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 /+18/ Even the best fall down sometimes (miver)

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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptySam 13 Juin - 21:45
Je me suis déjà mis nu un millier de fois. Pour des femmes qui étaient là spécialement pour moi, ou même pour des shootings photo à mes débuts, parce que ça payait bien. Et que je voulais – même si j’avais mon héritage – être un minimum indépendant de ma mère. Mais là, ce matin ça n’a rien à voir. Je me mets à nu. Physiquement mais mentalement. Je me suis dévoilé à personne d’autres qu’à elle, et ça, je ne le réalise pas encore. Mais à mesure qu’elle repousse ses limites, j’ai envie d’en faire pareil. J’ai envie de lui prouver qu’elle ne fait ça pour rien. Que je peux être aussi digne d’elle, digne de ce qu’elle me donne en échange. Je l’amène sous la douche, et je n’ai pas besoin de la supplier pour qu’elle me lave, parce qu’elle sait que cette fois, elle va pouvoir toucher tout, vraiment tout. J’ai plus aucune barrière, plus aucun secret à lui cacher. Elle les a acceptés, alors je vais lui donner ce qu’elle m’a déjà tant demandé. Je n’ai qu’une parole, mais j’ai surtout envie d’elle. Horriblement, même. Après ses semaines d’abstinences, ces nombres de douche froide incalculables, j’ai besoin de sentir ma queue dans un vagin. Son vagin. Ses mains fait mousser du savon, et se posent sur mes épaules larges. Mon buste, elle le connait par cœur, mais comme à chaque fois, je me détends à vue d’œil. Mes muscles se décontractent, malgré mon envie et mon érection qui elles augmentent. C’est un mélange particulier, mais elle calme les restes encore à cran. Je ferme les yeux parfois, ma respiration étant profonde. Lorsqu’elle s’occupe de mes jambes, et qu’elle ose parfois approcher trop ma queue, je laisse échapper un grognement, mais elle n’en fait rien. Elle continue de me laver, passant maintenant à mes fesses alors qu’elle se colle à moi pour les atteindre. Je sens ses tétons durs contre moi, et je jure que je retiens tout mon être pour ne pas vriller et rester encore statique. Ses mains glissent doucement, arrive vers devant, et je frisonne de la tête au pied. « Je suis amoureuse de toi, Micky » Je ne quitte pas ses yeux, alors que ma main vient caresser sa joue, mon pouce sur ses lèvres. « Je sais » Ma voix est si rauque qu’au moment où elle saisit mon érection, je laisse échapper un gémissement. On se regarde encore un peu dans les yeux avant de ne céder et de venir capturer ses lèvres, enfermant mon visage dans mes grandes mains. Mes lèvres sont avides d’elle, et dévore les siennes au moment où je laisse ma langue venir chercher la sienne. C’est assez rapide, parce qu’elle ne désire qu’une chose aussi. Nos langues se caressent, dansent et je m’avance doucement vers elle pour me coller, mais elle recule à cause de ma prestance, sa main toujours sur ma queue. Je grogne lorsqu’elle cogne le mur froid du carrelage. Oh, je ne vais pas pouvoir patienter plus, je le sais. Ma bouche dérive déjà vers l’un de ses seins qui pointe et qui doit être archi sensible. Je le saisis à pleine bouche, exprimant ce qu’elle ose me faire en bas, à la même vitesse. Je joue avec, puis avec l’autre un temps, et sentant que mon érection est bien trop éveillée maintenant, dure et puissante, mes mains glissent sur ses cuisses pour la soulever et venir la coller à moi. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille, mes lèvres retrouvent les siennes et entre deux baisers j’ajoute :  « J’ai envie de toi, River. Depuis le premier jour que tes mains se sont posés sur ma peau »  J’ondule mon corps, en sentant mon érection se caler contre sa fente ce qui nous fait gémir tous les deux.  « Tu le voyais pas, mais…je bandais bien ce jour. » J’étais en manque aussi, et des mains n’importe lesquels m’auraient suffi. Mais c’est les siennes qui m’ont donné autant de plaisir. Je frotte nos deux sexes sans la pénétrer, alors que nos respirations commencent déjà à être profondes. « Dis-moi ce que tu me veux. Dis-moi que tu veux me sentir en toi »
