Son rire est mélodieux, je me retrouve à le regarder , à observer cet inconnu qui me sauve de ces agresseurs, aucune peur en moi envers celui ci. J’hausse les épaules. « C’est toi qui a l’air de pas vouloir de moi sur ta moto. Je suis peur etre pas assez bien pour ça. » Je baisse les yeux. Se sentir en position d’infériorité m’avait toujours rendu agressive. Ce type n’y était pour rien bien au contraire, il essayait de m’aider et moi j’étais usr la défensive. « Désolé.. Je devrais pas vous parler comme ca. »
Mon regard fixe mes jambes, comment j’allais pouvoir me relever et rentrer sans mon fauteuil. J’étais loin du centre de rééducation. Ca me paraissait compliqué. « J’aurais aimé oui, enfin peut etre, je sais pas.. » Je n’étais même pas sure de tenir sur celle ci. Alors bon.. Ce n’était peut etre pas la peine de tenter le diable. Surtout s’il y avait risque de chute ou d’accident, ej ne voulais pas qu’il lui arriver quelques choses a cause de moi. Mais cette idée d'être normale, juste une jeune femme derrière un homme à moto.. C'était une idée plaisante.
Le vouvoiement n’était pas un raison de prétention ou de vieillesse, mais de politesse, j’avais été éduqué comme ca. Et je tutoyais rarement les personnes, adultes surtout enfin qui paraissaient plus âgés que moi sans les connaitre un peu avant . Mais cet homme avait d’autre idée et celles ci me firent sourire. Je ne pouvais pas lui faire plus plaisir alors j’allais le faire. Declan, Ezio, Andrews. Un sourire plus grand sur mes lippes, je lui répondis. «Moi c’est Jules Call.. » La soeur du célèbre chanteur du groupe de musique.. La cavalière pro à la terrible chute,.. mais j’espérais qu’il ignore tout de ses détails que je ne voulais pas citer à cet instant. Surtout le second.
Je venais agrippé sa nuque, il allait me soulever, et lorsque je m’excusais d’avance il ne compris pas. « Le fait que je sois lourde, et que vous allez avoir mal au… » Je ne fis pas ma phrase qu’il était déjà en train de me lever. Il me portait comme on porte un nouveau né, il était attentionné et j’aurais pu être une vraie princesse ou une chose tellement fragile vu comme il faisait attention à moi à cet instant. Mon regard dans le sien, lui murmurer de ne pas me lâcher comme une promesse. Et il me le promis en quelque sorte. « Ok.. » Dis-je dans un souffle, faire confiance à un inconnu totalement inconscient on est raccord mais je devais le faire, je n’avais pas trop le choix après tout. Il était mon seul moyen de rentrer chez moi.
Alors sans avoir le choix , je le laissais me prendre dans ses bras et l’angoisse toujours présent fut vite dissipé par cette chanson qu’il me demanda de chanter. Les paroles étaient si intenses là a cet instant, mon regard dans le sien, mon corps sauta un battement et s’emballant. Mon regard dans le sien, cette flamme qui passait de son corps au mien. Cette sensation d’être un bijoux précieux entre ses mains, et plus encore.. Comment pouvait-il me captiver de la sorte ? Son regard profondément ancré dans le mien, je ne me rendis pas compte que mon regard descendait sur ses lèvres ,mon visage se rapprochant du sien. Mais une voiture Klaxonna au loin « Nous.. on .. devrait y aller… » Rouge tomate , totalement génée.
