Oui j’avais confiance en lui la question ne se posait mais.. mais l’entendre enfin le lire, il me m’abandonnerait pas.. Et c’était impossible, je le savais, tout le monde le savait. On ne pouvait pas promettre de telles choses. Hayden était à peine sorti du coma.. Moi j’avais eu trois jours dans cet état avant d’abandonner le navire pendant deux ans presque, alors je devais attendre d'avoir des nouvelles de le voir sortir de la pour etre sure que lui irait bien.. Mais c’était une promesse que je ne voulais plus entendre même si elle m’avait chauffé le coeur un instant. Ariel avait raison. On n’avait bien fait de ne pas céder, de ne pas craquer, et nous étions amis rien d’autre, le respect mutuel et cette complicité si rapide avait fait tanguer la frontière entre les deux mais n’avait pas eu raison de nous. Alors il était le premier au courant de ce rencard avec Declan. C’était son ami après tout.
J’avais passer ma journée à chercher une tenue et lorsque mon kiné était arrivé, il avait trouvé mes jambes bien plus détendues. Ce qui m’avait fait sourire. Cette amitié, ce rencard en perspective, même si je m’inquietais pour Hayden, j’avais le coeur un peu plus léger aujourd’hui et c’était surement lui qui avait raison. Mes jambes étaient gérées par mon esprit et mes états psychologiques.
Une robe a fleur, j’allais être ridicule, mais je la couvrais d’un grand trench en lainage et mes collant étaient opaque alors on ne verrait rien. Mes chaussures qui tenaient mes chevilles au cas ou j’aurais à me lever et tenir peut etre un peu sur mes jambes.. Mes boucles tombant sur mes épaules, je restais le plus naturelle possible. Marius m’aida pour me preparer , ce n’était pas dans ses attributions mais Luke et Frankie au chevet d’Hayden il ne voulait pas me laisser seule. Alors .. j’attendais patiemment en finissant de ranger ma coiffeuse que Declan arrive.
Enfilant le collier que mon frère m’avait offert et la bague de ma grand mere, je tournais la tete quand la sonnette retentis. Marius me poussa jusqu’à l’entrée. Il ouvrit la porte et s’éffaca. « Je vous laisse. Bonne soirée Jules. » Il mit sa veste et parti, non sans avoir avant glisser à l’oreille de Declan. « Prend soin d’elle. » Je plongeais mon regard dans les azurs de Declan. « Salut.. »
Il suffit d'une seule rencontre pour faire basculer notre monde. | @Jules Call
Tu étais bien placé pour savoir que promettre que tu n’abandonnerais une personne, parfois de toi-même tu y étais forcé. Tu as énormément perdu dans ta vie, de nombreuses étoiles. Tu as perdu celle que tu aimeras probablement tout au long de ta vie même si tu dois te forcer à faire ta vie sans elle et même refaire ta vie, réapprendre à aimer de nouveau, d’un amour différent de celui que tu ressentais pour la défunte. Puis tu as perdu ton bro, ton frère, celui que tu considérais réellement comme tel à la fin, lors du démantèlement du gang. Puis il y avait ta meilleure amie que tu ne pensais plus de ce monde mais que tu as croisé il y a peu avec une rencontre plus que tumultueuse. Mais tu sais aussi que l’on dit que les meilleurs partent les premiers, tu seras donc le dernier à partir. Tu n’avais donc pas écrit ses mots par message sans les penser.
Tu avais passer ta journée a parler aussi bien avec la jeune femme qu’avec ton ami Ariel. Il cherchait son pull vert, ou plutôt il avait besoin de gratter des informations. Quoi qu’il en soit, tu n’avais pas retrouver son pull vert étrange et tu avais fini par trouver une tenue pour toi. Ton fameux cuir marron que tu trimbales avec toi depuis quelques années maintenant, avec un as de pique au dos, completer d’un pull blanc et d’un jeans noir et des chaussures de ville, basket noir. Puis tu avais par la suite passer un peu de gel dans tes cheveux pour les maintenir en place et une dose de parfum le mâle, que tu met qu’à de très grandes occasions puisque c’est Séphora qui te l'avait offert et que tu ne veux pas le finir.
Exceptionnellement, tu avais laissé désiré à la maison et tu avais opté pour que l’on te prête une voiture. Ce n’est certes pas une grande voiture de luxe mais plutôt une voiture citadine, une ford c-max. Tu ne sais pas si tu fais bien, si elle pourra monter dedans ou non, mais tu avais fait en sorte d’avoir un assez grand coffre pour mettre son fauteuil mais aussi qu’elle puisse monter devant avec toi. Tu savais que tu devais rendre la voiture, le lendemain puisque ce n’est pas un prêt éternel mais surtout que tu restes celui qui se satisfait de sa moto.
