Un yacht, des étoiles, des nanas bien foutues, des mecs bien foutus, de la musique, de l'alcool ET ... une sirène. Oui, ça fait souvent son effet, surtout quand Karl, 55 ans, péter de thunes comme pas deux, aime se faire mousser auprès des célébrités et que venir à sa soirée ça peut aussi choper des contacts. M'enfin, mon agent m'a chopé le contrat, Mark ... non Karl. Bref, l'autre là, accepte le deal. Façon, une actrice bien foutue, qui fait des performances extraordinaires, si ça ajoute du bling bling, ça ne peut que plaire à Lary ... euuuh ... Karl - Je vais y arriver - 55 ans, et son désir d'être moussé. Oui, j'écorche exprès son nom et j'insiste bien sur le personnage, parce que bon, il est gentil, souriant et tout le tintouin, mais c'est quand même un gros pervers qui recule mon cul et mes seins. Heureusement que j'ai mes propres boys avec moi pour l'empêcher de toucher à la marchandise. Vous voyez le gif sur internet avec Zach Galifianakis avec ses mains et sa langue de pervers ? Bah on est là-dedans. Bref. On demande à Charles ... Merde ! Karl ! De sortir. Pendant ce temps, j'envoie un sms à Elliott
Citation :
« Elliott ! Aled ! Je suis sur un yacht avec des gens stylés et un gros dégueulasse qui ne rêve qu'à me choper la queue et euuh ... non. Pas ma queue ... Enfin t'as compris ! J'espère que t'es là, j'suis déjà au bout d'ma vie !!! pourquoi j'ai acceptéééééééééééé ??? »
Bah oui ? Pourquoi t'as accepté Violet ? Bah parce qu'il y a des amis à bords, qu'une fête sympa, bien payée, ça se refuse pas. Et puis, j'ai eu le droit d'avoir mon équipe de choc ET d'inviter quelqu'un. C'est pour ça que j'avais demandé à Elliott de m'accompagner. Et je pense que s'il reste avec moi, j'peux lui payer tout ce qu'il désire tant que vieux crouton dégueulasse pervers me chope pas la queue !! Euuuuh .... BREF On a compris.
Passons. La soirée bat son plein. Karl annonce les festivités et on fait monter un aquarium avec ... une sirène. Moi. Je fais mon show et le monde est subjugué. Ouais, je sais. On a jamais vu sirène plus sexy. Et c'est la queue qui fait tout ! Je fais donc quelques petites figures. Je suis payée pour 1h00 donc autant en profiter non ? Je reste souvent et longtemps dans l'eau, en apnée, pour un effet plus réaliste. Je reviens à la surface, sans donner l'air que je suis épuisée, fais quelques figures et ... on a compris le principe. Je joue la sirène. Dans tous les sens du terme, faisant celle qui tente de séduire les hommes. C'est rigolo aussi de voir des nanas jalouses. Aaaah les filles ... que vous me faites rire.
