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 /+18/ Even the best fall down sometimes (miver)

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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 14:43
SEATTLE | On devait parler, c’est ce qu’elle m’a dit lorsqu’on a commencé à se disputer par sms. On devait parler, mais on ne l’a toujours pas fait. Je fuis cette conversation, parce qu’elle est trop tôt. J’en ai pas le courage. Je ne peux pas lui avouer que je suis maniaco-dépressif, à tendance schizophrène, et que je suis trois micky différents. Je ne peux pas non plus lui dire que j’ai déjà tué quelqu’un, de mes mains nues, simplement parce que j’ai pété une durite un soir, et que j’ai été interné 4 ans, parce que ma famille ne voulait plus de moi. Je pense que j’aurai préféré de la prison que de me retrouver dans cette petite salle blanche, avec une camisole et des médicaments à m’en faire perdre connaissance. Non, ce ne sont pas des choses qu’on avoue tranquillement, des choses qu’on dit facilement. C’est encore douloureux, malgré les années passées, et si elle a dû apercevoir mes changements d’humeurs, elle est loin de comprendre la gravité. Sauf que depuis cet échange, je suis tendu. Constamment. Mes yeux ont changés de couleur, c’est une mauvaise période. Parfois, c’est une bonne chose parce que je suis une pile électrique qu’on ne m’arrête pas, parfois c’est assez mauvais pour me surveiller doublement. Rafe et Eli le savent, mais ce week-end nous avons un match à Seattle. Les pré-sélections qui détermineront sans doute les prochains combats de l’année. River est douce, continue de tenter de me retenir mais je suis qu’un électron qui vibre selon ses humeurs et ses envies. Parfois ça explose, parfois c’est électrifiant. A Seattle, nous restons 3 jours, du vendredi au samedi, et après les matchs, quelques participants ont décidé de privatiser une boite de nuit pour une soirée, qu’importe les résultats. On est convié, et si Eli et Rafe sont retissant, j’insiste pour y aller. Parce qu’on doit continuer de montrer qu’on est toujours dans le Game, qu’on se sociabilise malgré la compétition. Les combats se passent sans animosité. J’entends mon nom, hurler par des fans dès que je rentre en salle, j’envoie quelques regards et clin d’œil à River qui ne cesse de ne pas supporter mes combats, mais je combats. Avec dignité. Avec férocité. Je n’arrive pas à expulser ma rage, elle est constante, et elle me permet de mettre tous mes adversaires au tapis ce soir. C’est comme une victoire ce soir, si bien que lorsqu’on se retrouve à la soirée, je décide de commander plusieurs mètres de shots pour toute la bande. « Micky, mollo sur l’alcool » me glisse Rafe, mais je m’en cogne. Je passe un bras sur ses épaules et l’embarque avec moi : « ça vaaaaa, je suis bien. Allez, un petit shot avec moi mon pote. » Combien j’en ai bu ? Je ne sais plus. Bien trop pour faire vraiment gaffe à mon corps, mais tant pis. J’ai envie de perdre pied, ce soir. Je me sens victorieux, invincible. Après un énième shot, je regarde River sur la piste de danse qui est parti se déhancher avec Olivia et d’autres copines des champions. Elle est un brin timide, mais les petits coups de hanches hérissent déjà mon érection. Alors, pour la forme, je bois cul sec un autre shot et je m’embarque dans la piste de danse, me glisse derrière River et laisse mes mains agripper ses hanches pour venir me coller à elle. « J’ai envie de toi, bébé » J’avoue d’une voix rauque. Ce surnom est inédit. Cet aveu est inédit. Mais je la colle plus à moi pour qu’elle puisse sentir mon érection contre ses fesses. « Tu la sens ? » J’hume son parfum et me grotte à elle au grès de la musique. Putain, je perds pieds. Je contrôle plus rien. Je suis simplement absorbé par mon désir pour elle, alors que j’ajoute : « J’ai tellement envie de glisser ma main sous cette robe » Elle glisse ma main, je devrais m’arrêter, mais je n’y arrive pas.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 15:54
Les combats, je ne les aime pas. Ça reste vrai y compris après tout ce temps passé à ses côtés en sachant qu’il s’agit là de sa passion. Je ne dis rien pour autant mais je n’aime pas le fait de le voir prendre des coups, ça me rend presque folle. Il en donne tout autant, parfois nettement plus fort, mais ça ne change pas grand-chose. Il s’agit de Micky et je tiens à lui au point de ne pas apprécier le voir être maltraité, même par passion et pour le travail. Je n’en dis rien alors que nous rejoignons Seattle pour le week-end et pour des combats auxquels je n’ai pas envie d’assister. Je le fais quand même par promesse et pour garder un œil sur lui. Je l’ai senti tendu toute la semaine et ses iris ont gardé une couleur nettement plus sombre malgré mes efforts pour tenter de le détendre. Je ne suis pas stupide, je sais que je suis responsable de cet état parce que j’ai tenté de gratter un peu plus la surface, de le pousser à me parler ce qu’il ne fait toujours pas. Nous aurons notre discussion, je