Le jeune homme ne creuse pas plus l'histoire d'avoir un animal, il verras les choses en temps voulu. Mais oui il y a aura surement un chien qui viendras rejoindre la famille bientôt. Enfin quand la petite seras là. Mais pour le moment ce n'est pas le sujet. La petite Juliet n'est pas encore au courant qu'il est son père alors ça vas prendre quelques temps. La conversation dérive donc, pour allez sur les projets de soirée de Joao. L'homme sent bien que celui en face de lui n'est pas un spécialiste, ce qui l'amuse un peu. Charlie lui semble bien prude. Joao lui connait par cœur les boites de LA, spécialement les boîtes gay qu'il fréquente pas mal. Il répond qu'il n'est pas très bon danseur et la réponse de Charlie l'amuse. « Tu me propose un cour particulier ? » Il se retient de lui faire un petit sourire narquois. Non il se concentre plutôt sur le sac de bonbons abandonné par la petite fille. Il est peut être plus raisonnable de rejoindre l'enfant à l'intérieur. Bon elle ne vas surement pas faire de bêtises, trop absorbé dans sa contemplation du lapin. Mais il en vaut mieux pas la laisser seule trop longtemps. Surtout qu'ici les choses commencent à tourner étrangement. Heureusement, ils finissent par rentrer et Joao referme la porte, presque soulagé de laisser ce moment étrange dehors, ils ne vont plus en parler n'est ce pas ? Oui ils n'en parlerons plus. Charlie regarde la décoration et complimente Joao. Ce dernier lui explique avoir eu de l'aide d'un ami photographe. Il aime le rendu de ces photos, il se sent bien chez lui et heureusement d'ailleurs, car il y passe de plus en plus de temps. Avec l'arrivée de Juliet, ce seras encore plus le cas. Joao répond « Oui il se débrouille vraiment bien, si tu veux je peux te passer son contact, il fait de bon prix surtout si tu lui dit que tu viens de ma part » Oui s'il avait des photos a refaire un jour, il n'hésiterais pas une seconde à l'appeler. Mais les raisons de faire des photos étaient rares. Enfin, si Juliet arrivait, il lui demanderait surement de faire des photos de la petite fille. Histoire de marquer son arrivée et surtout de bien faire comprendre à la petite fille qu'elle allait rester. Encore une fois, il n'y était pas encore. Il se retourna vers Charlie qui lui demanda s'il était seul à habiter ici. Question banale, douloureuse pourtant. L'informaticien hoche la tête, confirme d'une voix plus faible qu'habituellement puis file dans la cuisine. Il ne se sent plus si bien, ne peux pas s'empêcher de penser à cette foutue solitude. Oui, il aimerait que ce ne soit pas le cas. Mais maintenant, c'est trop tard, Mathias a été très clair sur ça, il ne veut plus le voir, plus jamais. Joao sait qu'il l'a cherché, leur petit jeu du chat et de la souris avait finit par mal tourné, il savait ce qu'il risquait. C'était quand même un bel échec et ça reste douloureux. Joao tente de se calmer, mais ça ne marche pas si bien que ça. Une tasse s'explose au sol, faisant un bruit fracassant. Joao entends Juliet demander ce que c'est et aussitôt il s'en veut d'avoir pu lui faire peur. Il n'as pas le temps de répondre, déjà Charlie est dans la cuisine, lui demandant si ça vas, s'il ne s'est pas fait mal. « Non, c'était juste plus chaud que je ne le pensais ... » Beau mensonge de sa part. Mais qu'est ce qu'il peut dire ? Que sa question l'a tourmenté, qu'il se sent comme une merde. Charlie se met à essuyer le désastre se trouvant au sol. « Laisse je m'en occupe » Mais trop tard, l'autre homme s'est déjà blessé, Joao voit le sang et la grimace. Il regarde Charlie qui se retourne vers lui en lui demandant un pansement. Il n'est pas certain d'avoir ça. Il vas lui dire mais l'autre fait un geste qui fige Joao. Un geste anodin surement pour Charlie mais Joao l'interprète autrement. Il fixe Charlie qui suce son doigt d'un air troublé. Il finit par se ressaisir « Peut être dans la salle de bain ne bouge pas » Enfin si. Joao finit par lui donner un torchon propre « Enroule ton doigt la dedans en attendant » Et de nouveau Joao est bien