feat. @Noa Parrish     →  On avait quitté Los Angeles pour New York le temps de quelques jours et je pouvais enfin souffler avec ma petite amie afin d’oublier tout ce qu’il se passait dans notre ville. On profitait de chaque instant pour se créer des souvenirs à deux mais également pour faire le plus de visites possible. Aujourd’hui j’avais décidé de lui faire une surprise, comme souvent, afin qu’elle en prenne plein les yeux mais surtout pour la voir émerveillée. Je la connaissais tellement bien que je savais qu’elle serait aux anges de participer à ce programme, c’est donc pour cela que j’avais demandé le petit déjeuner dans la chambre pour le prendre au lit. J’avais tout réceptionné avant d’aller dans notre chambre avant de déposer le plateau et je souriais bêtement. Elle me rendait heureux et j’étais complètement amoureux d’elle. Je la regardais dormir quelques instants avant d’aller me mettre à ses côtés pour lui déposer de tendres baisers tout en caressant sa joue. « Ma chérie… il est l’heure de se réveiller...un magnifique petit déjeuner t’attends. » dis-je en souriant et en la dévorant de bisous. Je la laissais se réveiller et pendant ce temps je déposais le plateau avant de le déguster ensemble. C’était un moment de partage malgré le fait qu’on le fasse au quotidien. « Je nous ai prévu un programme de fou, je sais que tout va te plaire et j’ai hâte qu’on quitte notre suite alors..déguste bien ce petit-déjeuner. » Je souriais en coin tout en croquant dans une pâtisserie digne de NYC...donc pas la meilleure du Monde mais ça passait pour ce matin. Au fond de moi je rêvais déjà d’un gros burger bien gras pour ce midi et j’en salivais rien que d’y penser.
Après avoir pris le petit déjeuner j’avais débarré la chambre avant d’aller dans la salle de bain pour aller m’habiller pour cette merveilleuse journée qui nous attendait. Quelques minutes plus tard je me dirigeais vers ma petite amie en souriant. « Tu es magnifique comme ça mais..n’oublie pas de mettre un pull car je ne veux pas que les autres se rince l’oeil sur toi. » dis-je doucement avant de rire car si ça ne tenait qu’à moi elle resterait nue (ou presque) à longueur de temps. Enfin on était pas à NYC pour ça mais bel et bien pour profiter de la ville et de toutes ses merveilles. « N’oublie pas ton bonnet car tu vas avoir froid sinon. » Bref j’étais prêt pour aller à Rockefeller Center pour faire du patin à glace et contempler ce gigantesque sapin.

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feat. Elio     → J'avais toujours adoré la vie à Los Angeles mais je devais bien reconnaître que ces derniers temps, c'était devenu presque angoissant. Depuis qu'un criminel rodait dans les rues, je ne m'y sentais plus en sécurité sans Elio. Je détestais ce sentiment d'insécurité et lorsque mon petit ami m'avait parlé de faire une virée à New-York, j'avais plus que sauté de joie. Je n'avais jamais quitté la ville avant de le rencontrer et désormais je pouvais dire que j'avais été à San Francisco puis à New-York. C'était complètement fou mais j'adorais ça. En réalité, vivre toutes ces aventures avec Elio donnait un goût particulier à tout ça, un goût encore plus appréciable. Après un voyage de quelques heures, nous étions arrivés et nous nous étions rendus à l'hôtel au vu de l'heure assez tardive. J'avais dormi comme un bébé, me perdant par moment dans cet énorme lit, sûrement deux fois plus grand que celui que nous avions à la maison. « Mmm... » gémis-je doucement en m'étirant avant de légèrement rire en sentant ses baisers. Je me réveillais donc doucement et m'asseyais en voyant le joli petit-déjeuner qui m'attendait. Je n'avais jamais vécu ça auparavant et je commençais à m'y habituer. « J'en suis sure aussi. Merci beaucoup pour le petit-déjeuner. » dis-je en souriant avant d'attraper un croissant que je croquais. Après un repas parfait, j'avais filé sous la douche et je m'étais habillée en conséquence. Clairement, le temps ici était bien plus froid que sur la côté Ouest, j'avais donc laissé les robes à bretelles au placard. « Tu veux que je me cache alors ? C'est hors de question ! » En réalité que je mette un pull ou pas, ça ne changeait pas grand chose, si les hommes ne savaient pas se tenir, ce n'était pas mon problème. J'avais tout de même enfilé un pull simplement pour ne pas avoir froid. « Entre mon manteau et mon écharpe, je défie quiconque de voir quoi que ce soit. » plaisantais-je. « Oui j'ai tout prévu. » J'enfonçais mon bonnet sur ma tête et je sortais de la suite, prête à arpenter les rues de la ville et à en prendre plein les yeux. Je prenais sa main et on descendait prendre le taxi qui nous rapprochait du centre névralgique et décoré.

