Avatar : david harbour Messages : 6561 Dollars : 50 Date d'inscription : 27/10/2019 Multicompte(s) : Aucun, je suis unique Crédits : harleystuff Débarqué.e à Los Angeles depuis : ma naissance , j'habite : à Central . On me surnomme : la Maire , j'ai : 47 ans et je suis né.e le : 22 juin . Je suis : Mariée et : Bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : Maire de Los Angeles
Le L.A. Live, ou l’un des plus grands complexes de loisir de Los Angeles. Grouillant de monde principalement le jour, il peut aussi s’animer en soirée, comme c’est le cas ce soir. Soirée mondaine pour certains, événement de sponsors de laboratoires pour d’autres, il y a mille raisons de se trouver au 41e étage de ce building ce soir et, alors que les convives des différentes soirées arrivent petit à petit, les locaux se remplissent doucement de nouveau. Tous les invités ne sont pas encore arriver, mais l’on commence déjà à s’amuser, à se montrer, à se faire de nouveaux contacts. La soirée aurait dû se dérouler comme toutes les autres dans cet immense building, quand soudain…
Soudain, c’est la panne de courant, le noir totale. Les seules lumières viennent des étoiles que l’on aperçoit par les grandes baies vitrées alors qu’elles ne sont plus désormais cachées par les lumières artificielles de la ville. Ca, et les quelques spots d’issues de secours qui brillent faiblement. Heureusement qu’il y a de la nourriture et de l’eau, car qui sait quand le courant reviendra ?
Les explications Le 41e étage du L.A. Live est principalement accessible par ascenseur, mais ceux-ci se sont arrêtés à cause de la panne. Le seul moyen de redescendre ce sont les escaliers, mais qui a envie de descendre autant de marches à pied sans aucune lumière ? Vous voilà donc coincés dans cet immense building, mais au moins vous devriez avoir de quoi vous occuper.
Vous pouvez vous organiser dans le sujet de flood qui vous est réservé. Nous n’imposons aucune limite de mot, mais nous ne pouvons que vous conseiller de faire des posts courts pour que tout le monde puisse jouer !
Bon courage à vous !
Tomas Vacaresco
The Winter Puppy ★
Signe Astro : Métier : Prénom : ichi
Avatar : Sebastian Stan Messages : 3169 Dollars : 50 Date d'inscription : 05/03/2020 Multicompte(s) : Raegan, Isaiah, Abel, David, Miles, Angus, Lachlan, Elijah, Aeries Crédits : ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : mes huit ans après que mes parents ont immigré de Roumanie , j'habite : une villa à Berverly Hills depuis que mon appartement à Central s'est écroulé . On me surnomme : Tom, Tommy , j'ai : 36 ans et je suis né.e le : 16 janvier . Je suis : en couple et amoureux avec Benjamin Patterson et : pansexuel . Aujourd'hui, je suis : acteur.
you're too kind, honey
All these lights are changing, see them everywhere
In my veins like lightning, I don't even care
And the crowd is heavy, I don't wanna move
All these colours in me, but all I see is you
And nothing else matters
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Une énième soirée mondaine, un pseudo tapis rouge, un stop photographie… tout ce que Tomas pouvait détester le plus dans son métier. Il avait plus l’impression d’être un morceau de viande dont on fait la promotion pour que tout le monde l’achète. Même s’il savait qu’il n’avait pas vraiment le droit de se plaindre, parce que y a pire dans la vie… ça ne changeait qu’il faisait tout pour les éviter. Il déteste ça, ça amplifie son anxiété à une vitesse effrayante. Et aujourd’hui… Aujourd’hui Elliot avait dû littéralement le tirer de chez lui de force (pour une fois qu’il y était) et lui avait fait enfiler la première chemise et la première veste qu’il avait pu trouver dans son placard. Il était pourtant tranquille en train de s’énerver devant Elden Ring, pourquoi on vient l’emmerder avec ça ? D’une humeur particulièrement grognon, autant dire qu’il avait du prendre sur lui toute la soirée pour sourire et faire comme s’il voulait être là. Il ne comptait de toute façon par rester longtemps, juste de faire une apparition, faire du gringue à deux trois réalisateurs et puis rentrer chez lui aussi vite qu’il est arrivé.