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyMer 17 Juin - 18:46
Être aussi proche d’un homme, nue comme un ver, ça ne m’est jamais arrivé. Pas à la lumière du jour en tout cas. Le voir lui sans le moindre vêtement sur le dos anime cette envie que je sens grandir depuis un moment maintenant. Désir partiellement assouvi la veille, je sais que ça n’a rien à voir avec ce vers quoi nous risquons de glisser. Ses yeux suffisent à exprimer ce qu’il ressent bien que son érection m’y aide grandement. Les battements frénétiques de mon cœur me prouvent que j’en ai affreusement envie aussi. Je veux qu’il m’appartienne autant que je lui appartiens. Je veux ressentir cette connexion que je n’ai jamais connu, pas une seule fois. Le laver lentement, veillant à ne pas manquer un seul centimètre de sa peau, est une douce torture. Maintenant je sais que je vais mémoriser son corps tout entier, que je le reverrai les rares fois où il ne sera pas avec moi. Je n’ai pas peur ce qui pour moi est une preuve supplémentaire de ce que j’éprouve pour lui. Cette nouveauté ne me fera pas plus fuir que lui et une certaine impatience me gagne à mesure que mon corps le réclame. Le regard qu’il pose sur moi me fait fondre de l’intérieur. Il n’y a rien de plus valorisant que ce que je lis dans ses yeux en lui avouant être amoureuse de lui … aussi simplement que ça. J’apprécie la caresse de sa main sur ma joue, frissonne par son pouce qui en fait de même sur mes lèvres. « Je sais » Large et dur dans ma main, mon rythme cardiaque s’est emballé à l’instant où il a fortement soupiré juste avant que ses lèvres ne viennent se poser sur les miennes. Nos langues se trouvent et ne se lâchent plus. Mes pieds partent en arrière, poussée par cet homme massif qui me fait déjà perdre bien. Le carrelage froid de la douche me fait grogner mais ne m’arrête pas pour autant. Sa bouche descend vers ma poitrine et je suis persuadée qu’il peut sentir sous celle-ci mon cœur battre à tout rompre, particulièrement quand il s’amuse lentement avec mon sein. Aussi lentement que je le caresse. Mais je gémis déjà, ravie par ces sensations nouvelles qu’il éveille en moi. C’est le seul. J’adore cette idée. J’adore le savoir même si risquer de le perdre sera nettement plus douloureux. Ça aurait pu être le cas aujourd’hui si je n’avais pas trouvé le courage de lui tenir tête. Soulevée avec aisance dans ses bras, mes jambes autour de sa taille me collent à lui. Mes bras entourent ses épaules tandis que je sens nettement son sexe contre le mien. « J’ai envie de toi, River. Depuis le premier jour que tes mains se sont posés sur ma peau » Je gémis plus fort, autant par les frottements qu’il débute que par son aveu. « Tu le voyais pas, mais…je bandais bien ce jour. » Je deviens folle et impatiente. Je veux le sentir en moi, le savoir à moi, rien qu’à moi mais il continu sa torture, nous fait grogner tous les deux. « Dis-moi que tu me veux. Dis-moi que tu veux me sentir en toi » Ma bouche saisi la sienne pour faire taire ma frustration quelques secondes bien que ça ne soit pas suffisant, puis mon regard remonte chercher le sien. « Je veux te sentir en moi … T’es à moi, champion. » Ma voix continue de me donner l’impression d’être une main. Saisissant son érection, sans détacher mon attention de lui, je la guide vers mon vagin, le souffle court. « Prends ce qui est à toi. » Je parviens à souffler en soulevant légèrement mon bassin pour m’empiler sur lui très lentement. Je grogne, m’agrippe à lui à mesure qu’il entre en moi, plus large que tous mes autres partenaires. Enfoncé jusqu’à la garde, je le serre d’autant plus contre moi, le souffle court, mon corps tentant de s’adapter à sa taille malgré le léger frisson de douleur qui me parcourt. Et malgré ça, je le sais, je le sens, il est fait pour moi.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyMer 17 Juin - 21:14