Elle avait ce regard innocent qui n'attendait qu'à être aimé mais la vie fût autrement. | @Jules Call
Tu rigoles lorsque la jeune femme te dit qu’elle est probablement pas assez bien pour monter sur ta moto. Ce n’est pas sympathique pour la belle brune étant donné ce qu’elle venait de vivre mais elle ne se doutait pas à quel point, toi tu es une mauvaise personne. Tu es peut-être celui qui l’a sauvé aujourd’hui, mais tu aurais pu être celui qui aurait tué son frère, sa sœur sans aucune état d’âme en lui vendant de la drogue ou encore tu aurais pu la voler elle. Alors qu’importe ce qu’elle est, elle sera toujours meilleure que toi. “T’en fais pas, je t’en veux pas une seule seconde.” Que tu lui dis tout simplement. “Si tu as envie de monter sur mon petit bijou alors je te ferais ce plaisir. Tu as encore de la force dans tes bras ?” Pouvait-elle encore te tenir suffisamment fort pour ne pas tomber, tu ferais en sorte de faire attention au centre de gravité pour ta moto et ne pas tomber. Tu avais envie de faire plaisir à la jeune femme et non pas parce qu’elle venait d’avoir un évènement traumatisant mais plutôt parce que c’est ta simple envie. Tu peux comprendre que certaines personnes éduquent leurs enfants en leur faisant savoir que le vouvoiement est une marque de politesse mais toi tu ne la ressens pas de la même façon. Tu as l’impression d’être plus vieux, tu as l’impression de ne pas être à la même hauteur que la jeune femme alors que tout le monde est pareil lorsqu’il est assis sur son toilette. Si elle ne te connais pas alors tu lui fais savoir ton prénom et même le second avec ton nom de famille, peu de personnes connaissent ton deuxième prénom et pourtant il a une signification. “Enchanté.” Sans même te douter qu’elle est connue ou que son nom de famille tout du moins l’est. Il faut dire que tu ne lis pas les journaux, tu ne t'intéresse pas à ce monde de riche, de coincé. “Merci j’avais tres bien compris, t’en fais pas pour moi.” Et en instant tu lui fis comprendre que en effet elle n’avait pas lieu de s'inquiéter pour toi. Tu n’es pas l’homme le plus musclée de Los Angeles, certainement mais tu as des bras à force de faire ton road trip en moto. Puis tu as été aussi technicien de maintenance, cariste à New York. Tu lui promis d’une certaine manière de ne pas la laisser tomber et tu ne parlais pas seulement dans le sens propre mais aussi de ne pas la laisser tomber moralement. Si elle avait besoin de toi alors tu ferais en sorte qu’on puisse te joindre. Tu es loin d’être le meilleur des hommes mais tu as encore des principes et lorsque tu viens en aide, tu le fais jusqu’au bout. C’est ainsi que tu aurais voulu qu'on le fasse pour toi lorsque tu as été placer en foyer et que les juges, les avocats t’ont dit qu’ils seraient là. Tu sentais bien sa crise d’angoisse c’est pour cette raison que tu lui demandes de chanter la chanson et même si tu lui avais demander d’éviter l’eau de rose, elle n’avait pas pu se retenir. Mais les paroles qu’elle chante et la façon dont elle le fait, provoque en toi un effet si soudain, si profond que tu ne peux quitter son regard. Plus rien ne comptait mis à part vous deux comme si vous étiez enveloppé dans une bulle, transporté hors du temps.“En effet on devrais y aller. “ Puis tu la fis monter sur ta moto, tu lui montres un endroit juste derrière elle pour maintenir fermement ses mains le temps que tu montes sur la moto. “Tu penses que tu vas pouvoir agripper ici, le temps que je monte et que tu t'accroches à moi ?”
J’avais été un peu agressive et sans raison. C’était contre moi que j’étais en colère alors pourquoi m’en prendre à lui.. Il n’y avait aucune raison. Et pourtant.. J’étais pas cool. Il venait me sauver et moi je l’envoyais paitre. Mais son rire résonnait dans cette ruelle sombre, il n’avait pas l’air de mal le prendre, et me proposa même de monter sur sa moto. J’hochais la tete. « Oui, c’est mes jambes qui fonctionnent mal , pas les bras. » Même si avec le choc et l’émotion mes bras tremblaient un peu, ils étaient encore fonctionnels, enfin plus que mes jambes c’était sur. Sa manière de parler de sa moto me laissait entendre qu’il y tenait , même si j’avais tord sur le fait de la salir, elle était importante pour lui, cela se sentait dans sa façon d’en parler.