heureux d'avoir une excuse pour fuir. Il fouille un moment dans la salle de bain mais finit par retrouver le paquet laissé par sa sœur pour sa nièce la dernière fois qu'il l'a gardé. Il revient dans la cuisine d'un air sérieux « Bon alors j'ai trouvé mais tu vas devoir prendre une grande décision ... » De derrière son dos Joao sort donc deux pansement en demandant d'un ton toujours très sérieux « Licorne ou sirène ? » Et il lui montre les deux magnifiques pansement de sa petite nièce. Il dépose doucement les pansements sur le comptoir devant Charlie, le laissant face à ce choix fatidique. Pendant ce temps là, Joao nettoie le reste de lait chocolaté au sol. Puis sort une nouvelle tasse pour finir les chocolat chaud, la petite fille vas s'impatienter. Il dépose les guimauves, en met un peu plus dans la tasse disney qu'il destine à la petite fille puis regarde Charlie « C'est bon, tu es sauvé ? Ou tu as besoin d'aide ? »

Joao ne préfère pas répondre à Charlie, c'est trop dangereux. Oui les choses sont étrangement tendues entre eux et ça n'as rien de très sain. Donc quand l'autre lui répond que l'étrangeté ne vient que de lui, Joao ne réplique pas. Il risquerait d'être méchant. Il le trouve un tout petit peut trop naïf. Non, Joao n'est pas le seul à faire en sorte que tout ça soit étrange. Il se contente de secouer la tête avant de répondre « Je passe mon tour pour la danse » Et puis il rentre, pour mettre fin une bonne fois pour toute à ce moment assez déroutant. Trop de gênes, oh oui. Alors l'arrivée dans la maison et la discussion sur la décoration est la bienvenue, ça fait du bien de changer un peu de sujet de conversation. Et puis Joao aime sa décoration, il est fier de son ami, partager l'art de ce dernier. Alors il propose à Charlie de lui passer le contact, s'il en a besoin un jour. Le brun accepte, Joao lui sourit avant d'allez fouiller dans un tiroir du meuble de l'entrée, il sait qu'il lui reste quelques cartes de visite de son ami, il en est certain, il fouille parmi le bazar du tiroir. Repousse les dessins de sa nièce, évite soigneusement du regard les cartes postales qui trainent encore ici, celle de son ex. Il finit par dénicher la fameuse carte de visite et referme le tiroir comme si ce dernier était un passage direct pour les enfers. Il fait mine de rien, réaffiche un grand sourire sur son visage avant de tendre la carte à Charlie « Et voilà » Puis l'homme repose des questions sur lui, sur avec qu'il vit, enfin plutôt sur l'absence de personne avec qu'il vit. Joao se ressent de nouveau mal à l'aise, pas pour les mêmes raisons. C'est de la tristesse cette fois, car il repense aux raisons pour lesquelles il est seul ici. Alors Joao fuit. Il se rend très vite dans la cuisine. Il veut être un peu tranquille. Mais ça n'arrive pas puisque une tasse s'explose au sol. Et puis Charlie arrive et se blesse lui même. Il le regarde, presque dépité, pas qu'il soit blessé, juste car il est là. Et en plus voilà que Monsieur le chauffe, inconsciemment très certainement. Mais quand même. Joao lui tend un torchon pour limiter les dégâts. Les dégâts sur son doigts ou sur Joao, là n'est pas la question. Mais en tout cas il a retiré son doigt de sa bouche. Il file récupérer un pansement, des pansements. Et il laisse le choix à l'homme en face de lui, il rigole avec lui avant de répliquer « Tu n'as jamais eu envie de noyer certaine personne parfois ? » Car Joao, ça lui est déjà arrivé et plus d'une fois, comme avec ces abrutis d'homophobe, ou bien encore ce type qui a prit la route ivre et a coupé la route devant Mat, tuant Marita au passage. Oui pour ce genre de personne, aucune pitié. L'informaticien termine enfin les chocolat chaud, plein de guimauve et de chantilly. Puis il s'enquiert de l'état de l'autre, il ricane à la réponse de Charlie « Je ne suis pas certain qu'un pansement soit très efficace avec une jambe cassé. Et puis je précise qu'ils ne sont même pas à moi, ma sœur me les as laissé » Il n'aurait pas vraiment choisit les licornes lui même. Alors qu'il prend les