@Elio Camilleri

feat. @Noa Parrish     → Je voulais que ce voyage à New York reste gravé à tout jamais dans la tête de ma petite amie et également de mon côté car j’aimais partager autant de moments avec elle. J’étais réellement épanouie et heureux depuis qu’elle était entrée dans ma vie mais surtout depuis ce jour où nous nous étions donné une chance. Elle me rendait meilleur de jour en jour, pour mon plus grand bonheur. Ce matin j’avais hâte qu’elle se réveille pour qu’on puisse enfin profiter de cette journée mais surtout du programme que je nous avais concocté sur mesure. Tout allait être parfait même si je n’allais pas cracher le morceau sur cette surprise. Je lui déposais plusieurs baisers avant de sourire tendrement quand elle ouvrait, enfin, les yeux. « Je te rassure, je ne l’ai pas préparé de mes mains mais...je suis heureux de voir ta réaction. » dis-je en riant. Quand je voyais ses yeux pétiller, son sourire s’élargir je ne pouvais qu’avoir envie de continuer à avoir des petites intentions pour elle. J’adorai la rendre heureuse. Tout simplement. Elle le méritait amplement. J’arrêtais de parler avant de manger ce merveilleux petit-déjeuner tout en souriant.
Les minutes avançaient mais on avait clairement le temps pour profiter de chaque choses avant de quitter l’hôtel pour ce lieu magique… Je ne pouvais que sourire lorsque je voyais Noa se préparer pour la journée, et je l’attendais patiemment sans en perdre une seule miette. « Que tu te caches ? Non ce n’est pas ce que je veux Noa et tu le sais. Je suis jaloux mais je ne t’obligerai jamais à porter des vêtements que tu ne veux pas. » dis-je simplement avant de lui sourire. Ma chérie était une très belle femme et j’étais fier de l’avoir dans ma vie, et je n’étais pas du tout pour la cacher bien au contraire. « Tu es très jolie comme ça mais il me tarde de rentrer ce soir pour tout te retirer. » riais-je doucement avant d’aller lui déposer un tendre baiser. Noa était mienne et elle le restera à tout jamais...ça j’en étais sur au plus profond de moi. Cependant pour le moment je préférais garder ça pour moi d’autant plus que je n’avais pas encore passé le stade du ‘je t’aime’. On quittait notre suite pour aller dans le taxi et je souriais, impatient qu’elle découvre le lieu dans lequel nous allions. Quelques longues minutes plus tard on arrivait enfin à destination et je lui ouvrai la porte, après avoir payé le taxi, et je gardais sa main dans la mienne tour en souriant. « Bienvenue à Rockefeller Center. » La connaissant je savais qu’elle connaissait ce lieu, de nom, et qu’elle savait très bien ce qui l’attendait. « Tu es prête à affronter cette magnifique journée ? »