Il se présente, je venais de lui dire qu’on se connaissait pas. Et c’était vrai il était un inconnu, comme ce type avant lui. Mais là, je savais que je pouvais lui faire confiance, je ne savais pas pourquoi ni comment je le savais. Mais je le savais. C’était comme ça.. Au plus profond de moi. J’étais polie et je me présentais à mon tour, j’ignorais s’il connaissait mon nom.. Mes frères chanteurs ou même moi. Enfin pour ma part j’étais un peu moins connu qu’eux , on intéressait pas le même publique dirons nous.
Je devais lui faire confiance, assez pour qu’il me porte dans ses bras, et je n’étais pas légère. Pourtant c’est que ce que ressentais alors qu’il me levais, je ne pouvais détaché mon regard du sien, j’étais captiver. Ma chanson était niaise, enfin un peu trop à l’eau de rose pour lui et ses paroles qui m’avaient toujours paru dénués de sens là en avaient bien plus que je ne l’avais prévu. Je me perdais en lui, je voulais voir au plus profond, je pouvais y lire la tristesse, la douleur, la force… Mais je devais me rendre à l’évidence. Il était un inconnu qui venait de me sauver.. Nous devions y aller. Il me déposa sur la moto. Je suivis ses indications. « Oui.. je vais tenir ne t’en fais pas.. Mais.. Mon fauteuil.. » Il était ruiné mais nous devions quand même le ramener au centre. La question réglée, il monta en moto apres m’avoir donné un casque, le sien.. Je le regardais. Son dos se présentant à moi. Je retirais mes mains alors de cette poignée pour les déposer contre lui.. Autour de ses hanches. « Je .. je peux? »
Elle avait ce regard innocent qui n'attendait qu'à être aimé mais la vie fût autrement. | @Jules Call
Certes, tu ne peux pas dire que tu ne tiens pas à ta moto. Ta belle harley davidson, 1450 road king classic flhrcI que tu as repeinte en violet. Une couleur qui a une signification toute particulière à tes yeux, une couleur qui rappelle comme pour ton pique tatoué sur le bras ton appartenance éternel à un gang qui n’existe plus depuis un peu plus d’un an. Cela fait maintenant quinze longues années que tu la promènes avec toi. Elle a forcément une valeur pour toi inestimable. Mais de là à dire que tu n’acceptes pas les autres de monter dessus, ce serait abuser ou tout du moins ils peuvent monter mais tu seras toujours le pilote de cette dernière. “Dans ce cas tu peux monter sur désirée.” En effet, cela semble stupide mais tu as donnée un surnom à ta moto ce qui lui donne une personnalité et d’autant plus d’importance. Si elle s’appelle comme ça, c’est parce que tu as attendu longtemps avant de l’obtenir, que tu t’es donné les moyens pour l’avoir. Tu ne répondis rien au fait qu’elle s'appelle Call, pour toi c’est un nom de famille lambda sans aucune importance. Pourtant, si tu te renseignais au minimum sur les personnes célebre, sur les personnes appartenant au gratin, tu serais au courant qu’en face de toi se trouve cette jeune femme qui a fait scandal à cause de son accident de cheval, tu serais même comment elle c’est retrouver ainsi avec les détails les plus croustillants. Mais toi tu te fous royalement de la vie des célébrités, tu as suffisamment que la tienne de vie à suivre, à gérer pour le faire avec celle des autres. Puis, tu n’as jamais aimé ce monde de la haute société. Il faut dire que ta mere a finit en prison et toi en orphelinat à cause d’un des leurs. Même si Séphora était une personne riche, tu la trouvais à part de ce monde. Elle était la pépite de ce monde qui n’est pas le tiens et ne le seras jamais, toi le gangster. Tu ne sais pas ce qui t’arrive et cela fait des mois que tu n’as pas été autant toi-même. Cela fait des mois qu’au premier instant, tu t’es tout simplement lâché sans avoir peur des conséquences mais surtout cette chanson venait d’en dévoiler sur toi. Ce que tu ne pensais pas un jour pouvoir faire avec une autre femme que celle que tu as si longuement aimé. Tu ne parvenais pas à détacher ton regard de ses yeux azur, à l’intérieur de celle-ci tu y vois l’espoir, un renouveau mais aussi une souffrance différente de la tienne mais présente. Il y a une lueur que tu ne serais pas définir, un fil qui passe entre vous deux comme si rien ne pouvait l’interrompre. Pourtant il est temps de le casser cet instant qui était le vôtre, cet instant qui a fait que la terre s'est arrêtée de tourner pendant ce laps de temps. Tu déposa la jeune femme sur la moto, tu lui donnas quelques conseils afin qu’elle tienne sur ta moto sans oublier au préalable de mettre ton casque sur la belle brune. Elle te fis savoir qu’elle devait ramener son fauteuil, tu passas un coup de téléphone afin qu’une personne puisse venir le chercher, une personne que tu connais du dust & diesel qui n’hésite pas une seule seconde à te rendre ce service. Tu montas à ton tour sur la moto, mis les clefs sur le neiman et celle-ci commença déjà à pousser quelques vrombissements. “C’est fortement recommandé. Et où dois je déposer la belle ?” Que tu demandes avant de partir en direction de l’endroit prévu.