Mais alors même qu’il voyait enfin une ouverture pour s’échapper alors qu’Elliot était déjà parti n’ayant pas pu avoir de babysitter, il se retrouva d’un coup plongé complètement dans le noir alors qu’il était déjà dans le couloir. Matraquant le bouton de l’ascenseur alors qu’il se cachait dans la foule qui l’entourait, il se rendit bien compte que ça ne servait strictement à rien. Et qui dit soirée et tapis rouge, dit… fan un peu trop « courageux » pour aller jusque monter là alors qu’ils n’ont pas le droit d’être là. Parce que Tomas ne voulant pas rester dans la foule s’était écarté. C’est là que deux adolescentes avec leur père ont profité de l’occasion pour venir le harceler de question et de demande. Il arrivait à peine à voir quelque chose avec les lumières de téléphone et ce n’était pas vraiment le moment pour ça…
Il tenta tout de même d’être gentil et de signer comme il le pouvait les cartons des gamines et d’ensuite de partir mais le père se mit à mal lui parler. A dire qu’il pourrait faire un peu plus d’effort. De quoi faire relever un sourcil à Tomas… « Monsieur, vous voyez bien que ce n’est ni le moment, ni l’endroit… Je suis désolé si vous avez attendu mais je ne peux pas rester. Vous ne devriez même pas être ici... » qu’il lui avait lâché doucement, et l’autre le choppa par le col. Tomas était encore tellement froid à l’idée de même penser à engager des gardes du corps, il commençait à comprendre pourquoi. « Monsieur, lâchez-moi, s’il vous plaît ! » qu’il demande alors en haussant légèrement la voix alors qu’il ne cherche pas à se défendre physiquement, Tomas étant incapable de violence et encore moins là. Il ne pouvait pas. Il ne comprenait même pas son agressivité ni vraiment son discours. Et ils purent entendre un grand bruit d’accident de voiture d’un coup dehors malgré qu’ils soient assez haut dans ce gratte-ciel immense… De quoi faire sursauter Tomas et tenter de s’extirper de la prise de l’autre mais il n’en était pas moins débloqué. « S’il vous plaît… laissez-moi. » qu’il demandait alors que les gamines le suppliaient presque de rester et que le père continuait d’être assez agressif… Et dire qu’il aurait pu être tranquille chez lui… Esperont que le courant revienne au plus vite.
(c) DΛNDELION
Leonor Matthews
Land of the living
Signe Astro : Métier : Prénom : Cassiopée
Avatar : Sadie Sink Messages : 615 Dollars : 187 Date d'inscription : 22/02/2022 Multicompte(s) : Aria et tous les autres... Crédits : villet-chuckie Débarqué.e à Los Angeles depuis : toujours , j'habite : un appartement dans central avec une peste comme coloc . On me surnomme : Leo , j'ai : 22 ans et je suis né.e le : 1er mai . Je suis : célibataire et : lesbienne . Aujourd'hui, je suis : en sport étude, j'aimerais devenir sportive professionnelle
Elle le retenais son directeur, celui qui était venu la voir avec un grand sourire pour lui donner une invitation a une soirée quelle ne pouvait manquer sous aucun prétexte. En réalité Monsieur venait de se débarrasser d'une chose que lui n'avait absolument pas envie de faire. Participer a cette soirée pour se faire bien voir des personnes qui finançaient leurs recherches. Gina n'aimais pas vraiment ce genre d'évènement mondain, tout ca sonnait trop faux. Mais puisqu'elle n'avait pas le choix, elle se tenait la, dans une robe que son chef lui avait offert pour l'occasion. Reg discutait de la pluie et du beau temps avec l'un de leur principaux financeurs, un type ennuyeux a mourir mais pas le choix. Elle souriait gentiment et faisait mine d'approuver tout ce que ce type pouvait lui sortir. Soudain tout s'éteignit faisant naitre un concert de cris surpris. Regina elle ne laissa rien sortir, l'obscurité elle y était habitué, c'était son élément, limite ce qu'elle préférait. Elle remarqua d'ailleurs une chose qui la fit sourire, la dans le ciel on pouvait voir les étoiles. Elle qui avait toujours été attire par le cosmos était heureuse de les voir sans avoir besoin d'un télescope pour percer la pollution lumineuse. Alors que tout autour delle des gens semblaient perdu. Regina se dirigea vers le balcon. Elle allait sortir quand elle entendit des cris dans un coin. Elle se tourna pour découvrir un homme qui en empoignait un autre lui demandant de le laisser tranquille. Ce n'était pas ses affaires pourtant Regina n'aimait