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feat. Elio     → « Ça me va quand même. » dis-je en souriant alors qu'il aurait fallu être extrêmement exigeante pour ne pas apprécier l'attention et le petit-déjeuner plus que complet qu'il m'offrait. Je n'avais jamais dormi dans un palace comme celui là et depuis que j'étais avec Elio, je découvrais de plus en plus, un mode de vie que j'avais toujours désiré sans jamais y avoir accès. On profitait de ce moment et je prenais mon temps, m'enroulant une dernière fois dans les draps, admirant la vue sur les buildings. Tout était parfait, presque trop, à l'image des films de noël que l'on voyait passer pendant la période des fêtes. « Tu n'as pas à l'être, pas à cause de mes tenues en tout cas. » Je ne voulais pas qu'il pense que sous peine que je m'habillais sexy, je voulais séduire. Ce n'était pas le cas, je portais ce que j'aimais pour moi-même avant toute autre chose. D'ailleurs, Elio me connaissait assez pour savoir que je n'allais pas me laisser dicter ma conduite que ce soit par lui ou quelqu'un d'autre. Je n'avais pas mal pris sa réflexion mais ce n'était pas non plus le genre d'échange que j'appréciais. « Prend ton mal en patience. » le taquinais-je avant de lui voler un baiser et de sortir de la chambre. Nous étions prêts à affronter le froid New-Yorkais mais aussi à profiter de tout ce que la grosse pomme pouvait nous offrir. Tout était si bien décoré et l'ambiance était à l'opposé de celle de Los Angeles. Je prenais quelques photos, bien installée dans le taxi et je souriais à mon petit ami avant de descendre au bout d'une dizaine de minutes. « Wahou c'est magnifique ! » dis-je en admirant le building mais aussi l'énorme sapin qui surplombait la patinoire. « Ils ne font pas les choses à moitié les New-Yorkais. » riais-je, toute excitée. « Je ne sais pas si affronter est le terme adéquate mais je suis prête à la vivre à 2000% ! » Je prenais sa main avant de l'emmener vers le sapin qui était le plus grand arbre que j'avais vu de ma vie. Je n'étais pas la seule à être épatée, des tonnes de touristes l'étaient aussi, prenant des photos de tous les angles. « On va faire du patin ? » demandais-je en sautillant presque sur place. Je venais d'un pays chaud mais j'avais appris avec le temps à m'adapter aux sports plus hivernaux même si ce n'était pas vraiment utile sur la côte Ouest.

@Elio Camilleri

feat. @Noa Parrish     → J’avais essayé de ne pas prendre la suite la plus luxueuse de l’hôtel mais je n’avais pas non plus réussi à prendre la plus petite chambre..impossible pour moi, j’avais une fierté mais surtout un mode de vie de luxe et je ne pouvais pas faire semblant. Cela m’était impossible et je savais que ça plaisait à Noa même si elle pouvait être un peu mal à l‘aise de temps en temps. Ce matin on avait pris le temps de se retrouver mais également de prendre soin de nous afin de profiter au maximum de notre journée New Yorkaise. J’avais prévu beaucoup de choses et connaissant Noa elle allait ressentir beaucoup d’émotions même si elle ne me les montreras pas forcément. « Je te fais confiance depuis notre rencontre alors n’aie craintes ma chérie, tu peux t’habiller comme tu le veux. » Je l’avais connu dans son lieu de travail et je savais très bien comment elle agissait quand elle voulait plaire...jusqu’à présent elle ne l’avait plus refait et ce pour mon plus grand bonheur. La voir aussi comblée me rassurait car c’était signe qu’elle était bien avec moi et que je lui suffisait, tout ça me rassurait. « Je trouve que je le prends un peu trop en patience...» dis-je avant de rire. J’avais du mal à retenir mes pulsions face à ma petite amie mais c’était aussi la preuve que je la désirais et que je l’a trouvais plus que sexy. Bref j’allais devoir patienter quelques heures avant de laisser nos deux corps se retrouver. L’attente, pour une fois, n’allait pas être trop longue puisque notre journée était bien remplie. Durant le trajet en taxi je profitais d’un peu de calme pour la câliner tendrement tout en la laissant découvrir le paysage. J’étais déjà venu à NYC mais pour des rendez-vous professionnels donc je n’avais pas encore eu l’opportunité de visiter cette ville. Je souriais de toutes mes dents en l’a voyant aussi heureuse et j’en prenais, moi aussi, plein les yeux. « Oh non tout est dans l’excès...» Un peu comme moi, donc au final je pourrai me sentir à ma place ici mais ce n’est pas dans mes plans puisque LA me convient parfaitement..surtout depuis que j’ai trouvé ma brune. « Il va falloir profiter au maximum car c’est magique..» Surtout qu’on avait un peu de chance étant donné que le ciel était nuageux et prêt à laisser tomber quelques flocons. Au fond de moi j’espérais que la neige tombe lors de notre activité patinage mais également lorsqu’on ira contempler le sapin de noël. On venait de sortir du taxi et on se dirigeait vers le sapin, sourire aux lèvres, puis je la regardais en hochant la tête. « Oui. Je ne sais pas si tu sais patiner mais on ne pouvait pas venir ici sans le faire..» dis-je en riant avant de la prendre contre moi et je lui volais un baiser. « Allez allons y ! » Il était temps qu’on débute cette activité car j’étais comme un enfant la veille de noël...surexcité !