Enfin tu arrives devant le lieu de rendez vous donner par Jules, tu finis par sonner pour qu’elle débarques avec son fauteuil. Tu as hâte de la revoir, tu as cette envie de l’emmener voir les décorations de noël fait par les habitants de Los Angeles sur leur maison mais aussi de la ville. Tu n’es pas réellement faite de fin d’année, tu ne l’as jamais été et tu l’ai encore moins maintenant que tu as été à deux doigts d’être père, que tu as frôlé ton rêve de construire ta famille. Mais exceptionnellement avec cette femme tu as envie de la rendre heureuse, tu as envie de voir des étoiles brillé dans ses yeux.
Puis elle finis par arriver avec un homme qui te préviens de faire attention à elle, au quel tu réponds de ne pas t’en faire que tu le feras. Salut Que tu répons à la jeune femme. Alors dit moi tu es prête à aller voir les illuminations? Dit tu tout en te positionnant derrière son fauteuille pour la pousser jusqu’à la voiture. J’ai laisser désirée pour aujourd’hui, tu ne m’en veux pas? Que tu lui demandes te rappellant de la fois où elle pensait ne pas être assez bien pour monter dessus.
Marius m’avait aider à assembler mes affaires avant que Declan arrive, il avait même pris le temps de me laisser un peu seule, pendant qu’il finissait de ranger le matériel de kiné. J’avais peur, j’avais tenter de me faire jolie, Ariel avait dit que meme avec un jean je le serais mais j’avais envie de faire cet effort, qu’il me voit autrement.. En plus il pousserait mon fauteuil donc je ne pourrais pas lui demander de ne pas le voir , la ce serait impossible. Je lissais la robe sur mes genoux en repensant au jour où je l’avais acheter. Jessye était encore là. Et nous etions toute les deux en tenue d’équitation. De vraies nanas des champs au centre commerciale, on avait une soirée au club le soir et je n’avais pas envie de mettre la même tenue qu’une fois d’avant. Elle avait trouver que ca faisait mignon, je lui avais repondu que mes frères seraient là alors il valait mieux mignon que sexy. Elle avait ris.. Elle me manquait, et là dans ce moment où les doutes sur un mec me prenait, j’avais envie de l’appeler, et de lui dire que j’avais la trouille, que j’avais peur qu’il me touche, qu’il me blesse, qu’il me detruise, qui ne me voit que comme … « Je me suis taper une nana en fauteuil, ca y est la case est coché. » Oui oui certain avait le trip de se taper une nana de chaque case, une afro, une a lunette, une avec un appareil, une petite, une grande, une handicapée.. Peut etre même la soeur de son meilleur ami, qui sait.. J’avais peur mais Marius m’avait pousser jusqu’à la porte, sa main sur mon épaule, je savais que je pourrais avoir confiance, lui serait là, et Ariel aussi, il m’avait dit que je pourrais le harceler de messages si ca n’allait pas. Et puis j’avais une étrange confiance en cet homme au regard azur même si je ne l’avais croisé qu’une fois.
Desirée ne serait pas notre monture pour ce soir, et je remerciais Declan du regard, tournant ma tete vers lui pour lui répondre. « Plus que prete. » Impatiente. Je le suis enfin il me pousse alors je n’ai pas le choix. « Je.. la prochaine fois j’aurais mon fauteuil tu n’auras pas besoin de me pousser, je me drouille pas trop mal, mais celui la n’est pas autant adapter. »
Je serre mon manteau contre moi et lache un petit rire. « J’aimerais bien remonté dessus, c’était .. plaisant. » Etre coller contre son corps, être si proche de lui.. C’était rare que je le sois.. Enfin dernierement avec Ariel, mais il n’était qu’un ami.. Declan c’était autre chose. Une fois hors de la maison je lui tendis les clefs pour qu’il puisse fermer la porte à clef. Et puis.. je savais que personne ne rentrerais , Luke dormait ailleurs Frankie s’était arrangé, pour que j’ai la maison pour moi seule.. Et Declan.. « Alors tu sais où tu m’emmenes? »
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Jules est une personne bien mystérieuse à tes yeux, ce n’est pas ce qu’elle est, ce qu’elle représente mais plutôt l’effet qu’elle produit chez toi depuis que tu l’as rencontrer. Cela fait des années que tu n’avais pas penser à une autre femme, cela fais des années que tu n’avais pas regarder le sexe opposée avec un désir qui pourrait être plus que sexuelle mis à part Séphora. En effet, autrefois tu étais un homme presque marié, un homme éperdument amoureux et qui aurait dû être père d’une petite Séléna, un dérivé de Séléne, la déesse de la lune. Un prénom choisi avec ta futur femme, celle pour qui tu aurais donner le monde. Aujourd’hui, elle est la déesse de ta lune tout comme sa mère. Cela fera un an et quatre mois, le vingt quatre décembre qu’elle est partie rejoindre