Ce que je ressens est indescriptible. Je n’arrive pas à définir ce que je ressens parce que River Wayne m’offre un nombre incalculable de petites sensations en même temps. Non, je ne peux pas mettre des mots sur ce qu’elle me procure à la fois, parce que c’est puissant. Comme une tornade qui a décidé de tout balayé sur son passage. Il n’y a plus aucune trace de colère, il y’a juste ce besoin dévorant de la trouver, elle. J’ai ce besoin de plonger dans ce qu’elle m’offre parce que c’est inédit et que c’est bien trop bon pour que j’ose me détourner d’elle. Alors, je prends ce qu’elle me donne, je prends les frissons et l’électricité qui me parcoure lorsque sa main se pose sur mon érection. Je prends cette respiration lourde et l’intensité de mon regard lorsqu’elle commence à s’agiter dessus. J’en demande surtout plus. Je demande ses lèvres, sa langue qui me nargue à nouveau et qui vient danser avec la mienne. Je demande sa proximité, pour enfin sentir sa peau contre la mienne, entièrement nu. Je demande l’accès à son entrejambe, en la soulevant, lorsqu’elle gémit d’aise en sentant la friction de nos deux sexes. Je demande de l’entendre me dire qu’elle me veut, qu’elle veut me sentir en elle. Je demande qu’elle me supplie, qu’elle perde pied autant que je perde pied. Pour me venger ? Non. Pour qu’elle ressente ce que moi je ressens. Mon cœur ne s’est jamais autant activé, même avec un combat, ou pendant ses crises. Non, il bat pour elle. Pour ce qu’elle me donne et ce que j’ai tant envie de lui donner. Sa bouche se retrouve sur la mienne, sans plus attendre. Avide. Gourmande. Désespérée. Mais ça ne suffit pas à son regard qui pétille : « Je veux te sentir en moi…T’es à moi, champion » Je n’arrive pas à sourire parce que son regard est trop intense, tout ce que j’arrive à bredouiller c’est un pauvre : « Je suis à toi ». Sa main vient saisir à nouveau ma virilité, et l’emmène à l’entrée de son vagin. C’est déjà chaud, je le sens. Humide, sans aucun doute, mais avec nos corps mouillés c’est compliqué de réellement savoir. En revanche, la simple pression qu’elle ose mettre pour le moment m’hérisse mes poils. « Prends ce qui est à toi » Je la regarde, glisse lentement sur mon érection énorme. Elle grogne, grimace, mais ne s’arrête pas. Et je suis littéralement figé face à cette femme magnifique qui ne fait désormais plus qu’un avec moi. Elle est si étroite que moi, ça me fait lâcher un énorme râle. Je suis bien trop gros par rapport à elle, je le sais. Et si elle finira par s’habituer, cette première fois ne sera pas aussi bonne qu’elle risque d’en être. Je sens son étreinte se refermer contre moi, sa tête toujours tiraillé, mais je ne bouge pas, de peur de lui faire mal. « Ca va… ? » Je souffle, alors qu’elle inspire un bon coup, et que sa tête se colle à la mienne. « Dis-moi que ça va… »Elle acquiesce doucement et me confirme en venant me voler un baiser, sans doute pour faire taire ma peur. Je la colle un peu plus au mur, dans mon élan, vient ajouter entre deux baisers : « Je vais y aller doucement, d’accord ? » Elle acquiesce à nouveau, et je commence à me mouvoir vraiment doucement en elle. Le mouvement est si faible qu’on a l’impression que je ne bouge pas spécialement. Mais, je sens bien qu’elle est encore crispée. A-t-elle mal ? Veut-elle aller jusqu’au bout ? Je ne sais pas, tout ce que je veux, c’est de ne pas lui faire du mal aussi là-dedans, et lorsque je vois sa lèvre commencer à se mettre à saigner, je viens la lécher. « Je ne te ferai plus jamais de mal, River. Plus jamais » Je soupire, même inconsciemment. Il ne peut pas la blesser, pas elle. Pas après ce qu’elle vient de provoquer en moi, parce que je sais qu’il en est aussi satisfait. Je le sens, au plus profond de moi. Progressivement, j’ondule un peu plus mon corps contre le sien, pour l’adapter à ma virilité. Je prends le temps, tout est si sensuel, perdu dans des caresses, des baisers que c’est totalement unique pour moi. Jamais, non jamais je n’ai été aussi fusionnel et tendre avec une nana. Ma nana.  