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feat. Elio     → J'aimais séduire c'était un fait mais depuis que j'étais en couple avec Elio, je n'avais pas trouvé utile de séduire quelqu'un d'autre que lui. Je n'avais jamais voulu être en couple par la passé et c'était un choix mûrement réfléchi parce que je me savais inapte à une certaine stabilité. Désormais, c'était différent et je me faisais un devoir de respecter cette relation et mon petit-ami. Nous nous étions mis ensemble en toute connaissance de cause et je ne voyais pas l’intérêt, pour lui comme pour moi, de tout envoyer valser pour un flirt stupide. Je me sentais bien à ses côtés et c'était tout ce qui importait à mon sens. Je lui souriais et approuvais de la tête pour toute réponse. Il était évident que je ne laissais personne choisir mes tenues et qu'avec tout le respect que je lui devais, je ne lui demandais pas d'approuver sauf quand je voulais le séduire davantage. « Sans doute mais tu peux craquer quand tu veux. » plaisantais-je en lui offrant un regard qui en disait long. Je le suivais vers le taxi et prenais le temps d'admirer ce que je découvrais. J'en prenais clairement plein les yeux et je ne savais pas vraiment ce que j'avais fait de bien dans ma vie pour mériter tout ça. Elio était vraiment un ange et il ne m'apportait que du positif et je ne comptais pas que les choses matérielles. Sans lui, je ne savais pas ou je serai aujourd'hui, surtout pas après les incendies. « Oui tout est fois 1000... » dis-je sans en perdre toutefois une miette. « Je profite de tout jusqu'à épuisement, tu le sais. » Je riais légèrement parce que c'était réellement le cas. J'aimais profiter de la vie, tout donner quitte à ne pas beaucoup dormir ou ne pas avoir de temps off. Comme ma grand-mère le disait, j'allais avoir le temps de dormir une fois dans ma tombe. « J'en ai jamais fait mais j'ai toujours voulu en faire, je suis sure que je peux tenir sans tomber ! » J'étais plutôt habile alors j'avais bon espoir. Je prolongeais son baiser avant de le suivre vers le stand des patins. On prenait nos pointues, laissant nos chaussures à la place et je me remerciais d'avoir penser à prendre des chaussettes ultra épaisses. Je prenais sa main pour descendre sur la glace et je riais alors que la sensation de glisse était impressionnante. « T'as pas le droit de me lâcher ! » dis-je en souriant en serrant mes mains dans les siennes. Je ne pouvais pas aller jusqu'à dire qu'il avait ma vie entre ses mains mais je n'étais pas loin.

