Je crois ne jamais m'être réveillée aussi impatiente d'aller travailler. J'adore ce que je fais chez Krayne, d'avoir la possibilité de montrer ce dont je suis capable, mais ce matin … Je sais ce qui m'attends. Levée plus tôt que prévue, je profite du temps qu'il me reste pour prendre une douche et me maquiller avant d'enfiler la robe choisie la veille. Presque sage, elle m'arrive au-dessus des genoux mais offre un magnifique décolleté qui n'est pas vulgaire pour autant. Cheveux légèrement ondulés, je les laisse tomber sur mes épaules, enfile mes escarpins à lacets et prends enfin la direction des bureaux. Évidement, j'attire les regards à peine dans les transports, mais je m'en moque. Ce n'est pas inhabituel pour moi mais il n'y a qu'une personne dont je veux attirer l'attention. Une personne déjà dans son bureau comme toujours, tandis que je m'installe au mien pour tenter de travailler. Sauf que je n'arrive à rien. Trop concentrée sur ce que je voudrais sentir sur mes jambes et plus haut, je ne suis bonne à rien. Heureusement pour moi, j'ai travaillé mes derniers dessins la veille, avant le début de nos échanges par téléphone … Assez pour avoir une excuse d'aller le voir dans son bureau. J'imprime le tout pour nous permettre de faire des annotations – même si j'espère être occupée à autre chose – et me lève en laissant claquer mes talons sur le chemin vers son bureau. Stores baissés, je ne vois rien à l'intérieur et ignore s'il est occupé lorsque je frappe à la porte que j'ouvre pour y passer la tête. « Je te dérange ? Je voudrais te montrer quelque chose. » J'attends pas qu'il m'invite à entrer, je le fais simplement et referme la porte en m'adossant à celle-ci veillant à mordre ma lèvre pour lui faire comprendre que je tiens à ce qu'il tienne parole.
I feel it coming.
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tell me what you really like. baby, i can take my time. we don't ever have to fight. just take it step-by-step @mikaëla kramers & @eli wayne
Je ne sais pas dans quoi je m’aventure vraiment. Mais une chose est certaine : je n’y arrive plus. Moi, ce putain de drogué au sexe que je suis, je n’arrive plus à lui résister. Ses assauts sont constants et si bien déterminés qu’ils me paraissent à chaque fois difficile à surmonter. Si j’arrive à résister, je suis dans un état catastrophique, condamné à me vider les couilles avec une autre. Mais ça ne marche plus, non. Je rêve d’explorer ses longues jambes, son corps nu et d’enfin goûter ses lèvres. Suis-je fou de céder ? De mettre en ligne de mir tout ce que j’ai construit avec Maksim uniquement pour des belles jambes ? Même si je suis persuadé qu’un jour je vais lui faire du mal et que cette erreur va me coûter beaucoup. Comment suis-je en arrivé là ? Avec elle surtout ? Celle que je connais depuis son plus jeune âge, la petite sœur de mon meilleur ami, bordel ? Je n’arrive pas à me concentrer sur ses dossiers. Parce que je sais qu’elle peut débarquer à tout moment et que je vais vriller à la seconde où je vais la voir. J’analyse ces budgets face à moi et ces dossiers confidentiels de la boite que Maks m’a demandé de regarder, mais je ne vois ni les chiffres, ni les lignes. Je suis dans un simple brouillard. Forcément, lorsqu’on toque enfin et que sa tête apparaît enfin dans l’ouverture, mon corps s’hérisse. Mes mains glissent le long de mes cuisses, tirant sur mon pantalon, mal à l’aise. « Je te dérange ? Je voudrais te montrer quelque chose. » Elle s’invite à l’intérieur alors que mon regard captivé par cette petite robe détaille ses longues jambes et sa poitrine impressionnante dévoilée. A-t-elle vraiment osé arriver comme ça au boulot, putain ? Tout ça pour mes jolies couilles. Elle reste adossée à la porte, attendant de savoir sur quel pied danser, avec moi. Boulot ou sexe ? Le choix est fait. « Ferme-la à clé, et viens-là. » Un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’elle s’exécute et finit par avancer, en contournant mon bureau, son dossier abandonnée sur une des chaises en face. Nos regards se croisent, plein d’envie alors que je me repousse doucement de mon bureau pour lui laisser la place. Elle l’a dit elle-même, vouloir être assise sur mon bureau. Alors en silence, j’attends qu’elle atteigne sa destination avant de craquer.