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyJeu 18 Juin - 11:06
Tout ça, lui, moi … nous, c’est inexplicable. Ça l’est depuis le premier jour, lorsqu’après nous être tenus tête – après que je l’ai énervé surtout – il y a eu cet instant où je l’ai massé et que la connexion s’est faite. Sur le coup aucun de nous deux ne l’a compris ou n’en a parlé. Elle est revenue lorsque je suis arrivée en retard chez lui et que je me suis retrouvée au-dessus à le masser. Ce lien étrange et puissant nous suit depuis le départ bien que je n’y trouve aucune explication. Est-ce nécessaire ? Je ne pense pas. Ce que nous avons est beau, fort et à couper le souffle, comme lui en fait. Lui qui me laisse entrer un peu plus chaque jour, lui dont j’ai besoin et dont je suis tombée amoureuse brutalement. Je ne vois que par cet homme en apparences indestructible qui en réalité cache une personne bien plus abîmée par la vie, une personne dont je veux prendre soin et que je désire aimer plus que tout au monde. Un homme auquel j’ai terriblement envie et besoin de m’unir. Et il est à moi, rien qu’à moi parce que je suis entièrement à lui depuis un moment. « Je suis à toi » Ces quatre petits mots sont à la fois une claque et les plus belles paroles jamais entendu. Ils font battre mon myocarde plus fort, apportent une nouvelle touche de rouge à ma peau et décuplent mon désir pour lui. Je veux lui donner autant et même plus que ce qu’il me donne. C’est aussi indescriptible que ce désire puissant de lui prouver qu’il a de la valeur pour moi, qu’il compte et qu’il mérite d’être aimé. Le sexe me terrorise à cause de mes expériences passées, pourtant avec Micky je n’ai pas peur. Pas même lorsque je glisse sur lui et que les premières douleurs s’éveillent. Rien d’insupportable, toutefois pas assez pour me faire frissonner et grimacer. « Ça va… ? Dis-moi que ça va… » Ma tête s’agite de pas en haut, mes lèvres retrouvent brièvement les siennes pour le rassurer et son corps s’appuie nettement plus contre le mien. « Je vais bien. » Soufflé-je contre ses lèvres alors que mon intimité tente de s’habituer à son intrusion qui reste délicieuse, une contradiction que mon cerveau peine à comprendre. « Je vais y aller doucement, d’accord ? » J’approuve sans parvenir à ouvrir la bouche cette fois, sauf pour souffler un coup … à moins que ça ne soit un gémissement. Douleur et plaisir se mélangent doucement, accélèrent mon rythme cardiaque. Accrochée à Micky, je sens mon corps se détendre légèrement à chaque mouvement tout en se crispant lorsqu’une petite douleur s’éveille malgré tout. Mais sentir sa langue lécher ma blessure à la lèvre me fait perdre pied un instant. « Je ne te ferai plus jamais de mal, River. Plus jamais » Mon regard cherche le sien et ne le quitte plus une fois trouvé. Il a beau se mouvoir un peu plus, je ne perds rien de ses beaux yeux qui me regardent plein de sincérité. « Je sais. » Dis-je en écho à ses propres mots tout à l’heure bien que j’ajoute : « Moi je vais t’aimer comme tu le mérites … » Un léger grognement m’échappe. Ses lèvres se posent dans mon cou qui s’offre à lui, mes doigts tirent doucement sur ses cheveux. Sa douceur me fait du bien, calme mon corps qui s’adapte à sa taille et commence à ne plus ressentir la douleur. Je frissonne une nouvelle fois. « T’es parfait … parfait. » Je répète sans être sûre qu’il m’entend tant ma voix est basse. Puis je gémis un peu plus fort, le force à revenir m’embrasser même avec tendresse, le sentant venir légèrement plus vite en moi. L’orgasme sera un mélange de plaisir et de douleur, je le sens monter en moi, plus vif que la veille lorsque ses doigts m’ont offert ce que je n’avais jamais éprouvé. Il est plus puissant, forçant mon corps à se contracter malgré la douleur que ça réveille encore un peu. « Oh … » Lâché-je en m’agrippant plus à lui. « Je … » Vais jouir, c’est ce que j’allais répondre mais prise de court par la vague de plaisir qui explose entre mes cuisses et se propage dans mon corps, je gémis, me cambre et mon cerveau oublie la douleur, entièrement envahi par l’endorphine propagé par ce bel et puissant orgasme qui me fait trembler et haleter.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptySam 20 Juin - 21:52