C'est alors que je remonte à la surface, appuyant mes bras sur le rebords et faisant quelques mouvements de queues. Je ne vous ai d'ailleurs pas parlé de mon costume, n'est-ce pas ? Mon soutien gorge est au même motif que la queue, tout est de couleur arc-en-ciel, tandis que l'extrémités est d'un orange clair. Je porte un maquillage dans les ton chaud au et mes cheveux sont lâchés. C'est ainsi que je me présente face au public, avec un sourire charmeur « Est-ce que l'un d'entre vous se risquerait à un baiser mortel ? » ose-je demander. Je regarde alors Karl qui allait dire "oh bah moi" « Je parle pour les convives, bien entendu » voila on pose les bails. Et mon équipe n'hésitera pas à intervenir si gros porc voudrait tâter de ma queue. En attendant, je regarde l'assemblée, avec un sourire amusé
Elliott n’avait rien de prévu ce jour là. Enfin. Lorsqu’il disait n’avoir rien de prévu, souvent, la réalité était toute autre. En réalité, il avait même très souvent un milliard de choses auxquelles penser, urgentes ou non. Et c’était d’ailleurs ce qui le décourageait. D’abord, payer ses factures. Aller vider les poubelles, faire le ménage dans tout l’appart : c’était bien évidemment lorsqu’il en avait par dessus la tête, qu’Elias avait passé son tour de nettoyage ! Et le pire dans tout ça, c’était qu’Elliott ne pouvait pas s’en plaindre : son ami avait bien rempli sa part du marché ! Maintenant, il ne restait plus au comédien qu’à trouver une façon de s’organiser, pour réussir à tout caser dans vingt-quatre minuscules petites heures. Oh ! Et il fallait aussi… qu’il aille faire ses courses, contacte son agent et pour finir : répétition générale prévue à la fin de la journée : il faudrait qu’il sache son texte sur le bout des doigts, lorsqu’il arriverait au théâtre. Il ne savait plus où donner de la tête, désespéré par toutes ces tâches plus ingrates les unes que les autres qui s’accumulaient sur cette foutue liste qu’Elliott scrutait passivement, une animosité pourtant certaine dans le regard : il détestait la vie de lui avoir foutu toutes ces choses en même temps et pourtant ; il ne serait pas encore au bout de ses surprises. Tant bien que mal, il s’était mis au travail, avait retroussé ses manches. Challenge accepted, il arriverait à boo… La sonnerie de son téléphone retentit, accentuée par l’enceinte bluetooth à laquelle le téléphone était raccordée. Elliott sursauta, se cognant à une étagère. Eh merde. Il attrapa sa boite à vent, ouvrant la barre de notifs. Là, un message de son amie, qu’il adorait surnommer affectueusement Ariel, à cause du Disney : fallait pas se déguiser en sirène !
Lisant avec beaucoup d’attention, un frisson de dégout parcourut son échine :
- Erk. Bon sang, dans quoi tu t’es encore fourrée ?!
Avait il répondu, parlant seul à son écran avant d’écrire :
Citation :
Pas d’panique babe. J’arrive pour casser des gueules, prépare toi !;)
Son ménage et tout le reste pourrait bien attendre. D’abord, il contacta le théâtre, se faisant passer pour malade. Intoxication alimentaire. Peu sexy, mais tout à fait plausible. Qu’est ce qu’il n’aurait pas fait pour ses amis ? jusqu’à simuler le pire des sorts que l’homme moderne et son égo pouvaient subir ! Si ça c’était pas de l’amour…
Rangeant rapidement tout ce qu’il avait sorti pour faire son coup de propre, il avait foncé jusqu’à sa chambre pour se changer. Et quelques minutes plus tard, il était enfin sur le yatch. Comme un poisson dans l’eau dans ce genre de réception de clampins qu’il détestait pourtant, il restait un peu à l’écart quelques instants : il avait besoin de savoir à qui il avait affaire. Et surtout, d’observer ce connard qui osait s’en prendre à son amie pour mieux taper où ça ferait mal. Grimaçant à la question de la jeune femme, il arqua un sourcil, réfléchissant très vite afin de couper l’herbe sous le pied du pervers :
- Moi. Convives surprises ou complètement ahuries se retournaient sur lui, comme s’ils avaient vu le messie, ce qui faisait rire le comédien. Pourtant, il arborait un visage neutre, lequel laissait paraître en surface un calme olympien que rien n’aurait pu perturber. La réalité, elle, était toute autre. Il rêvait de jeter le maitre des festivités par dessus bord. Mains dans les poches, d’un pas tranquille et non-chalant Elliott se rapprocha de la belle, s’accroupissant pour se mettre à sa hauteur :