J'ai brusquement très chaud. Ses yeux se sont à peine posés sur moi que ma peau m'a donné l'impression de prendre feu. Mon rythme cardiaque s'est emballé lui aussi et je me mets instantanément à serrer les cuisses en restant appuyée contre la porte de son bureau. J'ai encore ma pochette dans les mains, devant mon ventre. Même à cette distance j'arrive à sentir l'attraction qui nous attire l'un à l'autre, celle à laquelle il tente de résister depuis le début de mon petit jeu. Mais je n'ose pas bouger tant qu'il ne m'a pas donné son accord. « Ferme-la à clé, et viens-là. » Satisfaite, je ne retiens pas mon sourire pendant que ma main tourne le verrou de la porte sans le quitter des yeux. Lentement, j'approche de son bureau, laisse tomber ma pochette sur l'un des fauteuils devant et je le contourne. Lui recule pour me laisser assez d'espace pour passer. Mon attention n'arrive pas à se détourner de ses yeux plein de désir pendant que je m'approche du bureau à reculons et utilise mes mains pour me permettre de m'installer dessus. « Salut … » Soufflé-je en passant ma langue sur mes lèvres. Ma petite culotte est en train de s'enflammer alors que je m'appuie sur les mains et me penche en avant pour lui offrir une vue parfaite sur ma poitrine.
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L’idée de la prendre sur mon bureau a émergé bien trop vite dans mon esprit. Et si j’ai tenté de résister depuis des jours hier soir, j’ai craqué en l’imaginant déjà assise, les jambes écartées. Mikaëla est devenue une belle femme, attractive et aux courbes somptueuses. Des courbes dont je n’avais pas vraiment fait attention. Mais maintenant que mes yeux sont ouverts, c’est difficile de détourner mon regard. Je la laisse s’installer sur mon bureau, ses longues jambes devant moi alors qu’elle se penche, sa poitrine révélée vers moi : « Salut… » Je feinte un sourire au coin avant d’avancer ma chaise un peu vers elle. Mon regard passe de sa poitrine à ses jambes, en face de moi où je laisse mes doigts se poser sur ses mollets dénudés. « J’ai entendu dire que… » Je remonte mes mains dans des lentes caresses ce qui, je sens, la fait frissonner. « …Tu avais quelque chose pour moi. » Elles explorent ses longues jambes, ses cuisses avant de passer légèrement sur sous sa robe, sans remonter entièrement sous son entrejambe. J’ai beaucoup de mal à donner de la tendresse lorsque je baise, et il m’arrive parfois de ne même pas embrasser celle que je suis en train de pénétrer. Mais avec Micah, je ne sais pas encore sur quel pied, je veux danser, ni sur ce qu’elle va accepter. Je préfère tâter un peu le chemin, même si rien que le contact de ses jambes me fait déjà bander comme un malade.