« Désirée? » Je le regarde surprise. Il parlait de sa moto? Alors c’était une monture avec un nom.. C’était idiot mais à cet instant je pensais à Hadès.. Je l’avais désirée lui aussi. Ce n’était pas mon premier cheval mais je m’étais battu pour l’avoir. Je me souvenais du jour où il avait été a vendre, j’avais pleurer et surtout j’avais monter un powerpoint pour pouvoir prouver a mes parents que deux chevaux je pourrais. La condition les bonnes notes, les études avant tout, et .. Monter en pro.. J’avais réussi, j’avais tout fait pour que Mustang et moi on y arrive. Une fois fais j’avais surtout mené Hadès sur du concours plus haut niveau encore.. Les obstacles s’enchainaient et il les franchissait toujours avec autant d’envie, de hargne.. Jusqu’à ce que je le pousse. Une foulée de moins. C’était deux pas trois.. Enfin .. j’avais tenter deux grandes plutôt que trois normales. Mais il avait paniqué, et la chute.. Son corps sur les miens, il s’était relever et m’avait trainer, j’étais inconsciente, ma tête avait tapé dans les barres et mon pied coincé, je ne pouvais plus rien faire.. Je frissonnais et tentais de chasser ce souvenir.
Si on m’avait dit que lors de cette soirée aussi perturbante soit-elle j’aurais perdue la notion du temps et le contrôle de mes pensées en plongeant dans l’azur de ses yeux.. Jamais je ne l’aurais cru et pourtant ses paroles de chansons au départ innocentes qui avait été si intense et ses iris dans les miennes, mon corps collé au sien.. Je ne voulais plus bouger, je ne voulais plus qu’on nous derange, je voulais rester là, que le temps s’arrête.. Mais c’était insensé et totalement impossible. Tout le monde le sais le monde ne s’arrête pas de tourner pour que deux personnes profitent l’une de l’autre. J’avais eu des copains, jamais de longues histoires mais cet instant hors du temps.. Dans un autre monde, comme si l’univers était là.. Dans son regard.. Et que je me noyais dedans à ne plus pouvoir en sortir. Je n’avais jamais ressenti ça.. Jamais..
Sur la selle de la moto , je suivis ses instruction. Le casque sur la tete. Je le regarde passé un coup de téléphone pour mon fauteuil. « Merci.. » Il n’était pas obligé de faire tout ca et pourtant.. Il était là, et le faisait.. Pourquoi? Le moteur démarre et je lui demande si je peux me crocher à sa taille. L’accord donner, je noue mes mains autour de son corps. « Au… Centre de rééducation, de l’hopital.. Y a une entrée derrière..Il faut sonner et ils ouvriront. » Je rougis dans le casque. J’avais un peu honte mais je devais rentrer..
