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 sadness is the reality ((arver#3))

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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyLun 22 Aoû - 23:04
Le téléphone entre les mains, tu venais de recevoir le dernier message de ton mari… tu lui manquais, lui aussi te manquait terriblement, mais ton cœur était meurtri, tu ne voulais pas le laisser revenir comme si de rien était. Tu avais encore mal de ce qu’il t’avait dit sans s’en rendre compte, ou peut-être qu’il l’avait voulu sur le moment parce qu’il ne réfléchissait jamais avant de dire quelque chose dans sa colère… tu l’aimais ton River comme il était, mais tu n’aurais jamais cru qu’il finirait par être celui qui allait mettre tes traumatismes sur le devant de la scène. Tu ne devais pas céder, pas tout de suite, pas maintenant, parce qu’il ne méritait pas que tu cèdes dans une situation qu’il avait lui-même créer sous prétexte que tu voulais ta propre famille et qu’il n’avait pas l’intention de t’avouer que ce n’était pas dans ses projets…
Ton cœur venait de se serrer d’un seul coup en pensant à ça, alors que le pinceau que tu avais entre les mains n’avait plus le courage d’exprimer ce dont tu avais envie sur cette toile à moitié travaillé. Tu pouvais faire quelques sacrifices pour River, après tout il en faisait tous les jours avant que tout n’éclate entre vous et que tu ne finisses par devenir taré en lui racontant tout ce que tu avais vécu d’un seul coup sans réfléchir. Mais ça… ce rêve depuis que tu étais gamin… tu ne savais pas si tu étais capable de tirer un trait dessus de manière définitif pour le bonheur de ton mari… tu avais toujours voulu avoir ton propre enfant, mais tu voulais aussi River… tu laissais échapper un soupir sur le coup avant de poser ton pinceau une bonne fois pour toute. Tu les avais senti de nouveaux, les larmes qui ne faisaient que de couler en ce moment comme si c’était la seule chose qui pouvait te faire comprendre que tu étais encore dans cette situation infernale. Tu n’étais plus le gamin, le jeune homme qui avait confiance en lui, qui s’habillait et se maquillait comme il le souhaitait. Est-ce que tu avais récupéré le corps qu’on t’avait volé ? Maintenant que tu avais eu les réflexions de ton mari en pleine figure, tu te rendais compte que ce n’était qu’une simple illusion, que tu n’avais pas le contrôle de ton corps même depuis que tu avais commencé à te laisser porter par tes envies. Tu avais lâché tes vêtements extravagants pour des jeans délavés parfois trop grands pour toi et les sweats de River que tu piquais, eux aussi trop grands pour toi. Tu attrapais le bout de la manche entre tes doigts pour essayer de calmer la crise d’angoisse qui était en train de monter, mais rien à faire, ton cœur était en train de se serrer, ta poitrine devenait aussi compressée qu’elle ne l’était déjà et tes jambes finissaient par flancher alors que tu avais tenté de te lever pour essayer de respirer un bon coup. Tu serrais doucement tes mains contre le sol après être tombé, la tête baissée, les lèvres pincés. Tu n’en pouvais plus Ares. « Fait chier. Fait chier. Fait chier ! », pourquoi ses gens avaient fait ça ? Pourquoi River t’avait fait ça alors qu’il était le plus doux des hommes ? Tu n’en avais aucune idée. Mais la réalité était maintenant présente.