le ciel, te laissant toi seul sur terre. Tu te souviendras toute ta vie de ce jour, ce moment où tu as reçu un sms d’adieu puis lorsqu’on l’a retrouver en petit morceau ayant été écrasé par un train. Tu as eu l’impression d’être l’entier fautif, et tu as bien failli mettre le feu à ton appartement si ta petite soeur de coeur n’avait pas été présente. Aujourd’hui encore tu t’en veux mais tu arrives à vivre avec, à survivre. Tu avais mis plus de six mois pour coucher avec d’autre femme, ne fréquentant jamais la même pour deux soirs alors tu dois avouer que c’est étrange ton désir, ton regard, le fait que tu penses à Jules plus souvent que tu ne le devrais. Tu l’avais rencontré lors d’un événement perturbant mais pas autant pour toi qui fait parti d’un gang, et tu avais eu la chance que ton ami Ariel l’ai pris en photo puis poster sur instagram sinon probablement que tu ne l’aurais jamais retrouvé. Tu as demander son numéro au jeune homme qui te l’as donner, te donnant de plus une information crucial en te disant qu’elle te considéré comme un preux chevalier. Depuis tu sens bien que ton ami est attaché à la jeune femme et qu’il est protecteu à son égard. Mais tu lui avais fait savoir que tu ne lui ferais pas de mal que ce n’était pas ton but mais que au contraire tu avais juste besoin de savoir qui elle était, tu as besoin de savoir pourquoi elle te rend ainsi, pourquoi tu rêves d’elle, pourquoi tu penses à elle. Alors tu avais finit après quelques messages échangés lui proposer de venir avec toi voir les illuminations de noël. Toi qui pourtant n'est pas fête depuis que tu es enfant et d’autant moins depuis deux ans depuis le départ de ta douce. C’est à ce moment précis que tu as besoin qu’on te laisse en paix et pourtant tu avais eu envie de voir les yeux de la belle Jules briller, rêver tel une petite enfant. Tu avais fait savoir à la douce brunette que ce soir, la monture ne serait pas Désirée et vous aviez d’ailleurs échangé quelques plaisanteries à son sujet. Mais tu dois dire que cela fait des années que tu n’as pas conduit une voiture en dehors de pour les réparer. Ce n’était pas une voiture grand luxe comme la jeune femme avait déjà du avoir puisqu’elle est la soeur d’un grand chanteur mais c’était le mieux que tu avais eu pour tes moyens. (Et encore tu avais dû monnayer pour l’avoir un de tes services de bricoleur) C’est à bord de la ford c-max que tu promenerais donc la belle en espérant qu’elle ait assez de place pour son fauteuil et ses jambes. Tu demandes à la jeune femme si elle est prêter tout en commançant à la pousser pour te diriger à la voiture, et tu es heureux de savoir qu’elle l’est. Je t’avoue que c’est pour toi que je fais ça. Ce n’était peut être pas quelque chose que tu devais dire, mais tu le fis. Tu ne pouvais pas lui cacher la vérité. Ne t’en fais pas, ça me dérange pas et puis si tu es sage on fera peut être une course comme les enfants avec. Tu sais pas si la jeune femme apprécierait la blague mais tu avais envie qu’elle pense à autre chose et surtout qu’elle ne voit pas sa différence comme un handicap gênant, comme un fait qui pourrait te bloquer pour le futur. Tu n’as jamais eu de femme handicapé mais ce n’est pas pour ça que cela faisait d’elle, une femme qui ne mérite pas qu’on lui accord de l’importance voir de l’amour. Tu ne peux pas t’empecher de rire avec la jeune femme lorsqu’elle te dit qu’elle aimerait bien remonter dessus et qu’elle trouvais cela plaisant. Tu te souviens parfaitement lorsqu’elle a cru qu’elle n’était pas assez bien pour monter dessus alors que tu pensais juste à sa condition. Au final elle était montée dessus, elle avait finit par obtenir ce qu’elle voulait. C’est la liberté que tu aimes ? Ou alors peut être être contre moi ? Que tu lui dis rigolant une nouvelle fois. Tu n’es pas obligé de répondre à la deuxième partie. Ne voulant pas la gêner. Est ce que tu sais réellement où tu l’emmenes tu dois dire que non, tu ne connais pas encore Los Angeles comme ta poche mais tu as remarquer deux trois maison illuminé en passant et puis ensuite tu ferais un tour au marché de noël. J’ai le droit de te dire que j’en ai aucune idée ? Que tu dis plaisantant mais étant une nouvelle fois sincere. Je suis pas de Los Angeles en réalité, New-Yorkais de pur souche. Enfin tu penses puisque tu ne connais pas ton père et donc par conséquent, tu ne connais pas ses origines. J’ai vue deux trois maisons illuminé en venant et il y a certainement des illumination aussi en ville. Enfin je pense non ? Que tu demandes à la belle brune, qui doit bien comprendre que en réalité tu avais proposé cette idée plus pour la revoir que tout autre chose.