sais néanmoins que dans cet état il ne sert à rien de le pousser, ça risque d’être plus désagréable qu’autre chose. J’ai encaissé la semaine jusqu’à ce soir, jusqu’à ses combats où je pince si souvent mes lèvres que je crains qu’elles ne s’ouvrent. A plusieurs reprises son attention se porte vers l’endroit où nous nous trouvons avec Olivia et si j’entends des groupies soupirer amoureusement, je sais que son regard se pose sur moi et pas sur elles. C’est assez pour que j’arrive à lui sourire et à supporter la soirée jusqu’à ce que nous partions en direction du nightclub privatisé. J’ai opté pour une robe près du corps corail et sans manche sachant que j’allais mourir de chaud et étant donné la chaleur qui monte alors que je danse en compagnie de quelques filles, je ne suis pas mécontente de mon choix. Laissant l’alcool de côté par besoin de continuer de veiller sur Micky, je tente néanmoins de profiter quelques minutes en le laissant entre les mains des garçons. Rafe et Eli le connaissent depuis si longtemps que je suis persuadée qu’ils savent s’y prendre avec lui s’il y a besoin. Je me laisse aller, suis le rythme de la musique sans pour autant me faire trop remarquer jusqu’à sentir des mains sur mes hanches. Mon corps s’électrise aussitôt, comme s’il devinait déjà l’identité de l’homme qui me colle à lui et glisse ses lèvres près de mon oreille. « J’ai envie de toi, bébé » Je pensais avoir chaud mais de telles paroles animent tout mon corps, particulièrement mon entrejambe qui palpite plus encore lorsqu’il me colle assez pour que je le sente être en érection. « Tu la sens ? » Oh mon dieu … OH. MON. DIEU ! Non seulement je sens tout son désir pour moi mais je ressens le mien qui se réveille trop vivement et me donne envie de jouer. « J’ai tellement envie de glisser ma main sous cette robe » Je frissonne mais me retourne brusquement pour l’embrasser à pleine bouche. Peu importe où nous nous trouvons et les personnes qui peuvent nous voir, il y a déjà un moment que je sais que je le veux. Et si je ne l’avais pas arrêté par ce baiser, j’aurais laissé sa main me toucher au beau milieu de la piste, ce que nous ne pouvons pas faire. « Danse avec moi. » Mes bras glissent sur ses épaules, me rapprochent de lui. Je mords ma lèvre pour camoufler mon gémissement en le sentant dur contre mon ventre et nos corps se mettent en mouvement en même temps. Mon regard reste rivé au sien, les pulsations de mon cœur augmentant de seconde en seconde. Son front se colle au mien, nos corps toujours en train de suivre le rythme. Ma main glisse de son épaule à son torse, jusqu’à sa ceinture sans que je ne cesse de le regarder. « J’ai envie de toi. J’ai envie de toi depuis des semaines. » Mais avant qu’il n’ait pu m’embrasser je me retourne, colle mon dos à lui, ses mains encore sur mes hanches, son visage dans mon cou, emportée par la musique et l’érotisme du moment.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 20:43
Cette énergie ne me quitte pas. Parfois ça dure plusieurs jours, plusieurs semaines. C’est constant, voir exponentiel. Elle m’anime, me détruit de l’intérieur, je sais, parce que la chute, une fois qu’elle disparait va rendre les jours plus sombres et plus difficiles à être affronter. Je déteste ces phases-là, parce que ça veut dire deux choses : ils sont là. Ils ont besoin de s’exprimer, et dernièrement, je les ai vachement réprimandés. Et une fois qu’ils auront été rassasié, je vais finir vider d’énergie, à broyer du noir dans ma chambre. Ce n’est pas bon pour la compétition, je le sais. Mais je n’ai pas le choix. Si je veux combattre, je dois faire avec. Je dois m’habituer à cette obscurité qui est tapis en moi et qui ce soir est de sortie. J’ai combattue d’une manière exemplaire, j’ai laissé personne m’atteindre, et s’ils le faisaient, c’était volontaire, pour mieux les prendre en revers. Je suis une pile électrique, à boire sans doute bien trop mais j’ai besoin de ça pour compenser. Je bouge parfois sur ma chaise VIP, mais c’est au final ce corps qui ondule qui à raison de moi. De moi et de mon désir. Mon corps s’embrase instantanément, et je me lève la rejoindre sur le dancefloor, glissant dans son dos pour mieux me coller à elle. Elle se retourne pour venir m’embrasser à pleine bouche, et je me penche plus pour venir choper ses lèvres, sa langue. C’est ardant, presque trop pour être vécu sur une piste de danse. Mais je me fou royalement de qui est susceptible de nous voir, de nous dévisager ou de nous prendre en photo. Putain, je la veux. Là. Je veux pouvoir caresser son corps, et je sais que ce désir ne partira pas tant qu’il ne sera pas rassasié. C’est dans ces périodes où je baise le plus, Eliott et Rafe le savent. Parce que tout m’excite. Tout me fait chavirer. Et c’est une torture de résister vraiment à River. Ses lèvres. Son parfum. Ses courbes. Putain, merde elle est tellement sexy ! « Danse avec moi » Mes yeux brillent sans doute trop alors que je la suis au grès de la musique, nos corps ondulant, se