@River Dawson
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyMar 23 Aoû - 22:18
Depuis que t’as joué au con, t’es plus que l’ombre de toi-même. T’as cette sale impression qu’ares te déteste, et le pire c’est que tu lui en veut même pas, il à toutes les raisons de ne pas t’adresser la parole, et tu lui en veux même pas. T’as eu le temps de réfléchir à la portée de tes actes, au poids de tes paroles, et dans cette histoire, c’est toi le seul connard. C’est toi qui à abusé de la confiance de ton mari, la seule personne au monde que tu ne devais pas trahir. T’as eu le temps de pleurer, le genre de pleurs qui s’arrête seulement quand tu t’endors. Partager votre maison avec un fantôme, c’est pas plaisant, et t’as eu envie d’aller le voir toutes les heures, mais t’as bien compris qu’il avait besoin de temps et que le frustrer ne serviraient à rien. Alors t’as accepté, et t’as fais profil bas. T’as quand même eu quelques intentions, tu voulais pas qu’il croit que tu t’en foutais. T’as commandé ses plat préférés, ta changé sa palette et ses toiles sans rien demander en retour. T’espère juste le croiser dans un couloir, alors tu erres, tu prend ton temps quand tu va d’une pièce à l’autre, pour avoir peut-être la chance de le voir, ne serait-ce qu’une seconde. Les mains dans les poches, tu passes devant ton atelier, c’est la pièce dans la quelle il passe le plus clair de son temps, enfermé, alors tu sais que potentiellement, tu le verra. La maison est silencieuse, t’es devant la porte, à attende comme un gosse. Tu t’es déjà entrainé à paraitre surpris de le voir ici. T’as envie d’ouvrir la porte, t’hésites, t’avances ta main mais tu la recule aussitôt. Prêt à repartir dans la chambre d’ami, t’entend du bruit de l’autre côté, alors tu tend l’oreille. T’entend ares, et tu le connais trop bien, tu reconnais la panique dans sa voix, alors tant pis si il te rejette, mais tu peux pas rester passif, alors t’ouvres la porte. Tu le voit par terre, et ça te fige juste une seconde avant que tu le rejoignes, « ares… ça va ? tu t’es fait mal ? » t’ose pas le toucher pour regarder, ni poser des questions parce que t’as l’impression que t’as rien à faire ici, que tu le dérange, pire encore ; tu veux pas qu’il revive un traumatisme par ta faute. La dernière fois, il t’a supplié pour que tu le laisse tranquille, pourquoi ça serait différent cette fois ci ?
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyMer 24 Aoû - 23:48
Tu ne pensais pas à le rechercher dans la maison, mais tu le faisais quand même dès que tu étais dans une pièce, parce que River était une partie de toi maintenant. Tu l'aimais tellement cet homme, celui qui avait mis cette bague à ton doigt, qui devait encore le faire parce que ta mère avait insisté pour être présente à une nouvelle cérémonie. Sauf que tout ça, ce n'était pas pour le moment. Tu ne savais même pas si tu serais capable de mettre ce que tu avais en tête pour ton mariage pour faire chier tes parents parce que tu n'avais pas envie de faire quelque chose de traditionnelle comme ils avaient fait, de toute manière ce n'était pas traditionnel quand ce n'était pas une relation hétéro à leurs yeux. Enfin, ils n'avaient pas dit trop de choses quand c'était avec un homme que tu étais, ils n'auraient rien à dire. Mais en attendant, ce n'était pas ce genre de pensées que tu devrais avoir. Tu devais essayer de te calmer au maximum, ne pas retomber si tu avais l'idée de te remettre sur tes pieds encore une fois. Ce que tu n'avais pas prévu, c'était d'entendre la porte de ton atelier s'ouvrit et que ton mari serait là en quelques secondes, est-ce qu'il avait entendu ta panique et avait fait aussi vite qu'il pouvait ? Tu ne pouvais pas cacher le fait que tu te sentais bien à l'idée de savoir qu'il venait dès que tu avais un problème, pas comme la plupart des personnes qui avaient utilisé ton corps. « ares… ça va ? tu t’es fait mal ? », tu levais doucement tes yeux pour regarder le jeune homme en face de toi, serrant doucement tes mains contre le sol pour continuer de te calmer. La dernière fois que tu l'avais regardé dans les yeux, tu étais en train de lui hurler tout ce que tu gardais dans ta tête, tu lui hurlais dessus de te laisser tranquille. Tu te rappelais encore l'état de la salle de bain où il était certainement parti pour se défouler après tout ça. Tu posais ton regard sur ses mains pour voir s'il y avait la trace de quelque chose, pour savoir si tu avais encore fait du mal à quelqu'un inconsciemment. Tu te pinçais les lèvres minutieusement avant de pointer du doigt sa main qui n'avait pas l'air en forme. « Tu t'es fait ça à cause de moi ? », ta voix était faible et elle pouvait parfois se casser en plein milieu des phrases que tu disais en ce moment, mais cette dernière avait été claire comme de l'eau de roche, un moyen de se descendre encore plus que tu ne le faisais déjà, tu étais en train de t'autodétruire.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyJeu 25 Aoû - 22:05
