Avatar : david harbour Messages : 6561 Dollars : 50 Date d'inscription : 27/10/2019 Multicompte(s) : Aucun, je suis unique Crédits : harleystuff Débarqué.e à Los Angeles depuis : ma naissance , j'habite : à Central . On me surnomme : la Maire , j'ai : 47 ans et je suis né.e le : 22 juin . Je suis : Mariée et : Bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : Maire de Los Angeles
Il n’est déjà plus l’heure de pointe, dans le métro de Los Angeles ; les différentes lignes de la ville ne sont pas encore pour autant désertes. Si certaines personnes préfèrent toujours rester debout et jouent avec la vitesse un véritable défi d’équilibriste, il y a néanmoins la place pour tout le monde de s’assoir. Comme dans le reste de la ville, se croisent dans le métro les futurs noctambules de ceux qui rentrent, harassés, d’une journée bien chargée. Ceux qui sont venus en groupe discutent joyeusement, d’autres lisent un livre où encore écoutent de la musique, leurs casques vissés sur les oreilles. Une soirée qui ne diffère pas des autres dans un métro animé, quand soudain…
Le freinage de la rame est brutal et soudain, tout le métro s’arrête alors que toutes les lumières s’éteignent. Le métro s’est arrêté entre deux stations, laissant tous les passagers dans de profondes interrogations. Car aucun message n’est diffusé dans les haut-parleurs et personne ne semble pouvoir donner de nouvelles de la situation. Et voilà les passagers enfermés dans une rame, dans le noir… Mais qui sait pour combien de temps ?
Les explications Un métro qui tombe en panne et vous voilà bloqués dans les souterrains de Los Angeles. Le freinage a été brutal, si bien que vous avez pu être projetés et potentiellement légèrement blessés, mais il n’y a à priori aucune chute dramatique dans cet espace. Par contre, vous voilà bien enfermés dans un lieu clos, pour un temps pour le moment indéterminé.
Vous pouvez vous organiser dans le sujet de flood qui vous est réservé. Nous n’imposons aucune limite de mot, mais nous ne pouvons que vous conseiller de faire des posts courts pour que tout le monde puisse jouer !
AirPods dans les oreilles, je marche d’un pas rapide pour aller rejoindre la bouche de métro. J’ai dû laisser ma voiture au garage pour un problème de transmission. Il doit être bientôt temps de changer de voiture d’ailleurs, j’ai l’impression qu’elle ne fait que briser sans cesse. Il y a toujours un nouveau problème qui se déclare dès que j’en fais réparer un. C’est un vrai gouffre financier, je me dis qu’au moins avec une voiture neuve, je vais payer pour quelque chose qui fonctionne bien au moins. En plus, la journée de boulot a semblé durer une éternité ! Je n’avais pas le même entrain et je n’avais qu’une hâte pouvoir rentrer chez moi. En espérant qu' Alessandro soit là aussi ! Passer du temps avec lui l’autre soir m’avait donné envie de refaire ce genre de soirée !
Je descend les escaliers en catastrophe pour ne pas manquer le métro et je me précipite à l’intérieur du wagon, à bout de souffle. La main contre ma poitrine, je reprends mon souffle avant d’aller m’asseoir sur une banquette disponible. La musique joue encore dans mes écouteurs et je ferme les yeux pour souffler un peu. Toujours dans mes habits de serveuse, mon sac contenant mes autres vêtements est posé près de moi. Je tape sur ma cuisse avec mes doigts au rythme de la musique dans mes oreilles, me retenant de chantonner doucement.