J'ai presque envie de balancer mes jambes dans le vide, un peu trop joyeuse que je suis. Mais je parviens à me retenir sans mal et préfère me pencher pour qu'il puisse se rincer l’œil. Non qu'il se retienne dernièrement. Et alors qu'il s'approche de moi, je me redresse lentement. « J’ai entendu dire que … » Ses mains se posent sur mes jambes et remontent avec une telle lenteur que c'est une torture. Je mords l'intérieur de ma joue pour ravaler le soupire de plaisir qui monte en moi. En revanche je frissonne sans m'en cacher. « … Tu avais quelque chose pour moi. » Je veux que ses mains aillent tellement plus haut et qu'elles fassent autre chose que saisir ma culotte. Je veux qu'elles me caressent et même qu'elles me fassent gémir. « En effet ... » Confirmé-je en relevant plus haut sur mon corps le bas de ma robe. De cette façon je peux prendre ses mains et les amener un peu plus vers la direction souhaitée. « Normalement c'était ce joli tanga en dentelle mais ... » Attrapant une de ses mains, je lui prouve ne pas avoir froid aux yeux lorsque je la glisse directement sous mon sous-vêtement. « Vu ton regard je préfère te donner ça. » Ma main reste sur la sienne. Mes joues deviennent nettement plus rouge, colorées par l'excitation qui s'empare immédiatement de moi. S'il me pensait capable de l'allumer que par messages, maintenant force lui est de remarquer que je ne plaisante pas.
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C'est vrai qu’elle a tout pour plaire. Quel homme serait assez dingue pour résister à ses avances sérieux ? Moi qui ne refuse jamais rien parce que le sexe est pour moi un besoin viscéral et un plaisir pour m’évader ? C’est le monde a l'envers. Mais j'ai sans doute trop de respect pour elle pour tout gâcher. Parce que je sais que ça arrivera et j’ai peur des dommages collatéraux à ce moment là. Mais il me suffit de la voir arriver dans cette petite robe qui révèle son corps si parfaitement pour me faire griller le cerveau. Je déconnecte tout et me concentre sur son corps qui ondule à mesure qu'il approche. Je la laisse s'installer sur mon bureau dans une vision plus que divine et ose enfin poser mes mains sur ses jambes nues. Cependant, je garde une certaine distance pour débuter. « En effet…. » Dit-elle en remontant l'ourlet de sa robe un peu plus. Je déglutine sous cette vision tout en m'humectant les lèvres. « Normalement c’était ce joli manga en dentelle mais…vu ton regard je préfère te donner ça. » Sa main audacieuse saisit la mienne, la fait glisser jusqu’à son entrejambe et nous invite sous son petit tanga. Mon regard s’électrifie et mon corps frissonne. J'ai toujours aimé les femmes entreprenantes mais la détermination de Micah aura sans doute ma peau. « T'es qu'une putain d'impatiente » Ma main quoi que bloquée finit par réagir à la moiteur que je me perçois déjà et entreprend doucement des légers mouvements. Me levant pour un meilleur confort, je m'aventure vers elle, et pique vers ses lèvres que je convoitais déjà tant. Je souffle avant la moindre jonction : « Tu me rends fou » Mes lèvres plaquées aux siennes, je la sens gémir avant d’abandonner son entrejambe et de venir plaquer ses deux mains sur mon visage. J'en veux plus, je cherche sa langue, la trouve et la taquine alors que ma main enfin solo est bien plus entreprenante. Mais, je ne la pénètre pas encore non. Je souffle entre deux baisers « Je vais pas te baiser là, Kramers. Parce que t’arriveras pas à retenir tes cris… » Je l’embrasse à nouveau, descends jusqu’à son cou alors que ma main libre s’infiltre dans son décolleté pour libérer un de ses seins. « Mais tu vas jouir…oh ma belle tu vas jouir » Je descend un peu plus, mes lèvres empoignent son téton qui pointe déjà et s'y acharne avant de finir par descendre plus bas..