Une robe, mes bijoux, je tente de camoufler mon stress mais c’est plus fort que moi. Une reaction débile apres tout j’avais deja vu Ariel et tout avait tres bien été, c’était un ami, Declan était.. moins que ca.. plus.. je ne savais pas trop. Il m’avait fait un truc, un courant électrique qui avait fait frissonner mon corps lors de cette soirée, quand ses azurs avaient rencontrer les miens. Je n’avais pas passé une bonne soirée, et pourtant, j’avais occulté le reste pour ne garder que ça, l’océan de ses yeux, en mémoire.
J’avais beacoup pensé à lui, à son regard, à sa manière de m’avoir porter, ramener, sauver, j’en avais parler à Ariel sans savoir qu’ils se connaissaient et j’avais bassiner Marius avec lui. Demandant même de l’aide à Fankie pour le retrouver. Et au final c’était lui.. Grace à une photo du shooting avec Ariel qui m’avait trouvé. J’avais demander directement à mon ami si le beau brun n’avait pas vu les autres photos.. nu.. Non ! J’avais pu souffler. Ouf.. J’aurais eu honte qu’il les voit. .Ok ses photos étaient magnifiques Ariel était un magicien et mon corps , dans ce fauteuil avait été sublimé par son objectif, mais .. c’était pas comme ca qu’on voulait qu’un homme qui nous attire nous voit en premier. Mais c’était bon.. Enfin nous attire, je n’avais pas de mot encore pour ce que je ressentais quand je lui parlais mais c’était plaisant.
La porte s’ouvre il est la et je suis prete. A sortir de nouveau à me laisser porter par cette rencontre, a vivre enfin. Mais j’avais peur , mes mains étaient moites. Il se placa derrière moi et poussa le fauteuil.. Vivement que j’ai le mien, mes roues étaient plus facile à prendre en main pour rouler et puis au moins je n’aurais pas cette sensation d’etre … incapable. Enfin .. il plaisante et je ris, personne n’osait fait ce genre de blague, comme si ca allait me blesser, mais le voir qui parle sans pincette qui me considere comme quelqu’un de normal, c’est ça qui fait qu’on aime etre avec des gens, les autres qui ont pitié , je n’aime pas ca. Et lui il est si naturel.
Je lui avoue que j’aimerais remonter sur Désirée, sa moto. La course serait bien plus interessante. Le fauteuil n’était pas assez rapide et il avait raison, la liberté était une sesnation grisante et tellement envoutante. J’hochais la tête pour confirmer que la liberté était plaisante, mais la seconde partie de sa question me pris au dépourvu, je me mis a rougir. Baissant la tete je reponds un peu timidement. « Oui. j’ai bien aimer etre contre toi. » Autant etre honnête, ce n’était pas pour rien que je sortais ce soir, que j’étais un peu apprêtée et que j’étais là.. Alors oui.. je jouais carte sur table.
Installé en voiture, je remarque l’éffort j’ai de la place pour mes jambes et mon fauteuil. Je n’ai pas besoin de lui expliquer comment le plier , il gere très bien et j’apprecie. Je me met meme un peu debout pour me placer dans la voiture, ca fait du bien d’y arriver, seule un peu. Juste un deplacement, juste poser les pieds au sol. Et me tourner. Mais c’est déjà ca. Je tape une adresse sur mon portable et lui montre le gps. « Dans ce quartier il y a pas mal de maison decoré, et puis le marché de noel est pas trop loin. » Je l’écoute. « Tu es ici pour le boulot? » On ne quittait pas NY sans raison, enfin j’avais eu l’occasion d’y aller pour des concours et j’y serais bien rester. Mais c’était ici chez moi , et on revenait toujours hez soi. Je pose mon telephone sur ma cuisse . « Je te suis, de toute facon j’ai pas trop le choix, je peux pas fuir. » Lui adressant un sourire amusé, et taquin. J’aimais bien sa presence elle me detendait.. Et mes jambes étaient plus légères.
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Quelques sms échanger grâce à Ariel et voilà que tu donnes un rendez vous à la jeune femme. Depuis cet instant tu avais qu’une seule envie y être. Tu avais travailler dur la veille pour que la ford C-Max soit en état, ce n’était pas la tienne mais celle d’un client, et grâce à sa générosité il avait accepter de te la prêter pour une soirée si en échange tu faisais en sorte qu’elle soit sans défaut le lendemain. Tu avais hâte de croiser à nouveau les yeux azur de la belle, de retrouver cet effet qu’elle t’avais procurer la premiere fois que tu l’as vu.