Puis, sans avertissement le métro s’arrête brusquement et je me retrouve propulsé devant moi, me cognant avec un autre passager dans un tête à tête brutal. Je laisse échapper un « Aïe » Je me recule et me pose à genoux en frottant mon front. Je ne veux pas me relever trop vite par peur de l’étourdissement. Mais il fait sombre à part le murmure des gens tout semble silencieux. Je tâtonne pour toucher la personne devant moi. « Ça va je ne vous ai pas fait mal ? » Je sors mon téléphone de ma poche et j’allume la lampe de poche pour éclairer autour de moi. J’ai le temps d’apercevoir qu’il n’y a aucun réseau ! Merde… J’espère que tout vas bien aller, pour Aless aussi…
Avatar : Shay Mitchell Messages : 1371 Dollars : 0 Date d'inscription : 19/12/2020 Multicompte(s) : Aria, Octavia, Thalia, Raven, Elvire, Roméo, Magdalena, Valentina, Joao, Newt, Regina, Lysandre et Astrée Crédits : medusa Débarqué.e à Los Angeles depuis : 5 ans , j'habite : Santa Monica avec Ellyn ma femme et notre fils Liam . On me surnomme : Max , j'ai : 31 ans et je suis né.e le : 25 octobre . Je suis : mariée à Ellyn malgré les hauts et les bas et : homosexuelle . Aujourd'hui, je suis : pompier
← Maxine Davidson →
Storytime ✱ Pompier passionnée, parfois un peu trop. Elle a déjà eu plusieurs blâme a cause de son impulsivité et de sa facilité à se mettre en danger. Fille unique, trop gâtée, jalouse, possessive. Elle a faillit divorcer à cause de son caractère. Elle ne se pardonneras jamais d'avoir fait de telle crise à sa compagne, elle voit un psy à présent. Maman comblé par son petit Liam, elle a longtemps eu peur qu'il ne l'aime pas car elle ne l'a pas porté. Quand l'idée d'un petit deuxième est venu, elle a eu beaucoup de mal à tomber enceinte, elle a faillit renoncer se disant que ce n'était pas pour elle. Enceinte, Max fait encore plus attention à sa santé qu'avant, elle redoute qu'il arrive quoi que ce soit à ce bébé
Je prend rarement le métro, n'aimant que moyennement me retrouver sous terre. Mais ma moto est au garage pour quelques petites réparations, je n'avais donc pas d'autre choix pour rentrer chez moi après le service. Et la garde avait été longue. Je me posais donc sur un siège et comptais piquer une micro sieste jusqu'a mon arrêt. En fait j'hésitait encore sur où je descendait, chez moi ou bien plus loin, pour rejoindre mon autre chez moi, celui où se trouvait ma femme et mon fils. Les choses semblaient allez mieux entre Ellyn et moi mais je ne savais pas encore comment définir notre relation. Nous n'étions plus totalement en froid, il n'était même plus question de divorce, mais il y avait encore des choses à mettre au clair. J'hésite encore un peu mais mon portable s'allume, affichant le fond d'écran et ma femme qui sourit dessus. Ma décision est prise et je me lève pour me préparer à changer de station et prendre la direction de mon véritable chez moi. Je suis à peine levé que toute la lumière se coupe soudainement et le métro s'arrête tout aussi brusquement. Je suis projeté en avant et quelqu'un me percute de plein fouet. De toute évidence, ce n'est pas la seule collision qui a lieu. Je rencontre le sol brutalement et étouffe un râle. Je reprends rapidement mes esprits alors que la personne face à moi me demande si ça va. Je sens une douleur dans mon bras, celui qui a été brulé quelques mois plus tôt, dans ma cuisse aussi mais rien d'insurmontable. Je réponds donc « Je pense que ça iras et vous ? » Ma main fouille mes poches et la torche de mon portable rejoins les nombreuses autres qui s'allument un peu partout dans le wagon. Je me redresse un peu pour m'asseoir et attraper mon sac « J'ai un kit de premier secour dans mon sac » Bon ce n'est pas grand chose mais il y a de quoi parer au plus urgent si besoin et puis je doute que les secours tardent à arriver, le métro est suffisamment surveillés pour qu'un tel incident soit vite repéré. Mon regard se porte sur mon portable, en temps normal malgré l'enfouissement sous terre, il capte. Mais pas là. Je grimace un peu, ce n'est pas de bonne augure. Je ne sais pas ce qu'il se passe au dessus de nous, mais si le réseau ne revient pas, le problème est plus gros que je ne le pensais.