Accroupi à côté de lui, t’attend qu’il te réponde, t’es suspendu à ses lèvres et t’es surpris quand il te demande si c’est à cause de lui. T’avais presque oublié le bandage enroulé autour de tes doigts. T’avais eu besoin de défouler le soir où ares t’as hurlé dessus. Un trop plein d’émotions qui devait sortir vite de toi, et tu voulais pas qu’ares te voit dans un état pareil. La colère t’as jamais vraiment su la gérer c’est bien pout ça que t’es inscrit à la boxe et que t’y va le plus souvent possible. T’avais pas envie qu’il ai une mauvaise image de toi. Tu regardes ta main, et tu secoues la tête, « non.. c’est à cause de… c’est seulement de ma faute. J’ai tapé contre le marbre, ça devrait se remettre vite. » t’as souvent les phalanges rouges, ça part vite en général. Tu hausses un peu les épaules, c’est vraiment pas grave, et c’est pas ton principal soucis, « c’est pas à cause de toi. » que tu précises, parce que tu connais trop bien ton mari et tu sais qu’il va sûrement s’en vouloir, à tort. Encore au sol, t’ose pas parler ou regarder si il s’est pas fait mal. Tu restes immobile, comme un gosse qu’on aurait grondé. Tu veux pas mal faire, t’en à déjà assez fait. La tête baissée, t’as envie de pleurer parce que tu t’en veux terriblement. T’essuies le coin de tes yeux, presque rageusement, « est-ce que t’es fait mal ? » tu lui demande pas si il bva bien, la réponse semble évidente. Il à l’air aussi bouleversé que toi, si ce n’est plus. Tu lèves la tête, t’ose enfin le regarder, et t’as le cœur au bord des lèvres.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptySam 27 Aoû - 18:37
Est-ce que tu avais du mal à le croire quand il te disait quelque chose ? Un peu... Tu avais peur que les choses retournent à ce moment précis où il ne faisait pas attention à ce qu'il te disait et que tu replongeais dans quelque chose que tu aurais préféré oublier. Parce que ce que tu voyais sur sa main, c'était juste après votre engueulade, ton monologue qui l'avait mis dans un état lamentable par ta faute. « non.. c’est à cause de… c’est seulement de ma faute. J’ai tapé contre le marbre, ça devrait se remettre vite. », tu te pinçais les lèvres, parce que tu savais que c'était aussi ta faute s'il avait réagi ainsi, parce que tu l'avais poussé dans cette direction et qu'il avait laissé parler sa colère ou autre pour qu'il tape contre du marbre de cette manière. « c’est pas à cause de toi. », tu baissais malgré tout la tête sur le coup, parce qu'il cherchait malgré tout à te rassurer en te disant que ce n'était pas ta faute alors que tu ne le croyais pas. « Tu as réagi ainsi suite à ce que j'ai dit... donc j'en suis quand même en partie responsable... », que tu disais avec une petite voix, comme si tu voulais parler qu'à ta propre personne, mais que ton cerveau voulait tout de même le partager aux personnes autour de toi. « est-ce que t’es fait mal ? », tu regardais alors tes mains, une par une, pour vérifier si tu t'étais fait mal quelque part. Enfin, tu avais surtout mal au cœur. « Non ça va... je me suis pas fait mal. », maintenant que tu y pensais, tu avais malgré tout mal à ton genou, sauf que tu n'avais pas envie de lui dire, pas pour qu'il t'ait encore sur les épaules à cause de tes bêtises.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptySam 27 Aoû - 22:07
Tu secoues la tête, t’aimerais qu’il comprenne. Tu t’es fais mal parce que tu sais pas gérer ta colère, ou les trop grandes émotions en général, ça n’a rien à voir avec lui. Et puis c’est toi qui à commencé à le chercher, c’est toi qui à provoquer tout ça, t’es le seul responsable. Mais tu le connais, il te croira jamais, t’aurais beau lui répéter quinze fois, il restera persuadé que c’est à cause de lui. « absolument pas. » tu tiens quand même à lui tenir tête. Tu lui demande si il s’est fait mal, tu suit ses mouvements du regard, t’ose à peine respirer. T’as peur du moindre faux pas que tu pourrais faire, tu veux pas qu’il se refermer comme une huitre et devoir tout recommencer. Tu reste silencieux, pas besoin de le presser. T’en profite pour le regarder un peu plus en détail, ce visage qui t’as tant manqué depuis quelque jours te semble marqué par la fatigue, et la tristesse aussi. T’es pas censé le voir dans cet état, tu veux pas le voir comme ça une seconde de plus, alors par lâcheté sûrement, tu détournes le regard. Tu hoches la tête, t’es pas certain qu’il dise la vérité mais t’acceptes