frottant encore plus. Je bande à mort, et elle le sent, alors que je continue de la dévorer du regard. Je sens sa main glisser sur mon torse qui se tend, vers ma ceinture : « J’ai envie de toi. J’ai envie de toi depuis des semaines » Elle se tourne alors sans que je n’ose répondre de suite, pour coller son dos à moi. Mes mains l’enveloppe, ma tête se loge dans son cou, et je la laisse guider nos mouvements endiablés. Je me laisse emportée par cette ambiance aux couleurs Flashy qui rythme la couleur de sa peau que j’embrasse parfois. Mais à force de trop se frotter contre elle, je sens mon érection durcir bien trop, et me faire mal. Je sens que c’est un cocktail d’émotions qui m’embarque entre ce putain de désir que j’ai pour elle, cette envie de soulever sa robe ici-même, et ce frein que je tente d’avoir pour ne pas abuser. C’est explosif et c’est en train de me consumer. Je viens mordiller son lob d’oreille et je lui murmure : « Viens avec moi » Je saisis sa main, me redressant doucement, et commence à m’éloigner de la foule. Je ne connais pas la boite par cœur, mais je m’avance doucement vers des recoins et des couloirs, et lorsque je nous dégotte au deuxième étage, un petit coin tranquille, je suis fier de moi pour la seconde fois de la soirée. Je prends d’assaut ses lèvres en la plaquant contre l’alcôve, mes mains parcourant déjà mes courbes favorites de son corps parfait.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 21:10
Pas besoin d’alcool pour perdre pied. Il suffit qu’il soit près de moi pour que mon cerveau ne fonctionne plus comme d’habitude. Je cesse de réfléchir laissant mes pulsions prendre le dessus et ces dernières tournent autour du désir incessant que j’ai pour lui. Sentir ses mains posées sur mes hanches, sentir son souffle dans mon cou, c’est largement suffisant pour que je ne vois plus que par lui, occultant tout le reste. River Wayne et Micky Baggins disparaissent, ne restent que River et Micky. Simplement ça. Uniquement nous ce qui est largement suffisant pour que cette soirée devienne électrique. Endiablée même ! Nos familles ont toutes les deux une certaine notoriété, notre petite danse collés-serrés sur le dancefloor pourrait parfaitement finir dans la presse people, je m’en moque. Au contraire ! Qu’ils l’apprennent tous ! Qu’ils sachent à quel point lui me fait décoller comme aucun autre. Continuant de danser sous les couleurs flashy des projecteurs de lumières, je sens son érection contre moi et pour une fois je ne rougis pas. Je suis happée par son regard qui ne me quitte pas. Ce regard sombre qu’il déteste mais qui ne me dérange pas. Ses yeux sont beaux qu’importe l’humeur dans laquelle il se trouve. Ils me font toujours le même effet, me transpercent comme jamais. Et pourtant je sais que je joue probablement avec le feu, que le cocktail de son humeur et de mon côté joueur peut tout faire exploser, j’ai besoin de prendre le risque malgré tout. Dos à lui, mes yeux se ferment pour profiter de la sensation de tout son être collé au mien. Emportée un peu plus par la musique, je frémis à chaque fois qu’il embrasse ma peau, me rendant un peu plus dans le besoin d’en avoir plus. Nous continuons encore et encore, mon cœur battant trop vite dans ma poitrine, ses mains glissant parfois dangereusement même si je ne l’aurais pas arrêté. Il le fait seul jusqu’à mordiller mon oreille ce qui me fait gémir malgré la musique qui masque ce bruit. « Viens avec moi » Je meurs de chaud, mes jambes tremblotent mais je le suis avec plaisir vers un endroit plus calme. La musique y est moins assourdissante, l’air plus respirable et c’est surtout désert. Sans attendre une quelconque réaction de ma part, son corps me plaque contre un mur, ses lèvres me dévorent. Je suis une toute petite chose comparée à lui et pourtant, là, je me sens puissante. Je frôle son torse, remonte et passe mes bras dans son cou pour me coller plus à moi. J’adore le sentir découvrir encore et encore mon corps mais là c’est presque un supplice. Je ravale comme je peux mon envie de lui hurler de céder ici et maintenant, à la place je profite du fait que nous reprenions notre respiration pour glisser : « Touche-moi, Micky … » C’est une supplique, un besoin qu’il doit assouvir avant que je ne devienne folle et si habituellement c’est lui qui me le demande sans arrière-pensée, ce soir c’est tout l’inverse.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 21:40
