je suis très créative, je prends quelques cours de dessin à mes heures perdues et j’ai pratiqué pendant de longues années le piano. ♔ L’empathie, est un autre mot qui me correspond bien. Même si je n’ai besoin de personne dans la vie pour avancer, je suis tout de même là pour mes amis et les gens qui m’entoure et je n’hésite pas à me dévouer corps et âmes pour eux. ♔ Je peux être rancunière. La preuve avec mes parents, même après leurs excuses j’ai eu du mal à passer outre toutes leurs paroles. Je pardonne et je peux oublier mais pas facilement. J’ai besoin de temps. ♔ Je suis protestante. Mes parents sont des fervents catholiques mais moi j’ai décidé de me tourner vers le protestantisme que je trouve beaucoup plus libre et moins contraignant. Je trouve que cette religion est plus moderne et me correspond plus. Je crois en Dieu car j’ai besoin de croire que rien n’arrive par hasard dans la vie. ♔ J’ai peur de la mort. Il m’arrive d’avoir des crises d’angoisses en pensant que ma vie pourrait subitement s’arrêter sans prévenir ou bien que je pourrais perdre un de mes proches. J’essaye de penser à autre chose quand cela m’arrive. ♔ J’aime les animaux. J’ai adopté un petit FRANKLIN, une tortue de Floride, à mon retour de mon voyage au tour du monde. Je voulais prendre un petit animal à poil mais je me suis dit qu’en colocation c’était peut-être pas le mieux.
Ma famille :
Spoiler:
Mon père est un riche promoteur immobilier. Il possède une grande majorité de l’immobilier de Los Angeles et également des biens sur plusieurs autres villes la côte ouest des Etats-Unis. Il a hérité son entreprise de son père qui lui-même l’a hérité de son père.
Ma mère possède une entreprise d’évènementiel, qu’elle dirige depuis la maison la plupart du temps. Les bureaux de sa société sont basés à Montréal mais une succursale s’est créée à Los Angeles depuis une dizaine d’années.
Mes parents se sont rencontrés lors d’un gala de charité à Montréal dont ma mère était l’organisatrice. La grossesse de ma mère n’avait pas du tout été programmée. Mon père épousa ma mère précipitamment pour sauver les apparences. Qu’auraient penser les gens s’ils avaient su que mes parents avaient des relations hors-mariage … ? Même si cette union a été fait dans l’urgence, j’ai toujours su qu’il y avait un véritable amour entre eux. Même si j’avais des différents avec mes parents, je respectais leur amour car il était le plus sincère que j’avais jamais vu. Chacun était dévoué totalement à l’autre et même dans les plus durs moments ils se soutenaient.
Hello, hello, moi je m'appelle Tamara. J'ai actuellement 26 rides et je vis à/en France/Bordeaux. Je joue comme personnage un INVENTÉ avec Emily VanCamp comme avatar. Le forum je le connais grâce à Discord des rôlistes et vive les chats !. Je remercie également kennyomega/shilon-avatars pour les petites beautés.
« Ces deux prochains mois, nous allons travailler sur les médias. Je vous ai répartis en plusieurs groupes de travail. Certains travailleront sur les journaux, d’autres seront rattachés à la radio et enfin le dernier groupe sera sur la télévision. Avant que l’on me demande, non il n’est pas possible de changer de groupe. » Une feuille se posa sur mon pupitre. Je la regardai attentivement et un léger sourire s’afficha sur mes lèvres. Les journaux. C’était au détour d’une mise en situation, lors d’un cours au collège que mon avenir se traça devant moi. J’avais toujours adoré écrire mais le fait de travailler sur la conception d’un journal et notamment d’écrire des articles me conforta dans l’idée que je devais mettre ma plume au service de la communauté. J’étais rentré le soir-même chez moi et avait annoncé à mes parents que je souhaitais devenir journaliste. Sur le moment je ne compris pas l’échange non-verbal qui se passa entre mes parents. Un regard de ma mère vers mon père. Un froncement de sourcils de la part de ce-dernier. Je ne savais pas à l’époque que mes parents avaient déjà tracé un tout autre chemin de vie pour moi et que le journalisme n’en faisait clairement pas parti. Seulement, je n’en su rien car ils n’en dirent rien. De faux-sourires et des paroles d’encouragements peu convaincantes me parvinrent avant que le sujet ne change. J’étais jeune, naïve et surtout j’étais une fille.