« T'es qu'une putain d'impatiente » S'il savait ! Mes nuits se résument à faire des rêves érotiques dans lequel il tient le rôle principal et je me réveille en sueur et frustrée. L'impatience à mon niveau n'est qu'un doux euphémisme. Je ne passe pas mon temps à vouloir le faire céder pour rien, j'en ai envie et besoin. Les premières caresses de sa main me font immédiatement trembler, je ne veux même pas imaginer ce que le reste me fera. Suivant son mouvement des yeux lorsqu'il se redresse, je tente de ne pas avoir l'air trop sur le point de lui sauter dessus. « Tu me rends fou » Comme ça nous sommes deux ! Il ne me laisse pas le temps de répondre que ses lèvres trouvent les miennes. J'en ai rêvé de ça si souvent que je tiens à m'assurer que c'est réel en encadrant son visage de mes mains. C'est bien meilleur que tout ce que j'ai pu imaginer jusqu'à présent, plus encore en sentant sa langue se joindre à la mienne. Main toujours dans ma culotte, elle s'active et je gémis instantanément contre sa bouche. « Je vais pas te baiser là, Kramers. Parce que t’arriveras pas à retenir tes cris … Mais tu vas jouir … oh ma belle tu vas jouir » Ses propos me font frissonner, ce qui n'est rien en comparaison de ce que je ressens alors qu'il saisit mon téton entre ses lèvres. Ma tête vacille en arrière, lèvre inférieure mordue pour ravaler mon soupir. Puis il descend nettement plus bas ne laissant aucun doute sur sa prochaine destination. « Est-ce vous êtes sur le point de vous mettre à genoux devant moi, monsieur Wayne ? » Je le taquine mais m'arrête à l'instant où ses mains expertes font glisser mon tanga le long de mes jambes. Il finit dans sa poche et je ne peux que sourire en me demandant s'il ne va pas faire une collection de mes sous-vêtements. Pensée relayée loin dans mon esprit dès lors que sa tête approche dangereusement entre mes jambes.
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Je dois avouer, je fantasmais de la prendre sur cet immense bureau. Le fantasme du patron et de son employé. Même si techniquement, je l’ai déjà fait, avec elle ça a quelque chose de plus sexy. Encore plus avec l’idée qu’on puisse se faire entendre. Mais force à nous d’être silencieux pour que ce ne soit pas le cas. Enfin…surtout elle. Parce que lorsque je vais la prendre, je veux entendre ses cris sans aucune gêne. Mes lèvres parcours sa peau dénudé, son décolleté avant de s’acharner sur son sein, que je mords un peu. Puis, je descends, m’agenouille un peu tout en remontant un peu sa robe. « Est-ce que vous êtes sur le point de vous mettre à genoux devant moi, monsieur Wayne. » Je secoue la tête en souriant alors que mes mains tirent déjà sur son tanga et que j’ajoute : « Tu voulais ma langue, Kramers, il me semble. » Tanga capturé et dans ma poche arrière, je dépose quelques baisers sur ses cuisses – inédit de ma part autant de tendresse. Mais je sais quelque part que Mikaëla ne sera jamais vraiment comme les autres. Quoi qu’il se passe entre nous, quoi qu’on fasse, elle restera une prunelle que je devrais protéger. Je la force un peu plus à s’allonger sur mon bureau, un de ses jambes s’invitant sur mon épaule, son talon me rentrant presque dans le dos. Ma tête approchant de son intimité, je souffle d’abord dessus, ce qui la fait frissonner. C’est sensible, j’aime. Ramenant mes lèvres, progressivement jusqu’au centre de son entrejambe, je lui infirme avant de déposer totalement mes lèvres sur son sexe : « Interdiction de crier. T’as pas envie que je te punisse, Micah. » Je n’ai pas besoin de vérifier qu’elle a compris avant de venir lécher enfin ce qui me reviens, enfin. Son goût envahie ma bouche et me pousse à prendre un peu plus. Beaucoup plus. Si au début je commence par des légers coups de langue juste pour la titiller, je finis par la saisir pleinement de ma bouche, à mesure qu’elle se cambre et se crispe. Je sens à sa respiration qu’elle perd pieds, et à sa main dans mes cheveux qui tirent légèrement. Ce n’est qu’à ce moment précis que mon index commence à masser l’entrée de son vagin avant de venir s’y glisser doucement.