Lorsque tu l’as sauver, tu n’as pas pris la peine de noter ton téléphone quelque part ou encore d’échanger vos numéros. Tu étais parti brusquement et ce que l’on peux dire, c’est qu’on aurait pas cru d’un preu chevalier comme la belle l’avait dit à ton ami. Tu étais parti des que tu avais pu, des que tu l’avais déposer devant le centre de rééducation, fuyant ces endroits comme la peste. Par chance tu avait trouver une photo de la concernée sur le profil instagram de ton ami, colocataire sans réellement savoir s’il avait des photos plus compromettante. La seule chose qui comptait à tes yeux étant seulement de la retrouver, de pouvoir lui parler à nouveau. Ce qui par chance n’avait pas tarder, des que tu avais obtenu son numéro de téléphone. Vous aviez d’ailleurs même déjà beaucoup échangé par téléphone en allant même dans des domaines comme l’amour.
Ce qui est sur c’est que pendant ce rendez-vous tu ne seras pas sur de toi, tu ne seras pas cet homme avec autant d’assurance qui drague les femmes. Il faut dire que depuis Séphora, tu ne le fais que pour satisfaire tes plusions d’homme, cette femme se trouvait être bien plus, tu ne le savais pas, tu le ressentais. Puis tu permis de plaisanter au sujet de son fauteuil roulant, tu ne savais pas si tu devais mais elle semblait tout de même en rigoler avec toi, ce qui te rassurait. Tu ne voulais pas considéré Jules comme une personne anormal, tu n’avais pas envie de la considérer comme quelqu’un de normal non plus, tu ressentais déjà l’envie qu’elle soit au dessus de toutes les femmes.
La liberté, tu sais exactement ce que cela fait et c’est un des faits qui avait fait que tu avais acheter ta moto. Tu avais le besoin de te sentir libre comme l’air, un besoin que tu ressens toujours puisque tu navigues entre les routes qu’avec elle. Tu fus obliger de voir le visage de la belle rougir lorsque tu lui demanda si elle avait aussi aimé être contre toi. Et lorsqu’elle répondit tu fut d’autant plus surpris et tu répondis immédiatement par un sourire radieux. Je suis heureux de savoir ce fait. Dans ce cas, tu remonteras dès que tu veux. Et tu le pensais sincérement.
Tu n’as jamais appris à plier un fauteuil et d’ailleurs tu avais pris quelques leçon sur internet pour ne pas paraître bête aujourd’hui. Tu ne voulais pas que ce soit un frein à votre rencontre et lorsque tu vis que tes efforts avait payé, secrètement tu poussais un soupir de soulagement. Puis tu reviens devant, à la place conducteur. Et la jeune femme te montra son gps et te dis que dans ce quartier il y avait des maisons décoré. Dans un sourire tu la remercia de ce fait car tu n’étais pas sur de pouvoir réellement la faire rêver avec tes connaissances de Los Angeles. Merci t’es un ange. Que tu lui répondis, tu mis le téléphone sur le support qui se trouvait dans la ford. Non, j’ai plus réellement de travail mais oui je travail grâce à Ariel. En effet, il t’as dégoté une place d’agent de sécurité dans un club de strip-tease. T’es sur que tu ne peux pas fuir ? on sais jamais au cas où que tu aurais des ailes. Que tu dis plaisantant.
il n’y avait pas qu’être contre lui que j’avais apprécié mais je ne pouvais le nier, et puis je devais tenter, je devais avancer et vivre, je voulais voir où ce rencard allait nous mener, j’avais même demander à Frankie de virer mon frere de la maison. Hayden étant à l’hôpital, pas de soucis, mais Luke.. Bon j’aurais le droit à un interrogatoire mais je voulais ppouvoir profiter, au cas où.. Et puis qui sait un peu de calme apres un rendez vous si.. excitant, envoutant.. Je n’avais pas le mot, mais en tout cas j’avais passer ma journée avec cette impatience tellement grande que j’avais du mal à redescendre là encore.
Il accepta de me reprendre derrière lui en moto. Un sourrie franc se dessina sur mes lèvres. « J’ai hâte » Et c’était vrai, j’avais pu penser qu’il ne me trouvais pas assez bien pour sa moto savoir le contraire et qu’il me proposait de remonter dessus était encore plus fou. J’avais hâte. Son sourire était tellement beau que j’aurais pu repeter cette chose encore et encore, que j’aimais être contre lui.. Mais pour le moment je devais monter en voiture, et même si je m’attendais à galerer, ce fut plutot simple. Il n’avait pas pu voir car il était en train de plier le fauteuil et ce n’était pas plus mal, car les grimace et la difficulté à monter mes jambes dans cette voiture était pénible, je n’avais pas l’intention qu’il soit mon infirmier et encore moi qu’il ait pitié de moi.
New-Yorkais, il ignorait les quartiers qui avaient des décorations. Je faisais souvent le tour de ses maisons au lycée avec mes amies, mais c’était fini.. Pleins de choses s'étaient finies et j’avais envie de les voir revivre. Une première du coup, revoir les illumintions de Noel. Je levais les yeux au ciel et fit semblant de noter dans un coin de ma tête. « Technique de drague est année 90..un point en moins. » Je lui jetais un regard amusé ensuite.