tasses pour se rendre au salon, il voit l'homme devant lui. Il plisse le front, vas demander ce qu'il se passe. Mais n'en as pas le temps, voilà que Charlie s'excuse pour la question qu'il a posé plus tôt. « Oh ça, c'est rien, tu ne m'as pas mit mal à l'aise. Tu veux surement en savoir plus pour Juliet, c'est normal » Il prend un air détaché, pour faire mine que ça ne l'atteint pas. Il lui donne ensuite une tasse « Tiens, voilà pour toi » Et il prend celle pour Juliet et la sienne avant de retourner dans le salon où l'enfant câline toujours le lapin. Il s'assoit dans le fauteuil en face de la petite « Alors il est gentil ? Tu as vu il est tout doux ! » Joao regarde la petite fille, avec amour, elle est tellement adorable. Il craque. Il regarde alors Charlie avant de demander à la petite « Tu veux bien que je prenne une photo de Brocolis et toi ? Je pourrais l'imprimer et te la donner quand on iras au zoo » Et il en garderas évidemment une pour lui, histoire d'avoir enfin une photo de sa fille, la première d'une très longue série.

Joao est tendu, pas tant par la présence de sa fille, non mais plus par celle de Charlie. Car il l'a laissé entrer chez lui, dans son intimité et il y a des choses que Joao préférais garder pour lui, comme les photo de Mat et lui. Mais trop tard. Alors Joao essaye de ne pas montrer son malaise, il lui parle des photos qui décorent son habitat, enfin surtout du photographe. D'ailleurs Joao finit par lui donner le contact, si jamais Charlie en a besoin pour une raison ou une autre. Et puis quand les questions se font un peu trop pressante, un peu trop intime, Joao fuit. Il se réfugie dans sa cuisine, pensant être tranquille quelques temps. Mais c'est sans compter sur sa nervosité et ses tremblements. Il éclate une tasse et n'as pas le temps de s'en occuper que voilà Charlie. Charlie qui se blessa en voulant l'aider. Alors l'informaticien alla chercher des pansements pour éviter que sa coupure continue de saigner. De magnifiques pansements venant de sa petite sœur, laissé là pour les moments où il gardais sa nièce, au cas où. Pansements qui amenèrent un débat auquel on ne s'attendait pas vraiment en parlant de pansement. Joao finit par ricaner alors que l'autre homme lui confiait avoir déjà eu des envies de meurtres mais songé à d'autres façon d'éliminer les gêneurs. « Je note donc que tu songes régulièrement à la façon dont tu voudrais éliminer des gens, c'est un peu inquiétant tu sais Charlie » Bon évidemment le père savait bien qu'il n'était pas sérieux, enfin il l'espérait en tout cas, on confiais tout de même des enfants a cette personne, s'il pense vraiment à ça, c'est angoissant. Mais Joao n'imaginait pas vraiment Charlie en train d'enfermer des gens dans sa cave pour les torturer, le professeur n'avait pas vraiment la tête de l'emploi, enfin Joao ne trouvais pas en tout cas. Et puis on n'allait pas se mentir, il semblait bien plus frêle que le métisse, alors ce dernier doutais franchement qu'il soit capable de maitriser grand monde, tant mieux. Au moins sa fille était en sécurité avec lui en attendant qu'elle rejoigne enfin sa maison. Joao avait hâte d'avoir l'enfant chez lui. Mais en attendant, il terminait le chocolat chaud et tendais un tasse au père d'accueil de la petite. Il sourit à la réponse de Charlie « Oui pour les urgences, il vaut mieux que tu t'adresse à des pros. Oh je sais bien, ma nièce les adorent, mais ce n'est pas vraiment mon style. En revanche je maintiens que ça te vas très bien » Puis le débat prend fin alors que Charlie s'excuse de l'avoir mit à l'aise en posant des questions. N'ayant pas envie de se replonger dans tout ça, il nie, disant que tout vas bien. Pas très convaincant mais assez pour que l'autre n'insiste pas. Joao rejoins le salon, fond à la vision de la petite câlinant toujours le lapin. Il ne peut pas résister et finit par demander s'il peut prendre une photo. Il veut garder des souvenirs de sa fille et des preuves, prouver qu'elle existe bien, qu'il ne rêve pas. Comme toujours la petite fille