Oui c’était vrai qu’il m’avait retrouvé comme ça.. Mais Ariel n’avait pas posté les photos les plus.. Osées, celles-ci était pour moi.. Et pour le photographe, surtout cette photo un peu speciale, de la courbure de mon sein, qui lui avait tellement plue, elle laissait tout voir mais en même temps en disait encore plus long. Je secoue la tête négativement. « Non.. » Je baisse la tete un peu honteuse de ma demi-verité, de ma cachotterie. Je ne voulais pas qu’il me prenne pour une fille facile. Parler du coup de son travail m’arrangeait, c’étiat bien plus simple de parler des autres que de moi. Onyx.. Cette pierre sombre qui était tout le contraire de ses yeux azurs. Mais son aveux n’était pas seulement sur ce surnom. Un stripclub. « Oh.. il ne m’avait pas donné ce details. » Et apres tout avait-il de l’importance? Pas vraiment même si là d’un coup, penser à des nanas devoilant leur corps devant Declan, me fit une pointe dans le coeur, chose qui ne devrait pas se produire, alors je tentais de l’ignorer.
Parler était bien plus simple avec Declan qu’avec les autres et se deoivler n’était pas une chose que j’avais envisagé, mais c’était en train de se produire. Depuis l’accident je n’étais pas beaucoup sorti du centre de réeducation , mais du coup c’était plus parce que j’avais des apprioris sur mon physique, mais depuis Ariel, depuis cette envie d’avancer, et surtout .. la rencontre avec Declan. J’avais envie de voir plus loin. « Je.. Oui tu m’interesse.. » Avouais-je mais j’ajoutais ensuite. « Mais on peut aussi prendre en compte que je suis pas trop sorte du centre de rééducation où j’étais pendant plus d’un an et demi. » Mais c’était vrai, il m’interessait, et je ne le voyais ni comme j’avais pu voir les autres patients, ou mes amis, ou autre, j’avais depuis notre rencontre , quand je pensais à lui une chaleur qui prenait mon coeur en otage.
Et savoir que mon regard lui plaisait était un plus non négligeable, même si cela me faisait rougir et comme une idiote je ne m’étais jamais sentie génée face a un homme et pourtant là.. Il m’impressionnait.
Le temps passait à une vitesse folle et nous étions deja devant la premiere maison, j’étais plus captiver par ma compagnie du soir, que par les decors de Noel, car c’était de l’inédit avec cet homme et cela m’attirait bien plus. J’arrivais à plaisanter, à tenter de le seduire , chose que je n’avais pas faite depuis ses roues. Alors oui , je me sentais etrange, comme si l’ancienne Jules voulait être là, a seduire, a prendre dans un lit, et ensuite se dire que ce n’était qu’une relaiton sans lendemain car l’équitation était tout ce que compte mais elle n’était plus là.. Car celle en fauteuil avait peur, peur de la suite, peur de plaire et ne pas pouvoir , peur de … Je n’eu pas le temps de reflechir plus que les levres de Declan s’abattèrent sur les miennes. Mon visage encardré par ses grandes mains, je fut d’abord surprise, et sans m’en rendre compte, je pris par à cet échange, pressant mes levres sur les siennes, entrouvrant ma bouche pour que sa langue vienne visité la mienne s’il le voulait.. J’embrassais Declan..
Il suffit d'une seule rencontre pour faire basculer notre monde. | @Jules Call
Tu sentais bien que la jeune femme ne te disais pas totalement la vérité, tu le voyais puisqu’elle répondait hésitante, elle baissais la tête comme si elle était honteuse. Tu n’aimes pas les demi vérité, tu n’aime pas les mensonges. Tu n’es pas pour lui en faire alors tu aimerais qu’elle en fasse de même pour toi. Si elle te met des le début, alors cela pourrait finir par être un frein pour toi, surement même un stop. Tu plonges ton regard dans le sien et lui dis tout simplement. Je prefere une vérité qui fait mal, qu’un mensonge qui fait plaisir. Et ce fait pour tout sujet. Je ne suis pas là pour te juger mais pour te connaitre. Tu venais en réalité de trahir ton ami ou en tout cas de lui révéler une partie que celui-ci n’avait pas fait. Tu esperais réellement que cela ne devienne pas un soucis pour la jeune femme, d’autant plus que c’est le seul travail que tu as trouver depuis que tu es à Los Angeles. Ca et deux petites affaires qui ne seras pas considéré des plus sérieuse pour la belle brune. En effet tu deals pour Ariel mais aussi tu fais du black en réparant des voitures, moto. J’espere que cela ne te dérange pas ? Que tu lui demandes. Tu avais ce besoin de découvrir la chevelure brune bouclé pour faire en sorte qu’elle devienne peut être un jour ta partenaire de tout les jours. Pour qu’elle devienne pourquoi pas ta compagne, bien que cela te semble précipité, toi qui a des besoins de voyage sans cesse. Tu étais surpris par l’aveux de la brunette, bien que Ariel t’avais plus ou moins déjà prévenu qu’elle n’avait pas eu de compagnon depuis longtemps et que tu n’avais pas le droit de lui briser le coeur. Mais le fait d’entendre la jeune femme te le dire était réellement plus intense, plus concret. Et lorsqu’elle te dis qu’en effet tu l’interesse, tu es obligé d’afficher un sourire ravi, de sentir ton égo d’homme monter. Puis elle te fais savoir aussi qu’elle n’est pas beaucoup sorti de son centre de réeducation