@Elio Camilleri

feat. @Noa Parrish     → Je souriais en coin en entendant ma petite amie me lancer un petit sous-entendu et je levais les yeux au ciel avant d’aller dans le taxi. On avait pas le temps pour faire quoique ce soit maintenant mais je rattraperai le temps perdu lorsqu’on reviendrait dans cette suite. Il me tardait de la retrouver cette nuit mais en attendant j’allais profiter de chaque instant à NYC. Je regardais par la fenêtre avant d’arriver vers la destination surprise pour mademoiselle. Je sortais du taxi avant de prendre sa main tout en regardant ce sapin que j’avais vu des milliers de fois à la télévision..notamment dans les films de noël que ma sœur me forçait à regarder à chaque fin d’année. Je tournais mon regard vers ma petite amie lorsqu’elle vit la patinoire en plein air et je souriais à nouveau. « Le sapin de noël New Yorkais nous attendra. » Je prolongeais son baiser avant d’aller chercher nos patins et je me chaussais avant de l’aider tout en lui tendant ma main. « Tu devrais prendre cette paire de chaussettes car sinon tu vas avoir mal au pieds. » J’avais pris les affaires sans qu’elle ne le voit afin de garder la surprise jusqu’au dernier moment. Après avoir pris le temps de se chausser on descendait jusqu’à la patinoire et je prenais sa main, avant d’entrer en premier sur la glace. J’adorai patiner et j’étais plutôt doué pour ça donc j’allais pouvoir lui montrer mon savoir faire tout en l’aidant à patiner sans avoir trop de peur. « Promis je ne te lâche pas, fais moi confiance. » Elle ne semblait pas très sure d’elle mais c’était juste le temps de quelques minutes puisqu’elle allait avoir de plus en plus confiance et elle arrivera à patiner seule. Je la laissais venir sur la glace et je souriais tout en commençant à patiner. « Comme si tu faisais du roller et quand tu veux t’arrêter...fonce dans une rambarde! » dis-je avant de rire. Ce n’était pas le meilleur conseil que je venais de lui donner mais je voulais qu’elle rigole afin de relâcher cette pression. « En plus on patine avec une chorale non loin, que demander de plus ? » dis-je tout en continuant de patiner sur la glace et je profitais de chaque instant tout en prenant soin de ma petite amie. Je ne voulais pas qu’elle ait peur, qu’elle décide de ne plus patiner… quelques secondes plus tard je m’arrêtais pour la prendre tout contre moi et je l’embrassais tendrement. « Hum, je suis sûre que tu n’avais pas vu ce gui..» dis-je avant de lever un peu la tête pour qu’elle le voit. Je ne cherchais pas d’excuses pour l’embrasser mais c’était l’occasion idéale que de le faire sous ce gui. J’aimais les traditions et elle le découvrait de plus en plus. « Et après cette séance de patin, je t’offrirai un petit goûter avec pourquoi pas du pain d’épice et un chocolat chaud. » Bienvenue dans l’ambiance de noël, la fête que je préférais le plus durant l’année. Un jour je pourrai fêter tout ça avec ma propre famille et au fond de moi il me tarde de pouvoir le faire mais je préfère garder tout ça pour moi. Noa et moi sommes en couple depuis trop peu de temps pour parler enfants. Nous ne sommes pas encore prêts. Bref. Je prend sa main pour recommencer à patiner et je souriais, bêtement, heureux d’être ici et surtout avec ma petite amie. « Alors comment tu te sens sur les patins ? » En espérant qu’elle soit plus à l’aise maintenant.