Elle avait ce regard innocent qui n'attendait qu'à être aimé mais la vie fût autrement. | @Jules Call
oui Tu sais que cela peut paraître bizarre le fait que tu aies donné un nom à ta moto, et très peu de personnes comprennent ou encore le font aussi. Mais ta moto a un nom depuis que tu l’as avec toi, quand tu parles pas d’elle ce n’est pas ta moto mais désirée. Tu avais mis bien trop d’année pour pouvoir l’obtenir, tu te souviens que tu avais fait des économies alors que tu travaillais dur en tant que barman dans un endroit plus que miteux et que tu faisais quelques missions pour les ace of pique, ton ancien gang. Tu te souviens que tu t’étais serré la ceinture, quitte à louper plusieurs repas, avoir des vêtements sur plusieurs saisons, que tes cheveux soient coupés par des amies. Alors lorsque enfin tu avais eu les moyens de te l’offrir, tu n’avais pas hésité une seule seconde, elle a pris le nom de désirée dans l’immédiat.
Tu ne pensais pas en venant ici que tu n’y trouverais pas ce que tu étais venu chercher, que tu ne trouverais pas de clients pour réparer quelques voitures et te faire de l’argent en plus de ton job de sécurité dans la boîte de strip-tease. Tu ne pensais pas une seule seconde que le temps ce serait arrêter, que tu te serais perdu dans l’océan de ses yeux, ou encore sur ses lèvres pulpeuses. Tu ne pensais pas non plus être capable de tout simplement sauver une femme et de ne rien faire en échange, toi qui était devenu cet homme qui drague sans penser au lendemain. Cette douce a un goût de quelque chose que tu as connu autrefois mais tu es dans l’incapacité de dire de quoi il s’agit. Un sentiment que tu as ressenti autrefois lorsque ton coeur était encore en capacité d’en avoir.
Lorsque la jeune femme te remercia pour le coup de téléphone que tu venais de passer afin de pouvoir récupéré le fauteuil de la jeune femme, tu lui répondis tout simplement par un mouvement de la tête qui voulait dire de rien. Tu montas à ton tour sur désirée, le contact mis en route, tu demandas la destination souhaité et elle te fis savoir qu’il fallait que tu te rende au centre de réeducation. Tu mis rapidement ton GPS sur ton téléphone, tu fais en sorte d’entendre chaque son que celui-ci produit afin de ne perdre à la fois ni la route de vue, ni même de perdre ton chemin. Tu fais exactement ce que la jeune femme t’avais dit et lorsque enfin un homme arrive, tu confies la belle à celui-ci sachant qu’elle est désormais en sécurité. Mais pour éviter les questions inutile, tu pars aussitôt en oubliant de donner ton numéro de téléphone.
Me retrouve à l’arrière de Desirée, c’était comme ca qu’il l’appelait était etrange, j’avais accrocher tres fort mes bras autour de lui, serrant les jambes tremblantes mais sachant pertinamment qu’à la mooindre secousse trop importante seuls mes bras me seraient utiles. J’avais peur, je devais avouer que j’adorais la moto et l’adrénaline, je n’avais jamais repousser cette sensation d’angoisse avant une sensation forte, mais là.. Je tremblais. Mes muscles contractés encore par cette mauvaise rencontre.. Et pour ne pas glisser. je me collait à Declan, à ceet homme qui venait de me sauver, et qui était encore trop bon pour me fourrer dans un taxi et me laisser me débrouiller. Je vis les yues defilés et cette sensation de calme, m’envahi, mes jambes cessèrent de trembler et je pus enfin me détendre un peu. Appreciant cette proximité avec celui qui m’avait envouté de ses azurs.
Il sonna et puis entrer, Marius ne tarda pas à arriver. Je n’eu pas le temps d’expliquer quoi que ce soit ou meme de remercier mon sauveur, qu’il était reparti.. Je lui avais tendu le casque Marius ne voyant pas mon fauteuil avait compris et m’avait pris dans ses bras, et mon inconnu était deja reparti.. Sans me laisser la possibilité de le retrouver.. Marius allait me passer un savon mais je n’avais pas envie d’expliquer, ni de penser à autre chose qu’à ses iris bleus.. Declan Ezio Andrews… On se reverra j’en étais sure..
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Ven 27 Nov - 22:44