Murphy rentrait doucement de sa longue journée de travail. Elle n'avait pas consisté à recevoir tour à tour une ribambelle de mioche, mais aussi de s'occuper de toute la paperasse, le suivi, les résultats à examiner et tout un tas d'autres trucs de toubibs. Il rentrait chez lui, avec une grosse dose de fatigue, mais ça allait, la journée n'avait pas été désagréable. Il avait même profité d'avoir du temps libre en plus et pas trop d'urgence à gérer pour pouvoir s'occuper de tout ce qu'il ne pouvait pas faire. Bien sûr, pour certaines tâches, il avait des secrétaires pour les faire, mais il n'avait pas très envie de les exploiter, du moins, de ce qu'il pensait exploiter.
Peu importe, il était libéré. Le lendemain, il ne travaillait pas, à moins qu'on l'appelle en urgence pour du renfort. Mais en théorie, il avait la journée libre. Il resterait probablement là, à dormir une grande partie de la journée puis à rattraper son retard sur les séries et films à regarder. Une chose était certaine : il n'avait absolument pas envie de sortir. Il pourrait, il avait des tas de personnes à voir, à faire des sorties, ect... mais la vérité était... qu'il en avait simplement pas envie. Il voulait être tranquille et juste ne rien faire. Certes, il ne le faisait pas à chaque journée de congé, non, mais une fois de temps en temps, ça faisait un bien fou.
Il était actuellement parti en lecture d'un roman qui avait du mal à l'accrocher quand, soudainement, le métro s'arrêta. Il fut propulsé sur une distance assez longue, dont une barre l'avait arrêté et le mur à moitié assommé. Totalement sonné, il ne se rendit pas compte immédiatement de la gravité de la situation. Les lumières s'étaient éteinte mais il y avait encore celles de secours qui permettaient de voir un minimum. C'était pas grand chose mais au moins, Murphy distinguait les quelques silhouettes autour de lui.
Il entendit une conversation à côté de lui, et notamment une femme dire qu'elle avait avec elle un kit de secours. Encore un peu sous le choc, il se pinça pour s'assurer qu'il n'était pas dans un rêve ou quelque chose dans le genre. Les gens semblaient aussi déboussolés, à juste titre, sur ce qui venait d'arriver. Il essaya de rester un minimum conscient mais ça tambourinait dans sa tête et il voyait presque double. Un peu comme lorsqu'il était ivre, sauf que là, il n'avait pas bu une seule goutte d'alcool de la journée.
"Qu'est.. ce.. qui s'est... passé?" finit-il par demander en balbutiant comme un idiot mais sans avoir le choix non plus. Les mots sortaient de sa bouche sans vraiment réfléchir.
Ça avait été soudain. Plus encore que le café de ce matin, avalé en une traite. Plus soudain, évidemment, que la longue journée, la pile de paperasse. Quand il n'y avait pas d'intervention, c'est qu'il n'y avait pas d'événements graves, donc j'aurais pu m'en réjouir. Mais je m'étais habituée à la poussée d'adrénaline, le frisson qui fait ouvrir les yeux, qui réveille plus qu'une bonne douche froide. Sanders, un de mes collègues du SWAT, disait que l'esprit s'habituait tellement à l'action, aux bruits, aux mouvements rapides, à l'effort physique et mental, tout simplement, que lorsque nous avions une journée dans les bureaux sans agir, la douleur était semblable à celle d'un bon coup de pied entre les genoux. C'était un type plutôt cool, mais ses métaphores avaient toujours été terribles.