Danser aussi coller, ce n’est pas moi. Embrasser une femme à pleine bouche dans une foule, ce n’est pas moi. Me frotter à elle pour qu’elle sente mon érection…ce n’est pas moi. Ou, peut-être une partie. Je ne sais plus. Mais c’est inédit. Ça l’est dès que ça concerne River Wayne. Qu’elle ait réussi à évincer toutes les autres, c’est déjà un exploit. Mais qu’elle arrive à me donner autant envie d’elle à moi, à eux, c’est remarquable. Pourtant, c’est ce que je ressens. Mon envie, le leur, multiplié par un milliard. C’est puissant, et ça ravage toute connexion nerveuse. Je capitule alors, l’embarquant dans un coin sombre et reculé où personne ou peu du moins passe. Parce que je me fiche du reste. Je me fiche de qui je suis. Je me fiche de ce qu’elle peut en penser. Il n’y a que ce putain de désir qui doit être assouvi maintenant. Je serai cap, bordel je serai cap de la baiser là, sur place parce que ça me démange. Et en la voyant se tortiller contre moi, m’approchant plus par ses mains, je sais qu’elle pourrait se laisser tenter. Jusqu’à ce qu’elle me dise : « Touche-moi, Micky… » C’est un supplice, et ça affiche ce rictus malicieux sur mes lèvres. Je me colle plus contre elle, et affirme : « Où blondie ? » Je veux qu’elle le dise. Je veux entendre ces mots, des mots crus. Des mots qui exciteraient n’importe quel mec. Ma main caresse son cou, descend sur sa clavicule et repousse légèrement son décolleté pour venir glisser quelques doigts sur sa poitrine. « Là.. ? » Je questionne. « Tu veux que je te mordilles tes tétons ? » Je caresse celui que j’ai à disposition avant de le pincer entre mes doigts ce qui la fait gémir, mais elle désapprouve ma question. Alors ma main ressort et glisse le long de son corps, sur ses flanc et vient atterrir sur l’une de ses cuisses. Elle remonte, mai au lieu de dériver à l’intérieur, elle glisse à l’extérieur pour venir saisir à pleine poignet ses fesses : « Là ? Tu veux que j’te caresse là ? » C’est un jeu pervers, parce que je sais exactement ce qu’elle veut, mais je préfère jouer à ma manière, et en profiter comme je peux. Et alors, qu’elle désapprouve une seconde fois, je lui remonte la jambe pour venir la caler contre ma taille. Alors, et seulement là, je me cale mieux pour que mon érection se sente entre son entrejambe : « Où…là ? Tu veux que j’te baise, petite ? Tu gémis rien qu’à sentir mon érection » Mes yeux s’illumine de désir en la voyant réagir mais je glisse surtout mon autre main entre nous, sous sa robe pour venir déposer ma main, envelopper toute son intimité. Sa culotte est déjà trempée, ce qui me fait grogner : « Putain, t’es complètement trempée. » Je viens mordre sa lèvre inférieure, et repousse sa dentelle pour sentir le contact de sa petite chatte qui palpite sur mes doigts. Je jubile, parce qu’il n’y a rien de plus délicieux que de la sentir complètement à la porter de mes doigts. « C’est ça que tu veux ? Dis-moi… » Je la pénètre d’un doigt sans attendre sa réponse, sans mouvement juste pour le plaisir de la pousser à bout. Je la sens se contracter, et gémir pleinement, et je tilte enfin que je suis le seul à la faire vibrer, ce qui augmente l’envie de la dominer d’avantage. Merde, elle est totalement à ma merci lorsque je commence à bouger mon doigt et mon pouce sur son clitoris. « Tu vas jouir, bébé. Crois-moi que ce soir, je vais te baiser jusqu’à ce que tu m’appartiennes »
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyDim 7 Juin - 22:08
Je suis en train de m’embraser. Jamais, non jamais je n’ai ressenti ça. Ça commence au bas de mon ventre et se propage rapidement partout. J’ai chaud, les joues et les oreilles en feu, le cœur qui bat trop vite et ma culotte trempée. Je n’ai pas la moindre idée de comment encaisser la multitude de sentiments que j’éprouve à présent, le principal étant l’excitation. Les hommes n’ont pas su éveiller ça en moi. C’était froid, rapide et loin d’être un plaisir pour moi. Je pensais être condamnée ça. Je pensais être réellement frigide, Micky me prouve l’inverse. Mon corps attendait tout simplement le bon pour se réveiller. Ma petite lionne est aux aguets, prête à bondir dès qu’elle en aura l’occasion, je la retiens comme je le peux. Si je la laisse prendre le contrôle, j’irais jusqu’à prendre sa main et la glisse directement entre mes cuisses. Je veux qu’il le fasse de lui-même et je veux sentir la tension entre nous arriver à son climax. « Où blondie ? » Les mots me manquent, je suis tellement tendue, dans l’expectative, que je n’arrive pas à parler. « Là... ? Tu veux que je te mordille tes tétons ? » Il lui suffit de toucher mon sein, d’en pincer le téton pour que je gémisse et me tende vers son corps, comme s’il n’était pas assez collé à moi. A défaut de pouvoir parler, je secoue la tête, ma respiration de plus en plus courte. Micky continu de jouer avec moi. Il parcourt mon corps, touche les endroits où je ne le veux pas. « Là ? Tu veux que j’te caresse là ? Où…là ? Tu veux que j’te baise, petite ? Tu gémis rien qu’à sentir mon érection » A-t-il idée de ce que je risque de faire comme bruit lorsqu’il arrêtera de jouer et mettre ses menaces à exécution ? Je suis à deux doigts de devenir folle et quand enfin il atteint la destination souhaitée, je tremble. « Putain, t’es complètement trempée. » Le sang pulse dans mes tempes. Ma jambe s’accroche plus à lui. Je perds la tête, je ne vois pas d’autres raisons à ma respiration saccadée et au besoin qu’il me fasse gémir et jouir. J’en rêve depuis des jours, parfois littéralement, là cette torture commence à faire craquer mon corps. « C’est ça que tu veux ? Dis-moi… », « Oui ! » Ma réponse se transforme en un petit cri en le sentant s’introduire en moi. Mes mains se referment sur ses épaules. Je mords l’intérieur de ma joue de crainte de soupirer trop fort mais, wouah, c’est magique … c’est merveilleux et ce n’est que le début de préliminaires. « Tu vas jouir, bébé. Crois-moi que ce soir, je vais te baiser jusqu’à ce que tu m’appartiennes » Mon regard trouve le sien et s’y accroche pendant qu’il continu de me caresser lentement. « Je t’en supplie, oui … » Mon bassin se met en mouvement, voulant lui faire comprendre d’accélérer le mouvement, impatient de ressentir cette extase qu’il n’a jamais connu. « Je … » Je souffle pour être coupée par un gémissement. « Je t’appartiens déjà. » Je remercie la musique d’être aussi forte lorsqu’il me pénètre d’un second doigt qui me fait crier. Ma tête part en arrière, mes yeux se ferment. Je perds le contrôle, c’est exquis et pour la première fois de ma vie je me sentirais prête à lui donner tellement plus que ça.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyLun 8 Juin - 17:55
Je veux la prendre cette petite salope ! Ça tourne en boucle dans ma tête. Je n’ai plus aucun contrôle de mes esprits, de mon corps, de mes paroles. Tout ce que je veux, c’est d’assouvir ces désirs que j’ai tant refoulé. T’es trop bonne putain ! C’est cru, c’est parfois même trop pervers, dans ma tête. Et tout le respect que j’ai normalement pour elle s’évapore en fumée. Il n’y a que mes désirs qui sont roi, et cette fougue qui est en train de me posséder. L’emmener loin des regards est déjà une bonne volonté de ma part, parce que j’aurai pu simplement la toucher sur la piste de danse, j’en aurai été capable. Alors, lorsqu’elle me demande de la toucher, je joue. Sadiquement. Comme un petit rebelle, sans oser lui donner ce qu’elle désire vraiment. Mais je sais, à la lueur dans ses yeux, ce qu’elle veut. Je prends mon temps, je fais tendre son corps à son apogée qu’elle frémit et gémis en même temps lorsque finalement, ma main arrive à son but ultime. Je la pénètre, sans douceur, et lui confie qu’elle sera à moi. Ce soir. Chaque soir. Tous les soirs. Merde, elle sera à moi ! « Je t’en supplie, oui… » C’est un rictus qui s’affiche sur mes lèvres, en la sentant bouger son bassin, pour suivre mes premiers mouvements. Elle en veut cette petite cochonne. « Je… » Elle gémit en sentant un deuxième doigt s’inviter dans son vagin glissant « Je t’appartiens déjà » Je me colle à elle, accélère un peu les mouvements de mes doigts, en venant plaquer mes lèvres sur les siennes. Ma main libre elle s’aventure sur son flanc, vient se poser sur sa clavicule, son cou, et à mesure que mes lèvres glissent dans son cou, je resserre ma prise. Je sens son poul au creux de ma main, et c’est puissant. Aussi puissant de sentir sa vie au bout des doigts. Elle soupire, gémit, et tremble sous la possession que je suis en train de prendre sur son corps. Oh, cette blondasse va jouir. Je ne suis plus doux, loin d’être le Micky qu’elle a affaire d’habitude, et si parfois ce pervers assoiffé ressortait avec les prostitués, elles étaient payés pour ne rien dire et jouer leur rôle. Parfois, il sortait, rarement, lorsque mes yeux étaient si noirs que ça ne présageait rien de bon. Ce soir, il est là pour elle. Je le sais. Il a soif. Il n’en peut plus. A force de le priver, de le soumettre, il a fini par craquer. Et il se délecte de sa proie, à mesure qu’il mord son lob d’oreille et qu’elle commence à gémir plus fort. « Tais-toi ! » J’ordonne. « Si j’avais voulu qu’on nous voit, je t’aurais prise sur cette foutue piste » Je grogne, en accélérant le mouvement de ma main sur sa chatte. D’un point de vue extérieur, on a juste l’impression qu’on se bécote, mais eu fur et à mesure que ma main s’active, il ne faudrait pas être idiot pour comprendre sur quoi elle s’agite. Et enfin, elle craque, m’embrasse pour masquer ses gémissements trop importants malgré la musique. Son corps semble se dérober même si elle est bloquée, et je l’aide à garder la position, parce que je veux prolonger ce qu’elle ressent. Au moment où elle revient doucement à elle, sa jambe retrouvant le sol, je supprime mes doigts en elle et les mettre en nous et plante mon regard en elle, avant de lécher à pleine bouche ces deux doigts. Son goût envahie ma bouche, et me satisfait amplement alors que je souris et qu’elle soupire. « J’vais dévorer ta chatte, blondie » Je dis, sans me rendre compte que ces mots détonnent vraiment. Je suis ce que je suis, et ce soir, je suis lui. Cette bête. Ce sauvage. « Mais pas ici » Je dis, parce que je refuse qu’elle se freine lorsque ça arrivera. « Viens » Je m’écarte d’elle, et saisit de nouveau sa main, prêt à descendre rejoindre les gars pour les forcer à rentrer à l’hôtel. Je la tire, mais avec le monde, je suis forcé de la lâcher. Je continue d’avancer, en pensant qu’elle est derrière-moi. Lorsque j’arrive près d’Eli, j’annonce : « On rentre » « Allez, il est encore tôt »« PUTAIN, MAINTENANT ! » Je rugis alors que je me retourne vers River qui n’est plus là.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyLun 8 Juin - 18:46