- j’suis prêt à défier la mort… surtout si tu m’fais « tater d’ta queue » ! lui lança-t-il moqueur, faisant référence à son dernier message…
Je ne sais pas dans quoi je me suis embarquée, mais j'me suis embarquée. Heureusement que dans ma galère, je suis accompagnée de mes propres hommes de main, ils m'évitent d'être seule avec ce gros dégueulasse qui n'attend qu'une chose : que je sois dépourvue de ma queue pour aller voir un autre fruit de mer ! Sans paraître vulgaire. MAIS, j'ai un show à tenir et je m'étais engagée. Les convives s'éclatent du feu de Dieu et c'est cool pour eux, moi, j'aurais mon cachet en fin de prestation. Lorsque je reviens à la surface, je souris de voir Elliott. Je prends la liberté de m'adresser à l'assemblée, demandant à ce que seuls les convives viennent à moi. Je savais pertinemment qu'Elliott allait jouer le jeu. Les hommes tentaient de venir, mais sont interrompues par leurs petites copines, en parlant de femmes, certaines se moquent de moi, mais ce détail, je n'en ai strictement rien à faire. J'ai un culot monstre, et il en faut pour soulever mes queues ! Et tandis que les convives se regardaient sans trop savoir comment réagir, pensant que je ferais sans doute un flop, un Elliott sauvage s'avança. Mon sourire s'agrandit, mais je me retins de rire. Elliott s'approche de moi « Tu vas la tâter d'ma queue » fis je avec un sourire amusé uniquement en sa direction « Je vois que Monsieur est courageux » me moque je tout en faisant en sorte que les autres écoutent ce que je dise. Je m'humecte les lèvres et m'approche du jeune homme tandis que nos visages se rencontrent « Tu sais que je peux être dangereuse ? » lui murmure je. Et alors qu'il ne s'y attendait pas, je me mets à prendre Elliott dans mes bras et tandis que nos lèvres se touchent, je l'emmène à l'eau avec moi. Je l'entraîne dans cet aquarium (aux allures plutôt de piscine hein soi dit en passant), prolongeant ce baiser complice. Je finis par le lâcher et je remonte à la surface « Rassurez vous ! Il est vivant ! Trempé, mais vivant ! » fis je en riant, tandis que les convives applaudissent ravis de ce moment assez burlesque, juste après avoir eu une réaction semblable à des personnes choquées (dont des cris). Je regarde Elliott « J'suis désolée, c'était trop tentant ... mais tu peux tâter d'ma queue maintenant ! » fis je malicieuse avec un sourire taquin
Peut-être que c'était stupide. Peut-être que c'était cliché. Pourtant, j'étais le genre de type à pouvoir tout faire pour mes amis. Tout ? oui. Tout. Ce jour là, je découvrirais même que je pourrais littéralement me jeter à l'eau par amitié. Mais ça, je ne le savais pas encore, alors que j'arrivais sur le bateau. Avançant au milieu de la foule, je m'arrangeais pour me trouver à une place d'où je pourrais profiter du spectacle de Violet et d'où elle pourrait voir que j'étais là. Après tout, il y avait peu de chances qu'elle ait reçu mon message - ou du moins qu'elle l'ait lu: eau et téléphone n'avaient jamais fait bon ménage, comme l'avait plus d'une fois prouvé le mien, coulant tristement dans la cuvette de mes toilettes. Accident fâcheux, arrivé plus d'une fois, à mon plus grand damn.
Le clou du spectacle se fit sentir, et je retirais la veste de mon costume, commençant à étouffer: le soleil était de la partie, aussi assommant que le pervers et ses avances à peine malsaines. Grimaçant en le voyant lorgner sur les atouts de mon amie, j'ai rapidement compris le petit manège de la demoiselle, lorsqu'elle demanda que quelqu'un se dévoue... posant ma veste sur une rambarde, j'ai souri, m'avançant vers elle, lui adressant un clin d'oeil alors que je m'accroupissais...
"VIOLET ATTENDS NOOON MAUVAISE ID..."
ERREUR DE DÉBUTANT. Car avant que j'aie pu demander mon reste, je me retrouvais entrainé dans l'eau. Prolongeant le baiser autant offert que volé, j'ai rit contre ses lèvres: "Dans ma poche. Y'avait mon téléphone. Au moins... il aura pas fini aux chiottes, celui-ci !" lui adressant un clin d'oeil amusé, j'ai demandé, tentant de réprimer un rire traitre "hmhm. Et... tu la fais tâter souvent, ta queue ?"