« Je sais… » Oh, non. Elle ne sait pas comment j’ai besoin de ne plus lui faire de mal. Elle ne sait pas à quel point j’ai besoin d’elle, à quel point mon monde s’est bouleversé depuis que nos chemins se sont recroisés dans cette chambre d’hôtel. Oh, elle ne sait pas combien j’ai besoin de sentir ses mains sur ma peau, qui semblent être un remède unique contre cette colère incessante que j’éprouve. Si elle en a peut-être conscience, elle n’a aucune idée de ce que ça me procure, et à quel point tout ça c’est puissant. Je n’ai rien connu de tel. Avec aucune autre. Personne, non. Personne n’est rentré dans mon monde ainsi, aussi vite aussi profond. Elle me voit entièrement. Et ça, c’est unique. Pour la première fois de ma vie, j’ai l’impression d’être compris et d’être vu. Sans être ce loup solitaire, ce malade mentale, ce mec violent et cinglé. Non, je suis juste moi. Et putain de merde, ça fait du bien ! « Moi je vais t’aimer comme tu le mérites… » Je ne réponds rien, parce que je ne suis pas certain de mériter d’être aimé, mais je me perds dans ce qu’elle me donne, et comme j’en suis accro, j’ose prendre tout ce qu’elle m’offre. Même si cela revient à m’aimer. Elle gémit, ce qui fait vibrer mes entrailles. Je veux la sentir partir, je veux la sentir vriller, je veux être le seul homme qui lui donne ça. Le seul homme de toute sa vie. Mais je reste encore doux, parce que son corps met du temps à s’adapter, je le sens. Les frictions sont divines, à la limite du possible. Heureusement qu’elle est humide et que nous sommes dans la douche, parce qu’on aurait sans doute dû recourir à autre chose pour que j’arrive à la pénétrer vraiment. Mais là, c’est parfait – du moins même si elle grimace de temps en temps. « T’es parfait…parfait » Je secoue la tête malgré moi, en continuant de parsemer son corps de baisers. Tout ce que je peux en réalité. « Non, tu l’es…toi » Je souffle contre sa peau, en continuant de me mouvoir, sortant parfois un peu désormais pour revenir. Je garde le cap, accélérant un peu, sentant le plaisir monté, mais ça me titille. Je suis en manque, mais j’ai toujours été résistant, et je sais que pour moi, il me faut bien plus pour perdre pied. En revanche, elle…c’est nouveau, son corps est frustré de toutes ses années, elle va venir vite et fort, je le sens. « Oh… » Elle s’agrippe, griffe un peu mes épaules ce qui m’arrache un râle. « Je… »  Et la voilà….partie. Elle se resserre autour de moi, tremble comme pas possible, crie tant elle n’arrive pas à tout contrôler, et moi, je lui prends d’assaut ses lèvres, continuant mes mouvements pour prolonger son orgasme. Elle gémit, à bout de souffle, et brise nos baisers. Qu’elle est belle, magnifique même. Et rien qu’à moi. River Wayne est à moi, putain ! Je ralentis le rythme, tandis qu’elle tente de reprendre sa respiration, et ajoute en caressant sa tempe. « Oh, tu vas jouir, bébé aujourd’hui » C’est une promesse, parce que ce premier n’est que le début de la journée. Je coupe l’eau, la gardant dans mes bras, toujours imbriqué, et sort de la douche. Je la pose rapidement sur le meuble du lavabo, et prends une serviette pour la sécher lentement. Je prends le temps, et fini par me retirer d’elle pour me sécher moi-même. Mais lorsqu’elle veut descendre, je l’en empêche. « hin hin » Je passe la serviette dans mes cheveux, repasse aux siens dégoulinants avant de venir l’embrasser à pleine bouche. Ma bouche dérive sur sa mâchoire, dans son cou, mordille son lob d’oreille et j’ajoute : « J’vais d’abord te goûter bébé. Je veux savoir quel goût tu as » Je la sens frissonner, mais n’attends pas pour m’agenouiller face à elle, et lui écarte les jambes. Je cale une sur mon épaule, l’autre je la maintien d’une main. J’embrasse d’abord sa cuisse, avant de venir déposer mes lèvres sur son sexe épilé. Ce n’est qu’au début des légers baisers, avant de laisser ma langue s’incruster sur son clitoris, ce qui la fait gémir profondément. « T’es à moi » Je souffle alors que je commence à jouer avec elle par bien des manières.
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyDim 21 Juin - 12:54
Il m’arrive parfois de ne pas être capable de mettre des mots sur ce que je ressens réellement, c’est exactement ce qu’il se passe là. Tout ce que je ressens autant physiquement que mentalement est inédit, au point de ne pas être capable de l’expliquer. Mais j’adore ça. J’adore tout ce que Micky est capable de me faire ressentir. C’est nouveau et si bon que j’en redemande encore et encore. Je me moque de ce qu’il peut être, de ce qu’il a pu faire, c’est la personne que j’ai sous les yeux depuis plusieurs mois qui compte. Cette personne qui tente autant qu’elle le peut de rester dans le droit chemin, de ne pas laisser ses démons l’emporter. C’est un combat constant qui pousse au respect mais moi je veux avant tout l’aimer. Ou les aimer bien que pour moi ils forment un tout qui m’a poussé à lui faire confiance peut-être trop vite. Mais qu’est-ce que ça peut bien faire du moment que je suis heureuse et en sécurité ? Je sais que jamais il ne me fera volontairement du mal, même hier il ne l’a pas fait exprès. C’est inexplicable, je tiens à lui et il tient à moi. Il nous aura simplement fallu quelques années pour nous trouver véritablement et ne faire plus qu’un comme à cet instant. Je perds un peu plus pieds à mesure qu’il va-et-vient en moi. Sa tendresse est remarquable et mon corps s’embrase un peu plus sans que je ne sois capable de le contrôler. « Non, tu l’es…toi » Je n’ai pas la force ou simplement plus la capacité de répondre correctement à ça. Tout en moi se tend. Mon corps se cambre malgré le peu d’espace que j’ai entre Micky et le