Ce que je suis en train de faire ne me ressemble absolument pas. Je me rebelle contre ma personne, cette petite fille sage qui ne dévie jamais du droit chemin. Je sors de mes habitudes et de tout ce qui me rassure pour lui, pour cet homme dont je tombe amoureuse un peu plus chaque jour. Peut-être n'est-il pas aussi tendre et attentif que d'habitude, ça ne semble pas m'arrêter. Je me surpasse, défies presque la loi qui m'attaquerait en justice pour atteinte à la pudeur. Seulement je le désire si violemment que c'est incontrôlable. Je le désire tout en comprenant que la personne qui me touche et me fait gémir n'est plus réellement le Micky que je connais. Je le devine à ses yeux mais également au côté un peu brusque qu'il me fait découvrir. Ça ne compte pas. Pour moi c'est toujours lui, ça sera toujours lui. Doux, entre les deux ou brusque, ça fait de lui l'être qu'il est. Je suis sans doute folle à lier de continuer à le vouloir mais il n'a pas demandé à être ainsi et je suis incapable de le rejeter, certainement pas maintenant que je sais lui appartenir et m'être donnée à lui depuis un moment. Il a une emprise sur mon corps et sur mon âme, il n'y a rien à faire contre. Sa main sur mon cou m'étouffe un peu, toutefois c'est ce qu'il me fait plus bas qui occupe toute ma tête. Ce plaisir inédit et impossible à décrire qui me gagne. Cette chaleur qui couvre ma peau d'une fine couche de sueur et les contractions incontrôlées de mon vagin autour de ses doigts. J'ai du mal à contenir mes gémissements. C'est bien trop bon et si je ne regrette pas qu'il soit le premier homme à m'offrir ce plaisir, je regrette de ne pas savoir me taire. Seulement mon corps encaisse cette nouveauté comme il le peut. « Tais-toi ! Si j’avais voulu qu’on nous voit, je t’aurais prise sur cette foutue piste. » J'ai la certitude que ce n'est plus le Micky avec lequel je passe du temps mais je ne saurais dire à qui j'ai affaire. Quand je sens que je vais crier, quand tout se contracte, que je commence à trembler, mes lèvres se plaquent sur les siennes masquant ainsi mes gémissements de plaisir. Mon corps, lui, flanche sous l'extase. Seule la carrure imposante de Micky me maintient debout pendant qu'il continu un peu de me faire jouir. J'ai jouis … Pour la première fois de ma vie j'ai eu un orgasme, merveilleux, violent et tellement bon. Je n'ose imaginer ce que son sexe me fera. Voyant ses doigts luisants de mon plaisir entrer dans sa bouche ça palpite de plus bel entre mes cuisses trempées. « J’vais dévorer ta chatte, blondie » Un frisson me gagne avec un désir fou de le laisser faire malgré la crudité de ses mots. « Mais pas ici. Viens » Encore essoufflée par ce qu'il vient de m'offrir, je le suis sans un mot. La piste de danse est nettement plus dense que tout à l'heure, à tel point que sa main me lâche et que je le perd de vue. Je me faufile comme je le peux jusqu'à sentir une main attraper mon bras. Son propriétaire me force à lui faire face en me collant à lui et son odeur de tabac froid. « Tu veux t'amuser un peu ma jolie ? » Je grimace de dégoût et me dégage tant bien que mal. J'arrive à lui échapper, à sortir de la foule en apercevant Micky près d'Eliott, soulagée de le retrouver lorsque je suis de nouveau forcée de me tourner. « Fais pas ta timide, ma salope ! T'en meurs d'envie. » Insiste le même homme avec un rire malsain. Sa main se pose sur mes fesses et avant que je n'ai pu l'envoyer chier ce sont ses lèvres qui atterrissent sur les miennes. Je suis à deux doigts de vomir alors que sa langue essaye de forcer le passage et je le pousse avec toute la violence dont je suis capable. « Me touche pas espèce de sale connard ! » Son regard s'assombrit, il s'approche sans doute pour m'insulter et me forcer à l'embrasser encore une fois mais une masse lui tombe dessus littéralement, ne me lançant pas le temps de le retenir et de réagir.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyLun 8 Juin - 21:44
Je perds le contrôle un nombre incalculable dans ma vie. Le pire a été quand j’ai pas réussi à m’arrêter et que j’ai tué un homme en le massacrant de mes points, le défigurant si fort que j’lui ai pété le crâne. Simplement de mes mains. J’ai vrillé à cause d’une pauvre histoire de combat, de nana et des conneries. J’ai totalement perdu le contrôle, parce qu’à l’époque je n’avais pas identifié le problème. J’étais simplement renfermé sur moi-même, violent et insultant, j’en voulais à la terre entière sans raison. J’étais un sang chaud qu’on qualifié comme petit délinquant. Lorsque le diagnostic est tombé, tout a pris sens. Mais ça n’a pas enlevé ces années d’enfermement qui ont été un véritable enfer. Ça n’a pas enlevé la difficulté à lutter contre mes propres démons, à lutter contre moi-même constamment. Oh, il y’a bien des médicaments, mais ça anéantirait mon rêve d’être champion de boxe. Alors, je fais avec. Je