quand même sa réponse. La tête baissée, t’es pas sûr de savoir si tu devrais le laisser seul, ou bien t’imposer et ne pas lui laisser le choix de ta présence. Tu connais ares, tu sait comment il fonctionne et ça serait pas une bonne idée qu’il se sente piégé. Et pourtant t’arrives pas à te lever, comme si t’étais encré dans le sol, comme si t’avais des boulets aux pieds. « ares je… » cette foutue boule de ciment dans le fond de ta gorge te rend incapable de dire le moindre mot, et pourtant dieu sait que t’en à des choses à lui dire. Tu déglutis, tu sens que tes yeux piquent, inutile de lutter river, tu te met à pleurer comme un bébé. « tu me manques c’est tout. Je m’en veux tellement, je suis qu’un pauvre con et je… je voulais pas te faire du mal, te rendre si triste je te jure que je voulais pas. J’ai pas réfléchis, je voulais pas tout gâcher comme je l’ai fait et je m’excuse. Je vais te laisser. » t’essuies tes larmes du revers de ta main, tu pleures pas souvent et pourtant en ce moment, c’est les chutes du niagara que tu lâches toutes les heures. Tu te relèves, prêt à le laisser tranquille.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyDim 28 Aoû - 0:04
Tu connaissais ses difficultés à contrôler ses émotions par moment, mais tu savais aussi que tu pouvais être le pire pour ce genre de moments. Alors tu ne le croyais pas quand il disait le contraire de ce que tu pensais, parce que tu avais provoqué tout ça. Tout ça parce que tu avais des rêves qui n'étaient pas en accord avec ceux de River, tout ça à cause de toi. « absolument pas. », tu te mordais les lèvres doucement, tu secouais la tête parce que tu ne le croyais toujours pas, mais tu n'allais pas en rajouter parce que tu n'avais pas la foi de te battre encore une fois avec lui. Tout était si silencieux entre vous deux, dans cette pièce où River était le premier à venir t'embêter pendant que tu peignais, mais que tu aimais ça parce que tu avais son affection avant tout. « Ares je… », tu relevais la tête pour le regarder, pour te demander ce qu'il allait te dire ou pas du tout. Tu le voulais, mais ton cœur te retenait pour que tu ne sois pas blessé à nouveau. Il n'avait pas fait ce que ses gens avaient fait à Tokyo de ton corps, mais il y avait appuyé sans ton autorisation. « Tu me manques c’est tout. Je m’en veux tellement, je suis qu’un pauvre con et je… je voulais pas te faire du mal, te rendre si triste je te jure que je voulais pas. J’ai pas réfléchi, je voulais pas tout gâcher comme je l’ai fait et je m’excuse. Je vais te laisser. », tu l'écoutais parler. Tu savais qu'il disait la vérité, surtout quand tu le voyais aussi triste et agité. Il ne voulait pas te faire de mal, il n'avait juste rien contrôlé, mais tu n'étais pas sûr de vouloir que quelqu'un te touche à nouveau, pas quand tu te rendais compte que ton corps n'était pas encore le tien. Tu te pinçais les lèvres doucement en le voyant partir avant de serrer doucement les mains, tu avais malgré tout besoin de sa présence. « Tu… tu peux rester si tu veux… je vais juste dessiner je sais pas si t'as envie de rester… y'a une chaise dans le coin, tu peux rester ici… », c'était déjà un pas vers le pardon que tu avais envie de lui accorder, pas maintenant, mais au moins tu l'avais avec toi dans une pièce. Tu te levais doucement sur tes jambes pour ne pas tomber, c'était la dernière chose que tu voulais honnêtement. Tu te mettais ensuite à nouveau sur ta chaise, devant ton tableau, le regardant pendant un instant pour essayer de trouver à nouveau l'envie et les idées.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyDim 28 Aoû - 21:27
La porte est déjà ouverte, résigné tu te vois déjà passer ta soirée enfermé dans la chambre d’ami que tu commence à détester de plus en plus. Et puis sa voix brise le silence, tu reste immobile une seconde, la main sur la poignée. Tu refermes la porte, « je reste. » évidemment que tu restes. Tu refermes la porte, et t’obéis dans la seconde. Pour une fois que tu discute pas, ares devrait en profiter. Tu veux pas perdre ce petit bout d’espoir, alors tu va t’assoir dans le coin qu’il t’as désigné en silence. Les mains sur les genoux tu dis rien, tu te fais tout petit, et surtout tu le laisses travailler. T’as pas envie de sortir ton téléphone, il manquerait plus qu’il croit que tu t’ennuie ou que tu t’intéresse pas à ce qu’il fait. Tu suis ses gestes, t’observes tout. Ares est doué, t’as toujours admiré ses dessins et ses peintures, et t’as toujours apprécié à chaque fois qu’il te présente une nouvelle œuvre. Alors qu’il te laisse rentrer dans l’intimité de sa créativité, ça te touche et ça te fait tellement plaisir. T’as l’impression que c’est un petit pas en avant pas négligeable. Tu sais qu’il t’aurais laissé partir si vraiment il ne voulait pas de toi. Tu te pinces les lèvres, t’aimes pas ce qu’il se passe entre vous, mais t’es en sursis, t’es pas en position de répliquer alors tant pis si tu dois passer ta journée dans le coin de la pièce en silence. Au moins t’es près de lui, et sa présence te calme un peu, mais t’es pas encore au top de la sérénité non plus. Quelques minutes passent, tu dis rien, tu te contente d’être là. Tu vois pas ce qu’il fait, et t’es curieux river, alors tu demandes, « qu’est ce que tu fais ? »