Oh.. Ariel, je baissais les yeux.. Les photos, la nuit avec ses textos un peu.. chauds.. Je devais oublier car c’était un moment d’égarement et qu’au final lui et moi nous ne pensions pas réellement a nous mais à eux, Hannah, et .. Declan.. Donc c’était inutile et nous l’avions su. Nous étions amis. Mais.. « Tu .. il t’a deja parler de sa passion? » Les photos, je ne voulais pas réellement le mettre sur la piste mais plutôt m’assurer qu’il ne découvrirait pas ses clichés. « Et il t’a trouver quoi comme boulot? Tu bosses dans le même bar que lui? »
Je secoue la tete. « Encore un technique de drague d’un autre temps. Mais cette fois j’approuve. C’est toi qui a le regard d’un ange tu sais.. Et qui m’a sauvé. » Je n’avais pas de jambes pour fuir, et il avait parler d’ailes. « Et puis les ailes c’est pas pour fuir mais pour monter au septième ciel. » Je lui fais un clin d’oeil et me met à rire. « Allez , sinon on va passer notre temps à parler et tout louper. » Même si au final nous avions la nuit devant nous et tout notre temps. Je me surpris à le fixer, lui, son corps de marbre et son regard si profonds. « Le bleu de tes yeux est impressionnant.. On pourrait se perdre dedans.. »avouais-je dans un murmure sans le quitter du regard. Et c’était ce qui c’était passé la première fois, ce moment puissant avant que la bulle n’éclate.. Je voulais le revivre encore.
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Pour toi, la moto est un moyen d’oublier tout ce qui arrive dans ta vie, est un moyen d’échapper à cette vie qui t’emprisonne, c’est la liberté à l’état pure, engouffrer les kilomètres, sentir le vent sur toi, contre toi. C’est la raison pour laquelle tu as décidé il y a un an de partir en road trip, de tout quitter à bord de ta moto. Mais tu avais aussi eu besoin de savoir si ce que la jeune femme avait aimer c’est être contre toi et tu dois bien avouer que tu as été surpris d’avoir une réponse et d’autant plus que celle-ci se trouve positive. Un sourire avait pousser sur tes pulpeuses et avait fait acceler ton myocarde. Tu ne laisses que tres peu de femme monter sur ta moto et il faut dire qu’elles sont d’autant plus rare depuis que Séphora n’est plus de ce monde mais tu n’avais pas pu refuser à Jules. Tu n’y avais même pas évoquer rien qu’une once de non volonté. Tu sourias aussi à la jeune femme lorsqu’elle te dit qu’elle avait hâte que tu la reprennes à nouveau sur ta moto. Pendant un cours instant, tu te mis même à réfléchir à quel moment de la semaine tu pourrais venir la chercher pour qu’elle fasse un tour de moto avec toi. Et tu te dis même que tu pouvais probablement même des demain si tu parvenais à te réveiller suffisamment tôt et donc réparer tes dernieres voitures le matin mais que Dolly ne t’avais pas laisser ta prochaine nuit et que tu devais assurer à ton poste. Puis soudainement retour à la réalité, il faut que tu mettes le fauteuil roulant de la douce dans la voiture. Fort heureusement, tu avais regarder des vidéos sur internet pour essayer d’eviter de lutter pour le replier ou encore que ton côté impulsif ressorte. Tu fus surpris d’y arriver du premier coup alors que cela t’avais paru compliqué dans la théorie. Pendant ce temps Jules était monté en voiture côté passager et avait même réussi à fermer sa portière. Il ne restait plus qu’à ce que tu te mettes à ta place ce qui ne se fit pas tarder. Il ne faut pas m’en vouloir, je suis né dans les années 90. Un très bon millisime. Que tu fis savoir à la jeune femme rappelant ta trentaine au passage. Vous aviez parler de la différence d’âge et pour dire vrai cela n’était pas un soucis pour toi. Tant qu’elle était majeur et consentante, qu’importe qu’elle soit plus agée que toi ou plus jeune, ce qui était le plus important se trouvait pour toi à l’intérieur d’elle. Ce que tu comptais découvrir ce soir et certainement lors d'autres rendez-vous, puisqu’elle semblait être d’accord pour t’en donner d'autres. Aviez vous déjà aborder le sujet passion avec Ariel. Etant ami depuis des années, il y a bien des sujets que vous avez abordé. Des sujets parfois légers et d’autre parfois plus importants, l’amour, les passions et d'autres sujets. Donc la photographie y était aussi passé tu dois l’avouer. Oui ça nous est arrivé, d’en parler. Pourquoi ? Devrais je savoir quelque chose de particulier? Que tu lui demandes. Il t’as dit qu’il travaillais dans un bar ? Que tu demandes à la jeune femme, ne sachant pas si tu devais lui dire qu’en réalité c’est plutôt un club de strip-tease. Tu pouvais certainement perdre des moyens pour le lieu de ton emploi mais en gagner pour être honnête, c’était à ton double tranchant. Mais tu sais aussi que si un jour vous finisiez ensemble, il serait probable que ton lieu de travail finisse par poser des soucis par jalousie. Enfin tu savais que plusieur aspect de ta vie poserait problématique. Pour dire vrai, je suis un peu rouillée en technique de drague mais jusqu’ici ça avait toujours marcher. Que tu fis savoir au sujet de ta technique de drague d’un autre temps. Le regard d’un ange ? Tu quittes légèrement le regard du pare-brise ou plus précisément de la route pour les poser sur Jules. Comment pouvait-elle dire que tu avais le regard d’un ange, elle ne savait pas tout ce que tu avais fait, elle ignorait les morts que tu avais engendré qu’il soit direct ou non. Puis rapidement tu retournes à la route ne voulant pas causer un accident, ne voulant pas causer un décès de plus. Monter au septieme ciel, tout dépend de quel sens tu parles. J’en connais un plaisant. Que tu rigoles une nouvelle fois. En parlant d’aller on est déjà arriver à une premiere maison. En effet, le GPS indiquait le quartier qu’avait inscrit la jeune femme avant de partir. Tu passes au point mort et met le frein à main une fois garer. Plongeant ton regard dans celui de Jules. Je pense que tu n’as pas vu tes yeux azur.