semblant attendre l'aval de Charlie, qui demande juste d'en avoir une lui aussi « Oui bien sûr je t'en passerais une si tu veux » Et sans attendre d'avantage, Joao sort son portable et photographie l'enfant et l'animal. Il prend pas mal de photo, ravis puis remercie Juliet avant de lui tendre sa tasse de chocolat. « Tiens ma puce, fais attention c'est encore un peu chaud, n'en renverse pas sur toi ou brocolis » Il a peur qu'elle se blesse. Mais déjà la petite est repartie dans sa contemplation de l'animal, c'est adorable. Joao pourrait vraiment rester un moment comme ça, à juste contempler cette petite fille qui lui ressemble tant. Plus il l'observe, plus il se rend compte de à quel point cette enfant lui ressemble. Il finit cependant par se rappeler de Charlie « Tu peux t'asseoir sur le fauteuil si tu veux » Lui même se place sur le canapé et plonge ses lèvres dans le chocolat chaud. Il est évident que Juliet est trop occupée par le lapin pour parler alors Joao se tourne vers Charlie « Alors tu es prof à l'université c'est ça ? Tu enseigne quelle matière en fait ? » Il est vraiment curieux, il a envie d'en savoir plus sur l'homme qui lui fait face. Car ils vont se voir souvent, Joao le sait, pour le passage de relais concernant la garde de la petite, mais aussi par la suite, car Joao n'est pas aveugle, il a bien vu l'attachement entre la petite et l'homme, il n'est pas cruel, il ne veut pas briser ce lien brutalement.

Etonnamment l'ambiance est devenu moins lourde qu'on ne pouvait le penser. Car l'homme en face de Joao, n'est pas un ami. La première rencontre n'as pas été cordiale, au contraire. Mais ce n'est pas grave. Car à présent, ils s'entendent  plutôt bien. Une chose les rapprochent, la petite fille qui s'extasie sur le lapin sur le canapé. Elle est adorable et chacun semble admettre que pour elle, il faut faire un effort. La conversation devient même légère, au point de faire des blagues, bon de drôle de blague sur des façon d'éliminer des gens. Mais on détend l'atmosphère comme on peut. Finalement les hommes avaient finis par se retrouver dans la cuisine, après une discussion troublante, Joao avait réussit à éclater une tasse au sol et Charlie n'avait pas trouvé mieux à faire que de se blesser. Un pansement licorne avait sauvé l'homme d'une hémorragie fatale. Et engagé sur la conversation sur les choix de pansement quand ils étaient petit. Cette conversation banale, peut être même un peu idiote, marque tout de même Joao, car il est en train de réaliser qu'il vas devoir s'adapter à la petite fille dans son salon. Bientôt, il vas devoir apprendre ce qu'elle préfère elle. Peut être qu'il n'a rien qui lui plait ici. Enfin il se rassure, si, il y a au moins une chose qui marche avec elle, c'est la petite boule de poil que la fillette câline en ce moment. Et le chocolat chaud, qu'il lui apporte, l'admirant de nouveau. Puis les homme s'installent, Joao garde un œil sur la petite et puis le père relance la conversation, voulant en savoir plus sur son travail. Il se demande aussi comment il gère son rôle de parent d'accueil en parallèle, persuadé que pour accueillir un enfant il ne fallait pas travailler à côté. Mais il le garde pour lui ça. Il écoute donc l'homme. Puis répond à sa question « Oui, c'est ça, je suis informaticien, pour une banque, je m'occupe essentiellement de la sécurité. Si je le veux, je peux vider tout les comptes des gens que je n'aime pas » Ca sonne un peu comme une menace, mais ça n'en est pas une. Alors Joao ajoute en rigolant « Entre toi le meurtrier et moi le hacker, on pourrait former un magnifique duo infernal ! » Il ricane, puis plonge ses lèvres dans le chocolat chaud avant de se tourner vers la petite fille. Un sourire s'affiche sur son visage alors qu'il déclare doucement « Je crois que le super pouvoir hypnotisant de Brocolis a frappé » La petite fille avait sombré dans le sommeil. Le lapin était toujours posé dans ses bras, comme s'il veillait sur son sommeil, c'était adorable. Joao ne put résister et prit une nouvelle photo.