mur. Et le voilà l’orgasme violent qui m’amène dans un autre monde et me coupe le souffle. Hier soir c’était déjà très bon mais ce qu’il me donne là, maintenant, c’est merveilleux. C’est si bon qu’il continu de m’en donner plus, jusqu’à ce que je n’en puisse vraiment plus, des étoiles se dessinant derrière mes paupières fermées brièvement sous l’extase. Lorsque je les rouvre, c’est pour le voir qui m’observe avec ce quelque chose dans les yeux qui agite mes entrailles. « Oh, tu vas jouir, bébé aujourd’hui » Mon corps peut-il endurer ça ? Supporter plus que ce que je viens de ressentir alors que j’avais l’impression d’imploser ? Pitié, oui ! Encore un peu dans un autre monde, je le laisse nous sortir de la douche et nous guider vers le lavabo sur lequel il me dépose. En silence, je l’observe qui nous sèche l’un et l’autre, grogne un peu lorsqu’il se retire de moi. La sensation de vide qui me gagne me fait l’effet d’une claque à laquelle je n’étais vraiment pas préparée. Mais lorsque je veux descendre, surtout pour le retrouver, il m’arrête. « Hin hin. J’vais d’abord te goûter bébé. Je veux savoir quel goût tu as » Je frémis par avance, probablement parce qu’aucun homme n’a osé faire ça, pourtant je devrais savoir qu’il n’est pas comme les autres, pas pour et avec moi. Sa tête déjà entre mes cuisses, je serre fermement le bord du lavabo, mordant ma lèvre déjà abîmée. « T’es à moi » Je m’apprête à lui confirmer lorsque sa langue revient sur mon sexe et que ma tête part immédiatement en arrière. Je prends le risque de lâcher le meuble sur lequel je suis d’une main qui part s’enfoncer dans ses cheveux humides. « Micky … » Je souffle en tirant sur ses cheveux alors que je sens les prémices du bonheur arriver.

J’ai joui je ne sais combien de fois mais le meilleur a été lorsqu’il a fini par me rejoindre lui aussi. Ça, c’était tout bonnement indescriptible. Le corps douloureux mais pour les bonnes raisons, j’ai bien vite retrouvé le sien. Ma tête contre son torse, ma main caresse sa peau, une habitude dont je ne pourrais jamais me lasser. Je pourrais presque m’endormir, épuisée mais heureuse, contre lui. Je pourrais me laisser bercer par sa respiration et ses caresses dans ses cheveux mais je sens tout au fond de moi cette petite chose qui me travaille trop pour me laisser me calmer. Alors je me redresse, lève la tête vers Micky dont le regard change en voyant mon expression sérieuse. « Je ne veux plus qu’ils t’injectent cette merde … » L’image des deux seringues injectées dans son cou par Rafaël est gravée dans ma mémoire et me fait trembler d’effroi.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyLun 22 Juin - 19:44
Micky…micky…micky. J’ai entendu mon nom un nombre incalculable de fois aujourd’hui. Parce que si je l’ai fait jouir, j’ai arrêté de réellement compter. Tout ce que je voulais, c’était lui faire du bien, de lui montrer ce qu’est réellement le sexe, et de lui prouver qu’elle est à moi. De toute les manières qu’il soit. Alors je l’ai léché, sucé, pris devant, derrière. Lentement. Sauvagement. Je laissais mes envies dicter mes actes, et ainsi satisfaire les trois hommes que je suis. Parce que dans ce genre de moment, je suis un peu les trois à la fois. Pervers et doux à la fois. Excité et patient. Infatigable et joueur. Alors non, je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai entendu mon prénom aujourd’hui. Je n’ai répondu qu’aux gars entre deux, histoire de pouvoir souffler, mais nous nous ne sommes pas lâcher une semelle, même pour manger. Allongés sur le lit aux draps froissés et sales maintenant, elle est encore collé à moi, sa tête sur mon torse. Je continue de caresser ses cheveux soyeux, enfin fatigué de toute cette activité. Si je n’étais pas si endurant, j’aurai probablement fermé les yeux. Je sursaute un peu lorsqu’elle relève la tête et me regarde d’un air sérieux. Ok, ça je ne l’avais pas vu venir. Pourquoi elle me regarde comme si elle allait me donner des sueurs froides ? Sa voix sérieuse tranche rapidement : « Je ne veux plus qu’ils t’injectent cette merde… » Elle a eu peur pour moi, elle me l’a dit. Elle a paniqué, a foutu les jetons à Eliott, mais c’était mérité. Parce que si elle sait à quel point le Micky 3 peut être dangereux, elle n’en a pas encore vu l’étendu.  