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feat. Elio     → Je souriais alors que découvrir New-York à cette saison était juste magique. Il n'y avait pas d'autres mots. Certes, le froid était intense et nous n'y étions pas spécialement habitués mais avec de bons manteaux et de bonnes chaussures chaudes, rien n'était insurmontable. Je me fichais pas mal du climat, j'étais de nature à tout supporter, même le vent glacial qui déboulait des grandes artères de la ville. Peut-être que sans m'en rendre compte, le fait d'être avec Elio adoucissait tout. C'était une possibilité. « Vu la hauteur, on ne peut pas le rater ! » Et ce même si on allait pas tout de suite en dessous. On prenait les patins et je prenais les chaussette qu'il me tendait. « Mal aux pieds ? J'aurais dit froid mais je te crois, c'est toi le pro de la glisse ! » dis-je amusée avant d'enfiler le tout. Je n'étais pas très hardie mais j'étais souple, ça aidait un minimum à tenir sur la glace. Malgré tout, je ne voulais pas le lâcher et au fond, ça nous permettait de profiter ensemble en nous créant davantage de souvenirs. Nous en avions accumulé pas mal ces derniers mois et ils étaient tous merveilleux... Je n'étais pas de nature fleur bleue mais je savais reconnaître quand ce que je vivais était dingue. « Je te fais confiance. » dis-je en souriant, serrant mes mains dans les siennes. « Quelle astuce ! » riais-je quand il me signifiait que je devais foncer dans la rambarde pour m'arrêter. Évidemment, je savais qu'il plaisantait même si je voyais que c'était réellement la façon de faire de certains patineurs autour de nous. « Tu vas me chanter des chants de noël ? » plaisantais-je avant de chantonner une chanson bien connue de la non moins célèbre, Mariah Carey. Je me laissais approcher de son corps et je souriais en prolongeant son baiser avant de relever les yeux au dessus de nous. « Monsieur Camilleri, vous êtes sacrément romantique. » Et ce n'était pas pour me déplaire, au contraire. Il mettait sans le vouloir, ou presque, les petits plats dans les grands m'emmenant sur un terrain que je n'avais jamais connu... L'amour, le vrai. « Avec plaisir, tu sais comment me parler... » L'appel du ventre était plus fort que tout. Je continuais de patiner en tenant sa main et j'en prenais plein la vue. « Bien, je commence à avoir le truc je crois... mais le plus fou c'est que je patine à New-York ! J'y crois pas ! » Je riais doucement avant de sourire, sans cesser d'avoir des étoiles dans les yeux. Tout était si parfait que je me demandais si je ne rêvais pas tout ça depuis toujours. Si tel était le cas, le réveil allait être rude. « Tu en as fait souvent du patin ? Tu te débrouilles bien ! » Et heureusement parce que grâce à lui, je tenais debout et je commençais à devenir pas trop mauvaise.

@Elio Camilleri

feat. @Noa Parrish     → Je voulais rendre Noa heureuse et je savais qu’elle rêvait de NYC, c’était pour cette raison que j’avais accepté de lui préparer un voyage dans cette grande ville. J’étais donc très heureux de voir à quel point elle était émerveillée par toutes ses belles choses. « Non mais on va devoir aller faire des photos après notre session patin. » dis-je avant de sourire car je ne me voyais pas quitter ce lieu sans faire des photos seul, la prendre en photo ou tout simplement nous prendre en photos afin de nous créer des souvenirs physiques. J’adorai prendre plein de photos, en réalité je prenais des photos de tout et de rien mais c’était ma manière de faire pour éviter d’oublier toutes les choses que j’avais pu faire. J’étais chanceux de vivre ma vie de cette manière donc c’était à moi de tout faire pour ne pas que j’oublie ce que j’avais visité. « Les patins ne sont pas toujours très confortables. » Tout dépend de la forme de son pied, mais heureusement pour moi j’avais des pieds dans la norme donc aucune douleur lorsque je patinais sur la glace. Je n’en faisais pas tous les jours mais j’adorai faire des matchs de hockey quand j’en avais envie, donc j’étais assez à l’aise sur la glace...elle allait très rapidement le remarquer. Avant qu’elle ne vienne sur la glace, je lui prenais ses mains pour l’aider à prendre confiance en elle afin qu’elle n’est pas peur de patiner...seule. « Tu sais des fois je le fais et ça me fait rire. » Oui il m’arrivait de foncer dans les rambardes pour m’arrêter, surtout quand j’avais trop de vitesse et peu de place pour freiner. C’était une astuce comme les autres et je n’avais pas honte de lui partager. Au contraire, il suffisait de regarder autour de nous pour voir que beaucoup de personnes l’avaient et l’exécutais. Finalement, elle se fondrait parfaitement dans le paysage. « Si tu veux un séjour ensoleillé, vaut mieux que je ne chante pas. » riais-je avant de lui faire un clin d’oeil. J’avais des talents mais le chant n’en faisait pas du tout partie, et je l’assumais totalement. D’ailleurs je ne savais même pas si quelqu’un aimait et savait chanter dans ma famille. « Il m’arrive de l’être pour te surprendre ma très chère petite amie. » Je la gardais contre moi avant de lui déposer un nouveau baiser sur le gui. J’adorai la voir sourire comme elle le faisait et j’étais fier d’avoir agi ainsi avec. « C’est totalement fou de se dire qu’on patine ici mais il faut en profiter et on reviendra le faire sans soucis. » J’étais loin d’être contre l’idée de revenir ici pour passer un bon moment mais surtout pour s’imprégner de l’atmosphère de noël qui régnait ici. « Oui j’ai déjà patiner et je fais, de temps en temps, des matchs de hockey entre amis donc je suis assez brute sur la glace. » et non délicat comme toutes les femmes qui essayaient de patiner sur cette glace. J’étais un homme, le vrai et sans hésitation.