Et l'écoutant, je me laissais couler au fond du bassin, comme pour donner tort à ses dires. Vivant, ok, mais emmerdeur quoiqu'il arrive... Bien vite, j'ai mis un coup de pied au fond du bassin, me propulsant à la surface, puis fis la planche en riant, faisant une fontaine avec ma bouche, donnant un coup de main à la surface de l'eau pour l'asperger, taquin: "ça, c'est pour m'avoir foutu à la flotte !"
Suis-je une vilaine fille ? Oui. Je suis une sirène, je ferai tout pour pécho du mâle pour le manger ! Ouuuuh que cette réflexion est étrange ! Elliott s'approche de moi, je m'avance vers lui et hop ni une ni deux et sans réfléchir, je le chope pour le mettre à l'eau tandis qu'il hurle que "non ce n'est pas une bonne idée très chère car mon adorable smartphone est dans ma poche et risque de ne plus fonctionner, tu es une vilaine sirène, vilaine vilaine". Bon. Cette phrase, il ne l'a pas dite. C'est trop long aussi. Surtout quand je le chope pour l'embrasser et le mettre à l'eau ! Bref, nous voici dans l'eau sous la réaction du public, nous en train de s'embrasser, moi en train de rire l'entraînant au fond et puis nous voici remontant à la surface, je finis par mettre ma main à la bouche, gênée « Mince ! j'suis désolée ! » fis je penaude à ma connerie, il a pas l'air de m'en vouloir d'ailleurs, enfin pour le moment je dirais « Je la fais tâter rien qu'à toi » fis je tandis qu'il fonce dans l'eau, fais son petit numéro et me jette de l'eau. Je ris, amusée, on dirait vraiment deux gosses ! Là, je lève ma queue et frappe dans l'eau pour l'éclabousser à mon tour, tout en faisant attention de ne pas l'assommer. Se serait le comble tiens ! Lui noyer son téléphone et l'assommer ! Je finis par nager vers lui, tout en ne faisant plus attention à la réception, qui continue sans doute son cours de route vu la musique qui a recommencé « Oh ça va ... t'es juste un peu mouillé » fis je en riant « donnes moi ton téléphone, je vais demander à Isaac de le mettre dans du riz ... il saura te le réparer » propose je en souriant. Isaac, c'est l'un de mes gardes du corps et je suis bien contenter qu'il soit là d'ailleurs. Je lui fais même signe de venir, tandis qu'il nous regarde, hilare « Tu voudras qu'on aille quelque part ou tu veux encore batifoler dans l'eau ? » demande je à Elliott tout en m'approchant de lui et tournant autour de lui avec un sourire espiègle « Au passage, il était très sympa ton baiser » fis je en souriant, totu en lui lançant un clin d'oeil complice
Si Elliott était blasé pour son téléphone ? En effet. C’était d’ailleurs le moins qu’on puisse dire, pour lui qui n’avait jamais passé plus de vingt-quatre heures sans sa boite à vent. Lui, était convaincu de ne pas être accro. Ses proches n’étaient pas dupes : à partir du moment où on commence à sentir vibrer son téléphone même sous la douche, ça commence à craindre, non ? Non. Pas pour Elli, qui devrait, du coup, s’en passer. En réalité, il aurait d’ailleurs pu remercier la jeune femme : cela faisait un moment, qu’il voulait se mettre au vert, sans cette arme pour le déconcentrer toutes les secondes. Se retrouver au calme, avec lui même… Ou en l’occurence : se retrouver dans un bain avec son amie. Certains se seraient rués sur leurs téléphones pour filmer et mettre la scène sur les réseaux sociaux (d’ailleurs, certains convives ne s’étaient pas faits prier!) lui, n’avait pour le moment plus d’autre choix que de profiter de l’instant somme toute pas désagréable, bien au contraire…