Je me relève alors, m’asseyant mais la gardant prêt de moi, alors qu’elle se met plus sur son ventre que sur son flanc. « River… » Elle tente de me contredire, parce qu’elle voit dans mon regard que je vais ne pas approuver, mais j’enchaîne : « Laisse-moi au moins t’expliquer, d’accord ? » Ma main caresse son épaule, et je débute : « On a tout tenté avec Rafe, quand nous étions que tous les deux, juste après ma sortie d’hôpital. Il était interne et m’a été d’un réconfort immense, alors quand j’ai signé ma propre sortie, il a démissionné préférant me suivre. On a tenté de trouver des moyens naturels de m’aider. J’ai…vraiment tout tenté » A l’époque, j’étais désespéré de reprendre une vie normale, mais j’avais surtout peur de devoir l’affronter encore, lui. Et je savais qu’en en prenant plus mes médicaments, ça allait être un pur enfer. « Les médocs qu’ils me filaient étaient trop puissants pour que…je sois conscient de quoi que ce soit, alors si j’ai voulu reprendre une vie normale, ça a été le seul moyen de le contrôler » Je joue avec ses cheveux, parfois venant caresser sa joue. « J’avais trouvé un équilibre, et si il apparaissait c’était souvent sur le ring, mais ils le laissaient s’exprimer parce que c’est ce qu’on voulait…Jusqu’à…toi. T’as débarqué dans mon monde, t’as tout ébranlé. Tu m’as apporté des choses nouvelles, mais tu m’en as aussi privé… » Le sexe est souvent un moment pour l’assouvir aussi lui, et ne l’ayant pas fait depuis des lustres, ça a été compliqué de gérer tout ça. « J’ai besoin de retrouver mon équilibre dans tout ça, de trouver comment interagir à nouveau avec toi, comment le contrôler lui…grâce à toi. Et ça ne va pas se faire en un claquement de doigt. Alors….ils seront autorisé à m’en injecter le temps qu’on retrouve cette équilibre » Même si ça prend du temps…J’approche mon visage du sien, viens déposer un baiser sur ses lèvres et demande : « Tu me fais confiance hein ? »
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyJeu 25 Juin - 10:58
C’est avec assurance que je peux affirmer ne jamais avoir autant eu d’orgasmes de ma vie puisque je n’en ai, pour ainsi dire, jamais eu ! Micky m’a offert une journée merveilleuse en me faisant découvrir tout ce que je ne connaissais pas. Il m’a permis d’oublier mes à priori et de réaliser qu’il est définitivement le seul homme capable d’éveiller quelque chose en moi. Tout comme je semble être la seule à pouvoir canaliser les petits démons qui luttent pour avoir le pouvoir en lui, sur lui. C’est merveilleux et tendre, parfois un peu sauvage sans pour autant me blesser ou me faire peur. Il me donne tout sans rien demander un échange, probablement parce que lui aussi reçoit. Des jours et des jours à se priver tant que je ne saurais pas tout à son sujet. Des jours et des jours que je sais qu’il prend une douche froide le soir, lorsque son corps se mettait à désirer trop ardemment le mien. Il est assouvi, vidé d’une grande partie de son énergie lorsque nous nous retrouvons tous les deux allongés sur le lit souillé. Je me moque d’être transpirante, dans des draps qui ont subi nos ébats, je suis trop heureuse pour ça et inquiète aussi. Les images refusent de quitter mon esprit et font remonter à la surface cette panique qui m’a envahi en voyant Rafe injecter ces seringues dans son cou. J’aurais dû m’inquiéter que Micky soit possédé par l’un de ses démons, à la place j’avais peur pour lui, pour ce que ça pouvait lui faire à lui. J’admets avoir réagi un peu quart de tour ensuite mais je ne m’en excuserai pas. « River… » Je pense à peine à lui tenir tête, à lui dire de ne pas essayer de me faire changer d’avis qu’il prend déjà les devants et ajoute : « Laisse-moi au moins t’expliquer, d’accord ? » J’abandonne et me laisse un peu plus tomber sur le lit. Je lui dois bien ça et peut-être que ses explications m’aideront à comprendre. « On a tout tenté avec Rafe, quand nous étions que tous les deux, juste après ma sortie d’hôpital. (…) J’avais trouvé un équilibre, et s’il apparaissait c’était souvent sur le ring, mais ils le laissaient s’exprimer parce que c’est ce qu’on voulait…Jusqu’à…toi. (…) J’ai besoin de retrouver mon équilibre dans tout ça, de trouver comment interagir à nouveau avec toi, comment le contrôler lui…grâce à toi. (…) Tu me fais confiance hein ? » J’en viens à profondément détester ses parents à mesure qu’il parle, m’explique ce qu’il a plus ou moins vécu et la raison de la présence de ces seringues. Mon nez se fronce un peu en l’écoutant mais je n’éprouve pas de pitié parce que je sais qu’il ne me dit pas ça pour ça. Ça me fait mal au cœur, oui, mais je ne le prendrai jamais en pitié parce qu’il est fort et qu’il a enduré tout ça. Son baiser rapide chasse un peu mes pensées et je souris légèrement. « On a passé le stade où tu peux encore te poser cette question. » Son regard insiste. Je le pousse à se rallonger, passe mes jambes de chaque côté de son corps et m’assoie sur lui. « Je te fais confiance, Micky. Je n’aime quand même pas qu’ils t’injectent un tranquillisant pour te calmer, il y a forcément un autre moyen. » Je suis têtue, c’est héréditaire chez les Wayne. Ce qui ne veut pas dire que je refuse sa demande. « Si tu me promets qu’on trouvera petit à petit un autre moyen de le gérer alors d’accord, j’accepte de ne pas les assassiner quand ils devront les utiliser. » Dis-je pendant que mes mains massent ses épaules, continuent leur travail sur son torse. « Tout ce que je veux c’est le meilleur pour toi. » Pas seulement parce que j’en suis follement amoureuse, aussi parce qu’il mérite d’avoir enfin le droit au bonheur quoi qu’il en dise.