les supporte. Je tente de les contrôler. Mais ce soir, il est trop fort. Il est trop bestial, et il règne dans mon royaume secret en m’enfermant à double tour dans une tour qui me fera tout oublier, je le sais. Je suis moi, sans être moi. Je suis là, sans être là. J’assiste à cette scène pitoyable, parce que je sais que si je la désirais autant, jamais Ô grand jamais je n’aurai osé faire ça là. Comme ça. La voir apprécié, la voir jouir, me fou en rogne. Parce que ça aurait dû être moi. Ça aurait dû être épique. Etre plus…Oh, la ferme putain. T’es qu’une pauvre merde Micky. T’as rien dans le boule pour ne rien tenter avec elle. Maintenant, c’est moi qui vais faire ton taff, parce que t’es pas capable de le faire. Et je te promets que je vais la niquer fort, cette garce. Tu t’en souviendras même pas mon pote, et c’est que j’adore putain ! Je n’arrive même pas à protester parce que j’en ai pas la force. Je suis juste victime de ses envies, et de ses putains d’action. Je tourne pas rond, putain je me déteste. Encore plus lorsque je l’emmène loin de notre petit coin, parce que je sais ce qu’il a en tête. Je sais ce dont il a envie, besoin, ce côté primitif qui risque de la détruire ou briser. T’as aucune couille ! C’est qu’une nana comme une autre, putain. T’as pas compris qu’elle est là juste pour ça ? Regarde-moi faire. Regarde-moi la prendre et tu verras qu’elle sera plus là demain matin, imbécile. En entendant, je me sens rugir, littéralement. « ELLE EST OU PUTAIN ? » Eliott se relève de sa chaise, parce qu’il sait à qui il a affaire, il sait que mes pupilles sont littéralement noir, malgré la pénombre de la boite, et que je ne suis qu’une bombe à retardement qui va briser des nuques si on va à mon encontre. « River était avec toi ? » Je lui attrape le col, alors qu’il tente de me calmer : « Mic, calme-toi on va la retrouver » « NON. PUTAIN. ELLE EST OU ? » Son monde s’enflamme, il se consume de lui-même. Parce que sa proie a disparu, ses plans tombent progressivement à l’eau, et ça l’enrage. Je sens son sang bouillir, je sens son cœur s’accéléré, la sueur le gagné. Il va péter. Putain, il va massacrer quelqu’un. Je pousse Eliott contre l’un des fauteuils et tente de revenir en arrière, pour la retrouver. Mes muscles se tendent, chacun l’un après l’autre. Je suis ne devient qu’une machine de combat, et lorsque je la vois au centre de la piste, les lèvres collés à un autre, tout part en vrille. Mes yeux sortent de leur orbites, mon sang surchauffe, mon cœur est à la limite d’une course frénétique. Je m’élance dans la foule, et vient coller une énorme droite au type qui l’a touché. Mes poings sont si surs qu’ils commencent déjà à massacrer le type alors que la foule cris par-dessus le son. Je sens des bras étrangers tenter de m’arrêter, mais je les repousse sans aucun problème. Je sens les bras de River – parce qu’il n’y a qu’eux pour me faire vibrer comme ça vient de faire, mais je la repousse aussi violemment. Je n’arrive pas à l’arrêter, il a soif. Soif de sang. Il a besoin d’exploser. Il a besoin de ça. J’entends vaguement la voix de Rafe et d’Eli, près de moi. Les bras d’Eli me repoussent, je fonce sur lui. « Putain, calme-toi Micky » Mais je lui décroche une belle droite qu’il perd pieds, et tombe au sol. Il hurle « Rafe…putain qu’est-ce que tu fous » C’est là que je la sens, la première piqure, qui s’infiltre dans mon cou, et qui réchauffe les veines. Je sais ce que c’est, Oh, il sait ce que c’est. Merde…Putain les enfoirés de mes couilles. Il résiste, putain. J’envoie un crocher dans le ventre de la sécurité qui tentait de s’interposer. « Raaaaaafe ! » Je sens Eli revenir à la charge, et je lutte pour qu’il me lâche au moment où une seconde seringue arrive. La partie est terminée. Si l’alcool et l’adrénaline l’a aidé à résister, cette double dose, je le sais, devrait mettre ko un éléphant de plusieurs tonnes. Je desserre mes prises, alors que les bras d’Eliott m’enveloppent un peu plus eux. « Ça va aller mon pote » Je titube, tente de résister mais je reprends doucement possession de mon corps, sans en avoir la maitrise. Tout ce que j’arrive à dire c’est : « La laisser pas me voir…La laisser pa.. » Je ne résiste plus. Je tombe comme une mouche, littéralement mis ko.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) EmptyLun 8 Juin - 22:45