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feat. Elio     → « C'est évident, on ne peut pas partir sans avoir LA photo près du sapin ! » En cette période de fêtes, le sapin du Rockfeller était presque plus connu que le reste des attractions touristiques de la ville. On était donc obligés d'y faire un tour et surtout d'immortaliser notre passage ici. Évidemment, je n'avais pas eu besoin d'attendre d'être de sortie pour ça, j'avais pris tout ce que je pouvais depuis que j'avais posé un pied ici, de la chambre d'hôtel à la bouteille d'eau offerte dans la chambre, c'était pour dire. « D'accord ! » répondis-je simplement en fronçant légèrement le nez à l'idée de ne pas me sentir bien dans les patins. Heureusement, je prenais ma pointure et avec les chaussettes d'Elio, je n'avais ni mal ni de quelconque soucis. Je n'étais pas une professionnelle de la patinoire mais j'allais tout faire pour passer un agréable moment, c'était le but autant pour lui que pour moi après tout. « Et tu ne te fais jamais mal ? »  J'étais intriguée et je sursautais presque en entendant quelqu'un se jeter contre le bord avant d'éclater de rire. Je ne voyais pas bien ce qu'il y avait de fun là dedans mais je n'étais peut-être pas assez entraînée pour le comprendre. « Moi qui pensais que tu savais tout faire, quelle déception ! » le taquinais-je en référence aux chants de noël. « Je vois ça oui, ça ne me déplaît pas. »  Je souriais de plus belle et continuais d'avancer en patinant. C'était assez fluide et j'arrivais à me caler sur le rythme de mon petit ami avant qu'il ne nous arrête sous un gui. « Je crois que New-York n'est jamais aussi belle qu'à cette période. » Du moins, c'était ce que je pensais, je ne l'avais pas vu aux autres saisons mais difficile de faire mieux que cette période magique. Je n'étais pas une grande amoureuse de noël, mais j'appréciais l'ambiance qui régnait et les souvenirs de mon enfance me faisait chérir de retrouver mes proches, surtout ma maman, pendant ce mois hivernal. « En même temps, le hockey c'est un sport brutal, tu n'as pas trop le choix. » Il fallait voir les matchs de professionnels, ces mecs étaient tarés et parfois pire qu'au rugby. On continuait à avancer et je gardais sa main comme point de stabilité même si je commençais à prendre mes aises. « Un chocolat chaud te tente après ? » Il y avait des tonnes de cabanes qui nous entourait, nous n'allions pas avoir de mal à trouver une boisson chaude que ce soit un chocolat ou tout autre chose d'ailleurs. On profitait encore quelques longues minutes et je riais alors qu'on accélérait pour augmenter notre niveau d'adrénaline et tenter de voir si j'étais aussi douée que lui sur mes deux pieds. Je ne me débrouillais pas mal et je prenais la technique au fils des minutes. Nous allions revenir par ici avant notre départ, dans les prochains jours, c'était évident.

@Elio Camilleri