Cette passion pour l’écriture continua au travers de toute ma scolarité. Arrivée au lycée, je m’inscris naturellement au club de journalisme. Seulement, ce ne fut pas le seul club que je rejoignis à cette époque-là. J’intégra également l’équipe de cheerleader sur un concours de circonstance. Alors que je menais une interview de l’équipe on me proposa de faire un remplacement. Téméraire, je décrochai le test haut la main et devint alors une pom-pom girl. Encore un hobby qui déplut clairement à mes parents. Plus je grandissais, plus je prenais des choix dans ma vie et plus j’avais l’impression de les décevoir. « Ces filles en tenues légères ont mauvaise réputation et on ne veut pas de ça pour toi Evelyna. Comment pourrais-tu avoir de la crédibilité en te trémoussant avec une mini-jupe qui dévoile presque tes fesses ? » lâchait ma mère sur un ton assassin. Je sentis les larmes me monter aux yeux tellement ses paroles étaient blessantes. Avec du recul, je me rendis compte que ce jugement de la part de ma mère serait positif sur la construction de mon identité. En effet, un sentiment de militantisme naquit au creux de moi au fil du temps. Parce qu’une femme s’habillait en jupe courte, elle n’était donc pas sérieuse ? C’est ce que pensait mes parents et beaucoup d’autres gens malheureusement. Mes années de lycée, je les passais à vadrouiller le plus clair de mon temps en dehors de la maison, soit avec l’équipe de foot, soit avec l’équipe de journalisme. Je ne m’entendais pas avec mes parents et cette situation était pour moi étouffante. Ils avaient beau être mes parents, nous ne partagions pas les mêmes valeurs conservatrices, voire rétrogrades.
2001/2002 : Arrivée à la fin de mon cursus au lycée, les relations avec mes parents se dégradèrent de plus en plus. Mes parents souhaitaient que je reprenne les rennes de l’entreprise familiale. J’avais d’excellente notes en calcul et mon père avait déjà appuyer mon inscription à l’université de Los Angeles dans la branche du commerce. En effet, mon père était le plus gros promoteur immobilier de la ville et n’ayant pas d’autre enfant que moi, il était tout naturel que ce serait moi qui lui succèderais. « Ma fille, tout est prévu depuis le jour de ta naissance. Tu seras mon successeur et pour ce faire tu te dois de décrocher ton diplôme de commerce. Ce n’est pas négociable. Je ne financerais pas tes études pour d’autres lubies inutiles ! » Des lubies inutiles ? Est-ce que ma plus grande vocation n’était que cela à ses yeux ? Je me sentais en colère, incomprise et il ne m’en fallut pas plus pour comprendre que je n’aurais jamais le soutien de ma famille. Je décrochai mon diplôme avec les félicitations et quitta la maison immédiatement après le bal de promo.
2002 : Je squattai ici et là chez des amis durant l’été précédent mon entrée à la fac. Je fis une demande de bourse de dernière minute à la faculté qui fut acceptée. Une sororité me repéra bien vite sur le campus et m’invita à entrer dans leurs rangs. Je me doutais que le nom de mon père en était certainement pour quelque chose, mais jamais les filles ne me le firent sentir. Elles m’acceptèrent pour la femme en devenir que je construisais et non pas pour la fille du grand Moore à qui la majeur de la ville appartenait. Ma vie étudiante était plus que mouvementé. Entre fêtes étudiantes, mon implication dans la gazette du campus et mes cours, je n’avais pas le temps de m’ennuyer. J’avais coupé les ponts avec mes parents. Je savais que ma mère me suivait sur les réseaux sociaux et je mettais régulièrement à jour mon profil afin de lui signifie que j’étais toujours envie, mais cela s’arrêtait là. Et puis un jour, le téléphone sonna. Un sanglot étouffé et puis la voix de ma mère. « Ton père a eu une crise cardiaque. Tu dois rentrer s’il te plait. » Mon cœur se serra dans ma poitrine. Malgré tout ce qui avait pu se passer, j’obéis à ma mère et rentra chez moi auprès de ma famille. Mes parents me firent un mea culpa sans que je m’y attende. Apparemment, frôler la mort avait fait prendre conscience à mon père qu’il avait été injuste avec moi toutes ces années. Mais des excuses ne seraient pas suffisantes à reconstruire ce qui avait été détruit entre nous. Chacun de nous aurait besoin de temps. Je retournai auprès de ma sororité et promis de passer une fois par mois à la maison.