pas cette scène. Aussi elle se dirigea vers eux et siffla « Je crois lavoir entendu vous dire de le lâcher ! Vous vous prenez pour qui ? » Gina avait conscience de ne pas être la personne la plus impressionnante dans cette pièce mais elle savait aussi très bien faire comprendre quand elle ne plaisantait pas. Malgré l'obscurité ambiante son regard croisa celui de l'agresseur et elle ne le quitta pas jusqu'à ce qu'il rompe le contact et lâche l'autre homme en bougonnant. Il partit suivit par des gamines que Gina n'avait même pas remarqué. Elle s'approcha de celui qui venait enfin d'être relâché « Vous allez bien? Qu'est ce qu'il avait contre vous ? »
Avatar : Charlie Hunnam. Messages : 1697 Dollars : 0 Date d'inscription : 25/08/2021 Multicompte(s) : Lyss, Cain, Grif, Navy, Tiag, Napo, Sieg, Kiss, Wolf, Ares, Cora, Tair. Crédits : Apollo. + alaska + IVY!! Débarqué.e à Los Angeles depuis : 2017, les valises sous les bras, main dans la main avec mon gamin , j'habite : 145 Sirius Avenue, un appart très lumineux et bien spacieux . On me surnomme : Zeka, Zedd, Kary, ça dépend du niveau d’intimité et d'inspiration , j'ai : 35 ans, sans même être tombé dans une fontaine de jouvence et je suis né.e le : 22/05/1987 . Je suis : marin solitaire en mers bien connues, prêt à faire naufrage pour toutes ses écumes à lui et : Alexanderosexuel, les hommes et les femmes font pâle figure si ce n'est pas lui . Aujourd'hui, je suis : à double lames, à la fois investisseur visionnaire et commercial comptable, je troque les idées contre des poignées de mains pleines de billets
son fils Archi(e)bald a maintenant 11 ans (né le 04/04/2012) $$$ enfant unique prodige au nom prodiguant multiples professeurs particuliers, Zekariah se passionne pour l’histoire, ses tourments et ses beaux moments, de la nuit des temps jusqu’aux opérations secrètes du siècle dernier $$$ dès le premier sourire du poupon, sa mère le destine à charmer tous et toutes, à obtenir ce qu’il voudra juste en parlant de sa voix grave et posée ; elle n’avait pas tort en fin de compte $$$ il a collaboré sur de nombreux projets, notamment des séries pour une célèbre plate-forme, monsieur étant un visionnaire $$$ de toutes les heures, journées, passées à l’église dans sa jeunesse, il ne garde que le goût du soleil lorsque la porte s’ouvrait enfin $$$ chez lui, tu trouveras une bibliothèque immense, large fil conducteur de –curieusement- romances de tous les âges, de la flamme des robots jusqu’aux baisers sous les saules pleureurs $$$ il parle couramment six langues : l’anglais, l’espagnol, le russe, le mandarin, le français et l’allemand $$$ si son entrée à Harvard lui a été imposée, il en ressort les yeux fatigués, le diplôme en main : il a majoré en informatique, économie mondiale, histoire soviétique, législation du marché, et, ce qui n’est pas surprenant quand on le connaît, en théâtre $$$ l’université lui a offert cauchemars au sein des nuits blanches, les cernes, et l’envie d’en découdre $$$ décousue d’ailleurs, son histoire d’amour forcée avec Christine, jeune bourgeoise qui se servira dans les comptes personnels, premières victoires professionnelles, lors du divorce $$$ heureusement, des années plus tard, Zeka a le déclic : il pioche dans les économies majestueuses qu’il lui reste et engage le meilleur avocat, récupère la garde de son fils et son honneur $$$ il déteste les chiens, leur préfère les chats, plus doux, plus délicats $$$ père lui a tôt enseigné que jamais un homme ne montre ses émotions : c’est de la faiblesse, les larmes, il faut tempêter parfois mais ne jamais pleuvoir. ça tombe bien, Zekariah a toute une collection de masques. $$$ les parents ont été quelque peu défaillants lors du divorce, le laissant seul. des années plus tard, ils lui reviennent, chèque gargantuesque en main, de quoi assurer l’avenir et les futurs projets $$$ Archibald est redevenu Archie en arrivant avec son père à Los Angeles, loin des sempiternels agacements de la famille maternelle, et il a commencé à sourire $$$ dans son tiroir, tu ne trouveras que trois objets : une bouteille de whisky, la dernière qu’il ait ouvert sans y boire plus qu’un verre, un bouquin sur deux cowboys dans les montagnes –curieux sujet-, et un couteau suisse gravé aux initiales APM, d’ivoire et d’or blanc, sans doute un cadeau perdu.