Je plaisantais sur sa technique de drague, ce n’étiat pas d’un autre temps , mais romantique, et étonnant car je ne l’avais pas aux premiers abords imaginé avec ce trait de caractere , romantique. Mais il l’était. Et nous avions parler de notre difference d’age j’avais envie de le taquiner, il n’était pas vieux, nous n’avions que sept ans d’écart ce n’était pas grand chose si ? En tout cas c’était loin de me deranger, j’aimais bien l’idée qu’il soit plus âgé, plus experimenter, et surement aussi cette idée d’être protegé. « Je ne peux que le confirmer » J’étais pas née dans les années deux milles, enfin à quelques années près mais je faisais partie de cette même décennie.. En tout cas moi c’était pas pour me deranger, l’age n’était qu’un chiffre non? Le plus important c’était ce qu’on avait dans la tete.
Parler d’Ariel, enfin surtout les photos, c’était comme ca qu’il m’avait retrouver.. Enfin j’avais peur qu’il en ait vu plus, celle publié sur l’instagram de mon ami photographe était soft, mais les autres.. « Je .. j’ai posé pour lui. » Je n’entrais pas dans les détails. J’esperais ne pas trop attisé sa curiosité et qu’il passerait à un autre sujet, et surtout qu’il ne demanderait pas à Ariel de voir les photos. « Oui.. enfin que ses collègues l’appelait Bébé.. Et qu’il était barman.. Donc je suppose que tu travailles aussi dans ce bar? »
Rouillé, pourtant rien qu’en regardant ses yeux j’aurais pu me noyer dans ce charme fou qu’ils degagent. « C’est peut etre moi qui est dépassé en relation humaine.. J’ai pas vraiment quitter le centre depuis presque deux ans.. Alors tu sais.. Je n’ai pas eu non plus de drague..de flirt ou autre.. » Etais-je entrain d’avouer que je n’avais pas eu de petit ami, ou de relation physique et charnelle depuis deux ans .?. Oui .. En avais-je honte? Etonnamment, non. Pas avec lui, j’étais plutot sereine même. Il devait savoir, et la verité serait le meilleur atout si je voulais apprendre à le connaitre un peu plus.
Cette question et son regard se posant sur moi, je me mords la levre en rougissant. « oui.. » murmurais-je.. « Tes yeux sont… » Le mot avait du mal à sortir c’était pas simple, je me sentais petite d’un coup.. « Envoutant. » Souvenir de la premiere rencontre où cette bulle entre lui et moi c’était installé alors que j’étais dans ses bras.. Plaisanter, eviter d’etre sérieuse, voila ce que je fiasais pour essayer de ralentir la gène qui était en train de m’envahir et tenter de reprendre un peu de prestance. Mais je me fais prendre à mon propre jeu. Et mes joues ne decolorent pas. « Je.. Oui.. » Oui je parlais aussi de ce sens là. Dans le sens .. sexuel, ou bien seulement plaisir, .. C’était aussi ce qu’il me donnait envie de ressentir..
Nous étions arriver à la première maison, ses lumières clignotaient de milles feux et moi alors que la voiture s’arretait, je me tournais vers Declan qui était en train de plonger ses yeux dans les miens. « Je.. sais.. » Mais mon corps instinctivement s’approcha du sien. « Ils sont.. si profond.. » ma main se posa sur sa joue, m’approchant encore un peu separant maintenant nos visages de quelques millimètre, mais un enfant passa en courant pres de la voiture, je detournais mon regard sans lacher sa joue pour regarder le môme passer et me tournais de nouveau vers Declan par la suite.. « Je.. ne comprend pas ce qui m’arrive.. » J’avais de nouveau plonger sur l’eau de ses iris, j’étais de nouveau envouter, tellement vite..