2008 : J’obtins mon diplôme de journaliste après cinq ans de dur labeur. « Nous sommes fiers de toi. Tu seras une excellente journaliste. » Les paroles de mon père à la remise de mon diplôme me réchauffèrent le cœur. Je voyais dans ses yeux la sincérité de ses mots. C’était la première fois que je sentais une quelconque reconnaissance de sa part. Pour une fois, j’avais l’impression de ne pas avoir tout raté dans ma vie lorsque je lui faisais face.
Je décrochai un job, puis un autre et encore un autre dans différents journaux de Los Angeles. Je travaillais également en freelance pour compléter mes revenus. Chaque équipe, chaque ligne éditoriale était différente mais je sentais que je n’arrivais pas à trouver complètement mon bonheur. J’avais envie de m’impliquer sur des sujets plus impactant, plus militants sans vraiment trouver ce que je désirais.
2017 : Un jour que je commençais à étouffer dans cette ville de Los Angeles, je pris une valise, mon passeport et m’en alla faire le tour du monde. Je partis à la découverte de communautés plus différentes les unes que les autres. Mon périple, je le retranscrivais en direct sur un blog. A mon plus grand étonnement il avait pas mal de succès et je me créai une petite blogosphère avec des lecteurs fidèles. Petit à petit, mon aventure se transforma en un travail de recherche sur la place de la femme à travers le monde et l’histoire. Au cours de mon aventure, qui ne dura pas moins d’un an et demi, je fus contacté par Scarlet. Ils avaient vu mon implication sur la toile et cherchait à me recruter.
2019/2020 : Au terme de mon voyage, je rencontrai donc la rédactrice en cheffe et je fus totalement comblée. Je travaillais une année en tant que freelance et puis on m’offrit un poste en tant que rédactrice web du magazine sur des sujets impliqués sur les femmes. Je m’y retrouvais complètement dans leurs valeurs et j’y trouva une place de choix pour ma plume.
Les relations avec mes parents se sont améliorées même si je sais qu’ils ne comprennent pas pourquoi je travaille pour un magazine comme Scarlet au lieu d’essayer de décrocher un poste au Times. Nous avons toujours beaucoup de différents mais chacun essaye de prendre sur l’autre. Je ne suis également pas dupe et je sais que mon père serait plus que ravie de me voir me rapprocher de son jeune associé qu’il voit comme un potentiel successeur si celui-ci vint à faire ses preuves. Un mariage entre-nous deux assurerait de garder l’entreprise dans la famille … Il n’en dit rien mais je sens son petit plan se former autour de nous.
Tomas Vacaresco
The Winter Puppy ★
Signe Astro : Métier : Prénom : ichi
Avatar : Sebastian Stan Messages : 3169 Dollars : 50 Date d'inscription : 05/03/2020 Multicompte(s) : Raegan, Isaiah, Abel, David, Miles, Angus, Lachlan, Elijah, Aeries Crédits : ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : mes huit ans après que mes parents ont immigré de Roumanie , j'habite : une villa à Berverly Hills depuis que mon appartement à Central s'est écroulé . On me surnomme : Tom, Tommy , j'ai : 36 ans et je suis né.e le : 16 janvier . Je suis : en couple et amoureux avec Benjamin Patterson et : pansexuel . Aujourd'hui, je suis : acteur.
you're too kind, honey
All these lights are changing, see them everywhere
In my veins like lightning, I don't even care
And the crowd is heavy, I don't wanna move
All these colours in me, but all I see is you
And nothing else matters