où elle était depuis tout ce temps. Je comprend totalement … J’ai … J’ai pas eu de petite amie depuis plus d’un an, depuis un an et cinq mois pour être exact. Mais ce serait mentir que de dire que tu n’as pas eu de partenaire au lit. Tu devais bien avouer que tu ne comprenais pas ce qui t’arrivais en ce moment précis, ce qui arrive depuis que tu as rencontrer la douce, depuis que tu l’as sauver d’un viol. Si tu l’as sauver, elle t’as probablement transcender totalement, au niveau relationnel. Toi qui pensais ton coeur enterrer avec Séphora, aujourd’hui, tu as comme cette impression qu’il reprend un second souffle, qu’il reviens à toi peu à peu. A force de parler, tu étais déjà arriver devant la premiere maison illuminé mais ce n’était pas ce qui t’interessais le plus. Au contraire, ton regard se perdit rapidement dans celui de la belle. Tu étais en mode séducteur mais pas celui qui cherche juste à la ramener dans son lit, bien au contraire tu as envie de plus avec elle. Ton regard perdu dans le sien, tu ne peux le décrocher. Tu es tombé dans ton propre piege et c’est toi qui continue a aller de plus en plus loin. Tu viens d’encadrer les joues de la douce et de lui déposer un baiser. Tu en avais eu assez de réfléchir, de te torturé l’esprit. Tu fus surpris qu’elle y réponde mais agréablement lorsqu’elle ouvrit délicatement sa bouche laissant ta langue la visité. Tu t’y donna avec plaisir, avec envie, avec désir. Puis soudainement tu t’arrêtes, tu arrêtes ce baiser qui était votre premier. Tu finis par te reculer mais pas assez pour que tu ne puisse plus la frôler, ta main droite qui viens à caresser ses cheveux bouclées. Tu ne voulais pas rajouter un mot pas tout de suite et tu ne voulais pas couper cet instant, c’était bien trop tôt pour toi. Alors tu lui adressa un sourire et te mit à regarder la maison illuminé, ta main toujours dans ses cheveux. Puis lorsque tu l’as assez regarder, tu replonges ton regard dans les yeux azur de celle qui pourrait devenir ta dulcinée. On pars pour la seconde maison ? Que tu demandes à la jeune femme, remettant le contact sur la voiture en quittant ta main droite de sa chevelure. Tu ne voulais pas parler immédiatement de ce qui viens de se passer, tu ne veux pas prendre peur immédiatement et ce n’est pas sur que la jeune femme recherche une relation sérieuse. Ce moment est le votre, ce baisée a été fait sans réfléchir et tu ne veux pas boulversé ta vie ou la sienne en un instant, pas ce soir, vous aurez bien assez le temps plus tard.
Une vérité qui fait mal plutôt qu’un mensonge qui fait plaisir.. Ca résonne ne moi et je ne peux lui mentir, il est un peu trop important maintenant pour moi, je ne suis pas du genre à mentir en plus alors pourquoi je me met à lui cacher. La réponse est simple j’ai peur de le décevoir. Mais je ne peux pas apres cette phrase rester silencieuse. « J’ai posé pour lui.. presque nue. » Je rougis et baisse la tete un peu honteuse. « J’avais besoin de retrouver confiance en moi, de me dire qu’avec des roue j’étais quand même .. moi. Jules.. Que je pouvais plaire. » La j’avais envie de partir en courant.. Mais partir était compliqué dans cette voiture et en plus en courant c’était impossible. Je restais donc a attendre sa réaction. Mais confidences pour confidences il me révela qu’il travaillait dans un strip club. « Je.. je n’ai jamais mis les pieds dans ce genre d’endroit, et je suppose que ses femmes doivent être sublimes. » Bien plus attirantes qu’une femme coincée, un peu bébé, dans un fauteuil.. Mais bon non cela ne me dérangeait pas. C’était son job. Et j’étais qui pour avoir le droit de dire quelques choses..? Personne.. Nous n’étions même pas des amis? Si? Enfin il me plaisait mais moi.. que pensait-il de moi? Je ne savais trop, c’était pas simple de se remettre en route apres plus d’un an sans avoir de relations, sans avoir trop de contact avec les autres, et le monde exterieur. Mais une fois avouer c’était moins dur. « Oh.. Mais des femmes dans ton lit, tu n'étais pas seul, seul ? » Parce que je doutais qu’un homme comme lui reste seul. Il était si sexy.
Lorsque la maison apparait devant nous, une bulle nous englobe, nous nous retrouvons tout les deux transporter dans un autre monde , un monde encore inconnu, une chose tendre et douce, ses levres se posent sur les miennes et je me retrouve à apprecier ce moment. Cette proximité, cette tendresse. Un baiser simple.. Mais j’y répond et entrouvre les lèvres et nos langues se cherchent se decouvre. J’ai encore les yeux clos lorsqu’il arrete et caresse mes cheveux. Je les réouvre doucement plongeant dans la mer de ses yeux bleus. Son sourire trouve echo avec le mien qui se dessine et j’hoche la tete. « Allons y » Je ne trouve rien a ajouter et j’ai pas envie d’ajouter quoi que ce soit. Cest une peur due la bulle explose si je parle. Je reste alors silencieuse, le coeur battant la chamade, les papillons dans le ventre.. « C’était tres agreable. » Je finis quand meme par avouer en installant l’adresse de la seconde maison dans mon telephone pour lui indiquer la route.
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Sam 2 Jan - 22:58