Pyramide de cocktails, lignes de couleurs et partout, partout, les différentes étincelles d'enivrement. N'importe quel autre organisateur aurait choisi une fontaine de champagne, une de ces structures de crystal pour lesquelles chaque goutte venait en rejoindre une autre, s'écoulant de verre en verre, l'équilibre parfait, symbiose de modernité et de classique, d'élégance et d'intuitif. Grand bien leur fasse. Je préférais la touche Hasley, des couleurs un peu partout, que les invités en ressortent les iris encore émerveillés. C'est comme ça qu'on se fait un nom, comme ça que la liste de contacts s'allonge, surtout ici, à Los Angeles, le rêve des fantaisistes et de tous ceux qui voulaient dévorer à pleines dents les étoiles. Il suffit de marquer les esprits.
Et dans ce domaine là au moins, j'étais le maestro. La soirée battait son plein. Grands rires en orchestre sur la musique électro. Le genre qui ferait vibrer tout l'été les plaines en contrebas de l'observatoire, quand le festival, projet secret, alliant la musique et la projection d'oeuvres inédites, viendrait colorer les collines d'un peu plus de monde que d'ordinaire. Avant ça, il fallait promouvoir. Marquer les occasions. Une soirée de plus, donc, à tenter d'inscrire dans les crânes de chacun que ce serait incontournable, inratable, immanquable, le genre de moment qu'on ne vit qu'une seule fois dans sa vie, les frissons, les émotions, tout ça mélangé dans une foule prête à vivre jusqu'au bout de la nuit les vibrations que je leur offrirais. De l'autre côté du building, dans l'une des grandes salles, c'était soirée tapis rouge, noeud papillon et flashes de paparazzi. Deux ambiances bien différentes, et pourtant nos convives respectifs mélangeaient leurs robes de haute couture aux costards un peu plus extravagants, leurs chaussures bien cirées, bien propres, aux talons vertigineux, formes originales, bec de flamant ou bien note de musique en verre. Il en fallait peu, pour soutenir un pied.
Peu également pour paniquer, puisque les hurlements, ici et ailleurs à l'étage, se firent entendre en une synchronisation quasiment parfaite. Plus d'électricité. Rien. Le noir complet, la musique qui se tait brusquement, laissant la place aux paniqués. Je me fraie un chemin le premier, adresse tape dans le dos, sourire discret -l'obscurité ne leur montrera que mes dents. "Je suis désolé, je ne sais pas ce qu'il se passe, ça doit être..." Le regard qui se perd dehors. La ville qui s'éteint à petits feux, bougie d'anniversaire écourtée. "Momentané." Je me racle la gorge. Pour marquer les esprits, cette soirée risque d'être inoubliable ! Les convives s'agglutinent déjà dans les couloirs, échangeant invectives et cris paniqués, gémissement de douleur quand on leur piétine les pieds et petits claquements de doigts pour appeler les valets -comme si ces pauvres bougres pouvaient y faire quoi que ce soit. A quelques mètres, j'entends que ça s'agite, on s'énerve. La lueur des issues de secours ne donne qu'un faible aperçu de la scène, et déjà une femme s'interpose. Une bagarre entre deux types. Mais l'un d'entre eux n'a pas l'air complètement partant. Et puis elle hausse le ton. Quelques secondes. J'avance, prêt à m'interposer aussi. Aucun besoin de repeindre les murs du Live de carmin. Mais l'assaillant relâche son attaque, et tourne les talons. Petit coup d'épaule en passant, alors que ses deux gamines ricanent. Gosses de merde. "Est-ce que tout le monde va bien ? Il faudrait libérer les couloirs !" Je donne de la voix à l'assemblée générale, subitement colonel pour répartir au mieux tout ça et éviter que ça dégénère. "Les ascenseurs sont en panne aussi, et vous ne devriez plus avoir de réseau. Je vous invite à vous servir des torches de vos téléphones portables et à regagner vos soirées. Tout va s'arranger." Quelques grognements. Quand quelqu'un s'impose, ça déplaît toujours. Mais peu à peu, le couloir se vide. De petits groupes d'irréductibles se forment, bien décidés à ne pas bouger. Tant pis pour eux. Je m'approche du duo près des ascenseurs, du type qui s'est fait agresser et de son ange gardien. Et là, stupeur. "Tomas ? Je ne vous avais pas reconnu. Votre mère est là aussi ?" Ma lubie du moment. Anastasia. Le dossier de rêve. La porte ouverte à tout. "Vous avez... Le bouton du col arraché." Je me racle la gorge. J'avais réussi à apprivoiser Ana, mais je n'avais rencontré ses enfants que très rarement, au détour d'un studio ou d'une des sorties nocturnes avec la matriarche, pour boire un verre ou faire un peu de pub. "Vous devriez aller dans la salle du bout, à droite. Il y a moins de monde. Vous, là, vous pouvez l'accompagner ?"