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyDim 28 Aoû - 23:21
Tu ne voulais pas le laisser te récupérer si facilement, surtout pas après ce qu'il avait fait. Ce n'était qu'une simple proposition que tu étais en train de lui faire, c'était son choix à présent de faire les choses bien ou de juste croire que la vie allait régler les problèmes qu'il avait mis sur le tapis. Que tu avais mis sur le tapis aussi. Toi qui avais l'intention de partir après ne pas avoir l'inspiration pour dessiner, tu te retrouvais à présent en face d'un tableau aussi vide que ton esprit. Tu laissais échapper un soupir, ne faisant pas attention à ce qu'il pouvait bien faire autour de toi. « je reste. », tu ne répondais pas, il pouvait faire ce qu'il souhaitait à ce moment-là. Néanmoins, ça te faisait du bien d'être dans une pièce avec lui, de savoir qu'il était là, de savoir qu'il était en train de te regarder en ce moment même. Tu te pinçais doucement les lèvres sur le coup, qu'est-ce que tu pouvais dessiner maintenant sur cette foutue toile qui n'avait pas donné une seule chance avant que River pose un pied dans ton atelier. Tu posais un rapide regard discret sur le jeune homme quand il était dos à toi, tu ne lui avais jamais montré les dessins et les tableaux que tu avais fait de sa personne, tu en étais fier, mais c'était aussi ton jardin secret. Tu avais envie de le dessiner à nouveau. Tu avais alors pris ton matériel d'un seul coup et tu t'étais laissé porter par les souvenirs que tu pouvais avoir en tête, les beaux souvenirs qui te réchauffaient le cœur quand tu en avais besoin, quand tu étais seul. Tu avais toujours dit que ton mari était magnifique à peindre, que ses traits étaient doux comme durs à sa manière, qu'on pouvait faire passer la personne qu'il était en vrai sur une toile comme tu étais en train de le faire. « qu’est ce que tu fais ? », tu te stoppais pendant un instant en entendant la voix du jeune homme dans son coin, posant ton regard sur ce dernier. « toi. », telle une muse que tu avais trouvé, c'était l'œuvre d'art vivante que tu voulais toujours créer à ta manière. Ton regard se posait à nouveau sur la toile que tu étais en train de faire, tu avais trouvé une accroche, à présent tu ne voulais plus partir tant que la toile n'avait pas tout ce que tu souhaitais. Tu te levais de ta chaise pour te diriger vers ton matériel, attrapant des feuilles à la couleur dorée, tu en avais besoin pour ce que tu étais en train de faire.
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#  sadness is the reality ((arver#3)) EmptyLun 29 Aoû - 0:06
Surpris, tu clignes des yeux plusieurs fois. T’aurais jamais pensé qu’il était en train de te dessiner, tu pensais plutôt que ça serait la dernière chose qu’il aurait choisi de représenter. Et pourtant. « oh. » c’est tout ce que t’arrives à lui répondre, c’est tout ce qui sort de ta bouche parce que tu t’attendais pas à cette réponse. Ça te réchauffe le cœur pendant une seconde, peut-être que finalement tout n’est pas perdu ? Tu te gratte la nuque, et tu le laisse encore une fois travailler. Tu te rend compte que t’avais jamais vraiment fait attention à la décoration de son atelier, quand t’y passe c’est juste une seconde le temps d’embêter ton amoureux et tu repars. T’avais jamais remarqué la belle lumière qui passait à travers les vitres, le nombre de palettes utilisées, de toiles terminées posées par terre. Tu soupires un peu d’aise, tu comprends pourquoi il passe tout son temps ici, et tu regrette de pas t’y être attardé plus tôt. Quand il se lève, tu retiens presque ton souffle, il est si proche de toi, ça fait si longtemps que tu fermes tes yeux pendant qu’il attrape tu ne sais quoi. T’as l’impression de ne pas l’avoir touché depuis des années, ça te frustre autant que ça te rend triste, mais encore une fois tu dis rien. « est-ce que je peux voir ? » parce que ça t’intrigue et t’es trop curieux pour ne pas demander. T’es pas certain qu’il accepte, après tout, il à déjà bien voulu de ta présence dans la pièce, c’est déjà énorme, peut-être que t’en demande un peu trop.
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