@micky baggins /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 2430122069
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#  /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 EmptyLun 29 Juin - 20:10
Je n’imagine pas non, ce qu’elle a pu ressentir hier soir. En voyant les gars agirent face à l’urgence, ils ont dégainé ce qu’ils savaient pour protéger ceux qui m’entouraient, mais pour me protéger moi aussi. Alors oui, ça a été la manière difficile et sans doute la plus brutale, mais ils n’avaient pas le choix. Je le sais, elle non. Je tente de lui expliquer pourquoi le tranquillisant a été une option qui s’était révélé et qui m’avait sauvé la vie plus d’une fois. Et même si elle n’en aura pas envie, on va devoir faire avec encore un certain temps. « On a passé le stade où tu peux encore te poser cette question » Je la dévisage : me fait-elle réellement confiance. Aveuglément ? Pour ne pas penser qu’un seul instant, je ne lui ferai plus aucun de mal. J’ai beau le vouloir de tout mon être, cette éventualité peut arriver, et c’est exactement pour ça qu’ils doivent continuer à veiller sur moi. Elle me pousse doucement, se cale sur moi et ajoute : « Je te fais confiance, Micky. Je n’aime quand même pas qu’ils t’injectent un tranquillisant pour te calmer, il y a forcément un autre moyen » Je secoue la tête doucement, en venant caresser ses cuisses et ses hanches dénudées. « J’aimerai bien, pourtant. Mais non » Peut-être elle, un jour. Peut-être qu’elle changera la donne, définitivement. Peut-être que quelque part, elle satisfera les trois et m’aidera à les canaliser. Mais pour le moment, mieux valait rester dans l’ancien fonctionnement. « Si tu me promets qu’on trouvera petit à petit un autre moyen de le gérer alors d’accord, j’accepte de ne pas les assassiner quand ils devront les utiliser » Ses mains retrouvent mon corps, me massent et je me mets à rire malgré moi avant de rajouter sérieusement : « On avisera, River. Je ne peux pas te promettre ça, mais…j’ai besoin de savoir que quelqu’un aura mes arrières, si je vrille à nouveau. Ils sont comme mes frères, eux. » Bien plus que celui qui l’est actuellement – enfin demi-frère. Mais lui, n’a jamais montré véritablement sa dévotion envers son petit frère malade. Non, Eliott et Rafael sont bien plus frères de sang que Jaxon et moi. « Tout ce que je veux c’est le meilleur pour toi » Je me penche pour déposer des petits baisers sur sa peau dénudée. Des baisers qui la font frissonner, je le sens mais ça ne m’empêche pas d’ajouter pour conclure : « Tu es le meilleur de moi-même » Ses mains se figent comme touchée en plein cœur par ce que je viens d’annoncer. Nos lèvre se cherchent à nouveau, se trouvent pour ne plus se quitter. Mais au fond, c’est ça mon bonheur. Etre aussi proche d’elle, tomber un peu plus pour elle, et ne faire qu’un. Cette femme, elle est venue dans ma vie sans crier gare, a posé ses valises, son empreinte en moi pour me dominer. Mais ça me va, parce que j’aime ce qu’elle me fait ressentir, et ce que je deviens avec elle. J’aime enfin qui je suis grâce à elle. Et ça…ouai, c’est le bonheur absolu.
THE END.
@river wayne /+18/ Even the best fall down sometimes (miver) - Page 3 4205189688
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