C'est drôle comme les choses changent vite, il y a peu de temps avant, Charlie et Joao ne s'appréciaient pas et on pouvait franchement douter qu'ils s'apprécient à un moment. Et pourtant, les voilà tout les deux dans le salon de l'informaticien, en train de plaisanter sur une possible union criminelle pour récolter de l'argent. Mais le mystère de cette réunion n'est pas loin, sur le canapé plus précisément, en train de grattouiller les oreilles de Brocolis le lapin. C'est Juliet qui les réunis, car chacun à la même chose en tête, qu'elle soit heureuse. Joao a compris en écoutant Charlie que l'enfant n'avait pas eu une vie simple et heureuse et il comprend qu'il faudra du temps avant que sa fille lui fasse confiance. Il a cessé de vouloir foncer bêtement, car il sait que ça feras plus de dégâts que de bien. Alors il profite du moment présent, avec la petite fille et son tuteur. Quand les deux arrêtent de discuter, Joao se rend compte que la petite fille s'est endormie, Joao sourit, attendrit par cette scène et il prend une photo, il ne peut pas s'en empêcher, la scène est bien trop adorable pour ne pas l'immortaliser. Faux air choqué quand Charlie déclare qu'il pourrait s'endormir s'il est ennuyant « Ose dire que je suis chiant tant que tu l'es ! » Il sait que l'autre rigole et lui aussi, il n'est pas vraiment vexé. Doucement Joao se lève et sort un plaid de sous la table basse, délicatement, il recouvre l'enfant alors que Charlie le regarde, avant de lui demander depuis quand il est au courant pour l'enfant « Deux semaines... Quand j'ai recroisé Johana, elle m'en voulait encore, je crois qu'elle a voulu me faire du mal en m'envoyant ça en pleine face maintenant. J'ai tout de suite fait les démarches pour la trouver tout de suite mais ça a prit du temps » Il avait fallut qu'il montre patte blanche et que Joao explique pourquoi il n'avait pas donné de signe de vie avant. Car il ne savait pas, tout simplement. Sinon, sinon il s'en serait occupé plus tôt. Il n'aurait pas loupé les premières années de vie de sa fille. Il aimerait tant pouvoir reculer le temps pour rattraper ce temps volé. Il le dit à l'autre « J'ai perdu tellement de temps... elle a réussit son but, me faire mal » Mais pouvait il vraiment lui en vouloir ? Lui aussi avait fait mal à Johana, il s'était servit d'elle pour faire du mal à son ex, car il l'aimait encore et que Joao ne savait faire que ça, détruire ce a quoi il tenait, pour ne plus souffrir. Mais il ne feras pas de mal à la petite fille, jamais, car il ne la perdrait plus. Il regarde Charlie avant de déclarer « Merci de prendre soin d'elle, de l'avoir fait quand je n'était pas là » Même s'il sait qu'elle n'as pas toujours été avec Charlie, il n'est pas stupide, il voit combien l'enfant est bien avec lui.