« Tu voulais ma langue, Kramers, il me semble. » Honnêtement je veux autant sa langue que le reste de son corps. Je ne serais pas contre le voir nu et sentir sa peau chaude contre la mienne. Il me fait perdre les pédales, Eli, assez pour envisager de lui donner ce que je n'ai donné à aucun autre homme avant lui. Pour aujourd'hui je vais me contenter de ce qu'il m'offre sans me plaindre, bien au contraire. Les premiers baisers qu'il pose sur mes cuisses brûlent autant qu'ils me font soupirer d'aise. Obéissante, je m'appuie sur mes coudes quand il me le demande et glisse une jambe sur son épaule. Mon corps tremble à l'idée de ce qui m'attends. « Interdiction de crier. T’as pas envie que je te punisse, Micah. » Pourquoi est-ce que, justement, l'idée m'excite autant ? Je secoue tout de même la tête puis pince fortement mes lèvres pour ravaler mes gémissements. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, tout est merveilleux. Je sens une vague de chaleur exploser en moi, une main s'agrippant à ses cheveux alors que je reste en appuie sur mon autre bras. « Eli, c'est ... » J'allais dire bon mais sentir son doigt approcher de l'entrée de mon sexe me coupe la parole. Je me tends un peu plus, tire plus sur ses cheveux et me mords la lèvre presque jusqu'au sang pour ravaler mon gémissement. C'est beaucoup trop agréable et ce qu'il fait avec sa langue va me tuer. Mais son doigt qui entre un peu plus en moi, je sens que je suis bien trop près de l'orgasme. C'est sa mission : me faire jouir et il lui arrive très bien au point que mon bassin se met en mouvement pour l'accompagner en voulant toujours plus.
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Mes lèvres sur son sexe éveillent en moi bien trop d’idées. Il y a parfois des nanas qui m’inspirent à beaucoup plus. Si certaines, je les jette une fois baisée, je sais qu’avec Micah, ce sera compliqué. Parce qu’elle semble audacieuse, persévérante, joueuse. Tout ce que j’aime chez une nana. J’aime dominer, oh putain, j’aime tout contrôler, jusqu’au sexe. Mais savoir qu’elle me tient tête me fait vriller le cerveau bien plus qu’elle n’en a conscience. Simplement parce que je sais que je la punirai ensuite. Fortement. A ma manière. Mais c’est aussi pour toutes ses raisons que j’hésitais. Elle reste trop douce pour que je vienne bousiller son monde. J’ai toujours bousillé mes relations : Qu’est-ce qui changerait avec elle ? Et la considérer comme une baise d’un soir, c’est hors de question. Parce que j’ai trop d’estime envers elle et son frère pour la jeter comme j’en ai l’habitude. Alors que faire ? Que faire quand je prends mon pied dans un simple cunni ? Tout ce que je souhaite là, c’est de l’entendre jouir de mes lèvres, sur ce putain de bureau, alors qu’elle tente de masquer ses gémissements. Ça m’excite bien trop, et je suppose que je vais devoir trouver comment me satisfaire tout seul ensuite en repensant à ce moment-précis. « Eli, c’est… » Perturbée par ce doigt qui s’incruste en elle, je masque mon sourire. Trop bon, je sais exactement ce qu’elle aurait dit. C’est ce qu’elles disent toutes. Alors, je m’acharne, suce, aspire et vient caresser l’intérieur de sa partie intime. Je sens son talon qui s’encre un peu plus dans mon épaule, et accélère un peu le mouvement en la sentant bouger pour venir à mon encontre. Je commence à l’entendre bien trop fort, et je souffle avec une telle autorité qu’elle frisonne : « Tais-toi, bordel ! » Elle en vient à mettre une main devant la bouche pour tenter de minimiser ses bruits, alors qu’un coup à la porte se fait entendre. « Monsieur Wayne ? » Ma voix excitée reprend sa voix naturelle en un clin d’œil tout en continuant à la masser de mes doigts. « Plus tard, je suis occupé. » Je cris alors que je remonte vers Micah qui semble excitée et terrorisée à la fois, pour venir l’embrasser. Je la pénètre d’un second doigt, tant je sens qu’elle est au bord du précipice. « T’es tellement sexy dans cette position » dis-je entre deux baisers. Et puis, elle vrille alors que tout son corps s’agrippe à moi, par désespoir.
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