Il suffit d'une seule rencontre pour faire basculer notre monde. | @Jules Call
Tu parlais de ton âge, de ton année de naissance en lui disant que c’était un très bon millésime. Tu savais que la jeune femme, elle était beaucoup plus jeune que toi, sept années vous sépare mais tu ne t’occupes pas de ce trait. Tu es bien placé pour savoir que l’âge c’est dans la tête, que certains sont immature et pourtant ont un âge avancé et d’autre sont mure dans leur tête, comme le fait aussi que tu ne veux pas une personne qui ne bougerait plus assez, il te faut une personne jeune dans son corps mais mure dans la tête et encore tu as besoin d’un petit esprit joueur. Elle te fis savoir qu’elle confirmait tes dires, cela te rappelait une nouvelle fois que ton âge plus avancé que le sien ne la dérangeait pas. Merci Que tu lui répondis tout simplement avec un sourire ravi. Tu ne comprenais pas réellement où est ce qu’elle voulait en venir au sujet d'Ariel et des photos, car le fait qu’elle est posée pour lui, tu le savais. En effet, tu l’as retrouvé grâce à ce fait, alors tu ne comprenais pas pourquoi elle t’avais posé la question et qu’en plus elle était hésitante dans sa réponse. Je sais que tu as posé, je t’ai retrouvé comme ça. Puis tu la regardes sceptique. T’es sur que t’as rien à me dire ? En effet, Ariel ne lui avais pas parler du strip club, elle pensait qu’il s’agit simplement d’un bar. Tu serres un peu le volant de nervosité, puis tu te met à lui dire : Moi c’est Onyx, pour la pierre noire. mais c’est pas un bar … C’est un stripclub. Je suis dans la sécurité. Que tu lui fais savoir. Ariel t’avais prévenu que la jeune femme n’avait pas eu de relation depuis un moment et qu’elle était fragile, il t’avais aussi mis en garde pour que tu ne le fasse pas l’imbecile avec elle. Mais tu ne savais pas que cela faisait autant de temps qu’elle avait rencontré personne, qu’elle n’avait pas eu de flirt, cela la rendait pour toi d’autant plus précieuse, d’autant plus admirable. Oh … Que tu dis de surprise mais une surprise agréable. Je vois, alors je suis le premier qui t'intéresse ? Depuis deux ans ? Que tu lui demandes un peu de but en blanc maintenant elle devait être habitué, tu es un peu direct comme homme, pas du genre à passer par quatre chemin pour avoir ton information. Tu étais totalement surpris lorsqu’elle te dis que tu as le regard d’un ange, tu confirmes que la jeune femme ne te connais pas. Car si tu es un ange alors tu serais un ange noir coupable des pires crimes. Tu avais a ton actif un suicide, un parballe et tu ne serais donner un nombre pour les droguées. Mais tu ne voulais pas briser actuellement l’espoir de cette femme, tu ne voulais pas tout de suite changer son regard sur toi. Tu ne sais pas à quel point le tiens aussi, Jules. Que tu lui fais savoir, tes yeux azur plantés dans les siens. Tu plaisantais avec la belle brune, tu étais un peu leger, et elle te rendais beaucoup moins nerveux et peu à peu tu tombais totalement sous son charme. Peu à peu, tu tombais dans un piege qui était bien plus que de la séduction. Tu savais qu’en repartant de ce rendez-vous, tu serais bien plus attaché à cette jeune femme que prévue. Lorsqu’elle en perds ses mots face au fait que tu lui dis que tu connais une manière de monter au septième ciel plaisante, ce n’est pas un sourire que tu as sur le bout de tes lèvres c’est bien plus. Elle ressent pour toi exactement ce que tu éprouves à son égard. Puis tu coupes le moteur t’arrêtant devant la première maison illuminé plongeant ton regard une nouvelle fois dans le sien, te perdant dans son océan. La main de Jules sur ta joue, tes lèvres qui s’approche de plus en plus des siennes dangereusement, quelques millimetre vous sépare. Cet enfant qui coupe pendant un court instant vos jeux de regard et c’est à cet instant lorsqu’elle pose son regard dans le tien qu’à haute voix mais le pensant à voix basse tu dis : Et merde Tu poses tes deux mains de chaque côté de ses joues et tu l’embrasse. Un baiser que tu n’as pas donner depuis longtemps, un baiser qui n’est pas que sexuelle. Contrairement à ceux que tu donnes aux femmes que tu fréquentes depuis maintenant six mois, depuis que tu en as eu assez de ton abstinence. Jules reveillait en toi un autre homme, réveillait en toi d’autre sentiments et tu ne serais pas mettre immédiatement des mots dessus. Certains diraient que c’est de l’amour, mais peux tu encore tomber amoureux ?
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Mar 15 Déc - 0:41