J'étais sortie du bureau avec mon casque sur les oreilles, le son pas trop fort pour pouvoir entendre ce qu'il se passait autour de moi, mais pas trop faibles pour ne pas pouvoir entendre ce qu'il se disait autour de moi. Je n'avais pas pris ma moto ce matin. J'avais oublié, ou peut-être était-ce la pluie, ou peut-être était-ce la flemme ? Tout ce qui comptait, c'était de rentrer, me faire un bon repas avec quelques sons de musique classique en arrière plan, avant de sortir me promener avec Stacy. Stacy, c'était la chienne de ma voisine. La sortir, c'était surtout pour ne pas rester inactive au fond de mon canapé ; après une journée aussi lente, j'avais un besoin viscéral de partir explorer les quartiers la nuit. La ville était si grande qu'on n'en voyait jamais vraiment le moindre détail, la plus petite subtilité. Comme cette tâche de peinture rose, sur le panneau métro de la sixième rue. Coup de chance, le wagon arrivait en même temps que moi, pas une seconde d'attente que j'étais déjà dedans, dressée de toute ma taille, m'étirant en bâillant, la musique dans les oreilles. Trois arrêts. Des arrivées, des départs. Une poussette, pas loin du bout de mes chaussures, femme d'une quarantaine d'années, l'air sportive et en même temps le regard agressif. Deux stations et elle disparaissait, elle et sa poussette vide. Le métro repartir de toute sa belle allure. Mon doigt tapotait sur l'écran pour pouvoir changer la musique, mais pas le temps. Le noir. Me sentir happée par le bout du wagon, me rattrapant de justesse à un des sièges escamotables. Quelques expressions de stupeur, autour. Merde. J'avais lâché mon téléphone dans le choc. Les gens autour commençaient à réaliser, vaguement. "Excusez-moi, est-ce que tout le monde va bien ? Combien sommes-nous dans ce wagon ?" Par esprit d'humanité, pour limiter les dégâts potentiels, pouvoir nous regrouper et aider ceux qui auraient pu se blesser. Et pour ne pas paraître trop égoïste avant ma seconde demande... "Est-ce que quelqu'un pourrait mettre un coup de flash vers moi ? J'ai perdu mon téléphone..." Et j'en aurais besoin si nous restions coincés trop longtemps, au moins pour essayer d'appeler quelques contacts.
Je n’ai jamais été une grande fan des transports en commun. Je n’aime pas ça, parce que c’est un horaire rigide, on ne contrôle pas les bris, ou encore l’es retard qu’ils peuvent occasionner. Je n’aime pas non plus quand il y a trop de gens lors des heures de pointes, les odeurs qui émanent de ces corps collés l’un contre l’autre. Heureusement, que ce n’est pas le cas actuellement. Par contre, on se retrouve rapidement pris au dépourvu par une panne, l’arrêt brutal m’a jeté par en avant et je suis tombé sur le sol me cognant la tête contre une autre. A part avoir l’impression d’être sonnée, je ne pense pas que j’ai d’autres blessures. Je me renseigne rapidement à la personne avec qui j’ai fait le face à face pour m’assurer qu’elle n’a rien et je soupire de soulagement à sa réponse négative. « Non ça va je n’ai rien ! » Je me redresse après avoir allumé la lampe de poche de mon téléphone et tourne la lumière vers une voix d’homme. « Je crois qu’il y a une panne, mais il n’y a pas de réseau non plus ! » Merde, ça fait chier, c’est pas le temps pour ça… Bon ce n’est jamais un bon moment pour une panne non plus ! « Je ne sais pas combien nous sommes… » J’envoie la lumière dans sa direction. En même temps je tends la main pour aider la femme avec qui j’ai fait une rencontre brutale a se relever. Je me sens perdue, j’ai peur aussi, j’ai peur qu’on reste pris dans ce wagon longtemps, on est sous terre, qu’est-ce qui se passe au-dessus. Alessandro, j’aimerais tellement qu’il soit avec moi en ce moment. « Qu’est-ce qu’on doit faire ? » Ma voix est faible… je suis loin d’être rassurée !
Accueil
Dim 6 Mar - 20:06