Je ne comprends absolument rien à la situation. Une minute auparavant cet enfoiré posait ses lèvres sur les miennes sans mon consentement, celle d’après il est à terre avec un Micky pas franchement commode en train de lui refaire le portrait. Moi je suis bonne à rester plantée droite comme un piquet à le regarder, bouche bée, sans comprendre ce qu’il se déroule pourtant sous mes yeux. J’ai compris qu’il n’était plus lui-même. J’ai également compris avoir sous mes yeux l’un des plus difficiles à gérer, celui dont même les garçons semblent se méfier. J’ignore pourquoi, je n’ai pas osé creuser mais quelque chose me dit que ce que je vois actuellement est une partie de la réponse. Mon cerveau refuse de reconnaître qu’il n’est qu’une brute épaisse désormais. Il ne le conçoit pas, pas plus que mon cœur qui bat à tout rompre. Il n’est pas que ça, il n’a jamais été que ça. Jamais je ne pourrais penser ça de lui. Mais je comprends que Micky est bien plus complexe que ce que je pensais. Mes notions de médecine et de psychologie ne sont pas assez pour m’avoir permis de comprendre plus tôt. Ça ne change rien. Je le sais. Je le sens. Ça ne change rien à ce que je ressens et je ne le pense pas parce qu’il vient de m’offrir ce qu’aucun homme n’a su me donner. Je le pense parce que je me sais étroitement liée à lui depuis le début. C’est inexplicable mais c’est également ce qui me permet de le calmer, de l’apaiser, j’en suis persuadée. Malgré ça, face à l’animal que j’ai sous les yeux, je sais que je ne pourrais rien. Mes neurones se connectent enfin entre eux et ce qui me semblaient être de longues minutes s’avèrent n’être que des secondes au cours desquelles il a presque mis KO l’autre enfoiré. « Micky, arrête ! » Je crie pour qu’il m’entende par-dessus la musique mais quand mes bras tentent de le tirer en arrière, il donne un coup de coude pour me dégager qui finit contre ma bouche. Mes dents fendent ma lèvre et bien que je sente le goût du sang sur ma langue, je n’y prête pas attention. Je sens des bras me soulever alors que je n’avais pas réalisé avoir les fesses par terre. Le visage d’Eliott apparaît dans mon champ de vision et je lève les yeux vers lui, au bord des larmes. « Riv’, ça va ? » Je secoue la tête de bas en haut mais mon regard se porte sur Micky. Je n’ai pas besoin de parole pour lui faire comprendre de s’occuper de lui. Il demande néanmoins à Olivia de veiller sur moi alors qu’il tente d’arrêter Micky. La scène est surréaliste. Micky passe du type dans les vapes à Eliott, se moquant de frapper son meilleur ami et puis je vois Rafe. Enfin non, je vois ce qu’il a dans la main et je me redresse d’un coup. « Qu’est-ce qu’il fait ?! » Ma voix par dans les aiguës, je deviens un brin hystérique. Je tente de m’approcher mais les bras d’Olivia me tirent en arrière. Je n’écoute pas ce qu’elle me dit, je vois seulement cette autre seringue sortie et plantée dans le cou de Micky. « MAIS QU’EST-CE QUE TU FAIS PUTAIN ?! » Je hurle en parvenant à me dégager lorsque Micky tombe à genoux puis totalement, inconscient. « C’était quoi ça ?! » Mes mains passent sur le visage de Micky, mes yeux rivés sur les gars. « C’ETAIT QUOI ?! » Je répète plus vivement. Ils échangent un regard et Eliott tente de me faire reculer, je me dégage d’un coup de coude. « River, on doit le sortir de là, va à la voiture s’il te plait. » Mais je reste accrochée à lui en secouant la tête. Il soupire et fini par me porter contre mon gré laissant Rafe se débrouiller pour déplacer leur meilleur ami jusqu’à la voiture. « LÂCHE-MOI !! » Je le tape, essaye de me dégager mais ses bras se referment sur moi. « JE VEUX LE VOIR ! LAISSE-MOI LE VOIR !! » Je crie en pleurant. Mais il s’est passé quoi là ? C’était quoi tout ça ? C’était quoi ces seringues ? Trop de questions se bousculent dans ma tête lorsqu’Eliott me balance à l’arrière de la voiture et ferme en verrouillant pour que je ne sorte pas. Je m’excite un moment sur la porte pour finalement abandonner et lorsqu’elle se rouvre pour qu’ils placent Micky à mes côtés, je m’accroche à lui, déterminée à ne laisser personne d’autre toucher mon homme. « C’était quoi ?! » Je demande alors que la tête de Micky endormie tombe sur mon épaule et que je caresse ses cheveux. En silence suit ma question puis on me regarde à travers le rétro. « Un tranquillisant. », « Je vous interdis de lui injecter à nouveau cette merde ! », « Ce n’est pas à toi de le décider. » Me lance Rafe en se concentrant de nouveau sur la route ce qui m’énerve un peu plus. Regard baissé vers Micky, mon cœur se serre et j’embrasse son front. « Vous ne l’approchez pas avant qu’on rentre. Je veillerai sur lui. » Je refuse qu’ils le touchent encore parce que je reste persuadée qu’il y avait un autre moyen de le ramener à la raison autre que le droguer. « Tu peux pas dormir avec lui, River. » M’annonce Eliott. « Si vous tenez tous les deux à vos couilles vous allez faire ce que je dis ! » Nouvel échange de regards et les deux soupirs. Je prends ça pour une victoire personnelle alors que je ne dis plus rien le reste du trajet. Je reste focalisée sur Micky que je garde contre moi, douce et maternelle malgré qu’il soit inconscient. Je sens leur regard par moment mais je n’y fais pas attention. Je les ignore même lorsqu’ils sortent Micky et m’aident à l’allonger sur le lit et une fois à la porte de la suite, je la leur claque au nez sans un moi, retourne dans la chambre et me laisser tomber toute habillée contre Micky. « Je te laisserais jamais tomber, Micky. Malade ou pas, t’es tout pour moi. » Dis-je en embrassant sa tempe avant de poser ma tête sur son torse et de m’endormir.
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