Remontant à la surface, il adressa un sourire à la belle sirène qui s’excusait et haussa les épaules : « C’est rien du tout. J’tenais juste aux photos dedans mais elles sont probablement dans le cloud ! »[.b] et riant légèrement, il embrassa sa joue, avant d’arquer un sourcil : [b]« Oh. Alors tu veux dire que je suis un privilégié ? j’pourrais carrément m’faire à l’idée... » là, il se laissa couler afin de lui faire une plaisanterie : petite frayeur de fin de show qui pourtant, ne tromperait personne… Et une fois son petit effet fait, il hocha la tête à la proposition de Violet, à qui il tendit son téléphone : « j’ai jamais cru à c’truc du riz mais… ça pourra pas faire pire t’façons ! Au pire, j’irai en racheter un, c’est rien ! » L’observant tourner autour de lui, Violet aurait presque pu lui donner le tournis, à mesure qu’il la suivait du regard. D’ailleurs, il aurait tout à fait pu oublier leurs spectateurs ! Fronçant les sourcils, il réfléchit quelques instants, avant de proposer : « Où tu iras j’irai, belle sirène ! t’as fini ici ? j’avoue qu’on s’caille un peu dans l’eau, quand on a pas les écailles pour ! et répondant à son clin d’oeil, il entra dans son jeu, confirmant ses dires : « c’est vrai. Mais rien ne nous empêche de donner une suite à celui-ci, hm ? » Riant légèrement, lui adressant un sourire espiègle, il s’assit sur le bord du bassin : « en fait… j’crois que j’aimerais bien qu’on aille quelque part… » murmurant, il reprit : « loin de ces pingouins, tu vois ? » et riant, il demanda : « t’en dis quoi ? »
je suis vraiment un boulet par moment, mais bon, c'est Elliott, il me pardonnera, et puis j'ai une adorable tête de Puppy, il ne peut pas me tester longtemps ! Faut dire que pour le coup, ce n'est pas très anodin de ma part d'avoir chopé Elliott par le col pour l'embrasser. Il a de la chance qu'il fasse parti des personnes en qui j'ai le plus confiance. En tout cas, je pouffe de rire, tout en faisant absolument pas attention à l'agitation. Les gens me débectent que je préfère les ignorer et porter mon attention sur l'acteur « Tu peux t'estimer chanceux en effet ! » fis je en riant amusée. Après tout c'est vrai. Il peut s'estimer chanceux dans tous les sens du terme. En tout cas, malgré l'ambiance qui a continué son petit train train comme si de rien était et les convives qui nous regardent d'un oeil sans doute jaloux, je dois dire que non seulement je m'en fiche, mais en plus, je m'm'en fiche, je récupère son téléphone et d'un coup de nageoire, arrive vers l'autre côté du bord de la piscine pour le donner à un de mes gardes du corps « Oooh t'inquiètes pas que ça a sauvé bien des téléphones ! Demandes à mes gardes du corps ils en ont vu des vertes et des pas mûres avec moi » fis je en riant. Et vu leur tête actuellement, ils approuvent totalement ce que je suis en train de dire. « Je sais pas, à voir si t'es sage » fis je en riant et en tirant la langue telle une enfant. Je souris, moqueuse, tournant autour de lui avec un sourire malicieux. J'adore l'embêter, mais bon, je pense qu'être avec des habits dans l'eau comme ça n'est pas très agréable. Quant à moi, j'ai pris l'habitude d'avoir froid, donc autant dire que cela ne me fait plus grand chose d'avoir froid. Finalement je capitule et lui fait un signe de tête pour sortir « Allons y ! Sortons de ces eaux troublés et sombres pour une terre plus sèche et chaude » fis je en me dirigeant une nouvelle fois vers le bord pour me hisser. Là, un de mes adorables gardes du corps me porte dans ses bras - juste après envoyer boulet le pervers qui voulait m'aider. Nous voici donc tous les quatre, nous dirigeants vers une cabine qui m'était dédiée pour être plus au sec. Je m'extirpe de mon costume avec du mal, comme toujours parce que c'est chiant, et m'enroule dans une grande serviette sèche et adorablement chaude. « Tu veux qu'on passe chez toi d'abord pour que tu mettes des affaires plus ... sec ? » lui demande en souriant
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Ven 20 Nov - 0:16
