Avatar : david harbour Messages : 6561 Dollars : 50 Date d'inscription : 27/10/2019 Multicompte(s) : Aucun, je suis unique Crédits : harleystuff Débarqué.e à Los Angeles depuis : ma naissance , j'habite : à Central . On me surnomme : la Maire , j'ai : 47 ans et je suis né.e le : 22 juin . Je suis : Mariée et : Bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : Maire de Los Angeles
Le tout départ Pour un week end en ami, vous n'avez pas eu de meilleure idée que de vous rendre au beau milieu d'une forêt dans un petit challet. Tout promet d'être un bon séjour, avec le lac à coté, les balades en forêts, les feux de camps... Vous arriverez d'ailleurs sans encombre sur place, vous aurez le temps de déballer vos affaires et de commencer directement les festivités, vous faites du bruits, vous rigolez, chantez... Buvez. Mais peut être que certains ont trop bu, ou pas assez mais vous commencez à ressentir une gêne que vous ne saurez décrire et expliquer. Vous sentez un vilain air glaciale dans votre cou... Mais vous décidez de l'ignorer pour la plupart, même si ça continue de peser sur vous. D'autant que la nuit tombe et que la brume, elle, se lève. Entourant ainsi le petit chalet de bois d'un filet flou. La soirée continue alors... Mais peut être que vous devriez plus vous inquiéter, car quelque chose rôde autour de la bâtisse. Le parquet craque, le vent affole les branches... Plein de signe que vous ignorez, parce que ça ne peut qu'être rien... n'est ce pas ?
Fonctionnement Comme vous êtes dans une réalité autre que celle du forum, la magie, le surnaturel, l'horreur, tout est absolument possible. Vous voici ici plongé dans ce rp dans un film d'horreur de Friday The 13th. On ne décrira rien de trop gore ou si c'est le cas cela sera mis sous spoiler pour vous éviter de lire si vous ne voulez pas ! On vous indiquera juste qui a survécu ou non.
Il y aura intervention d'un PNJ au long du rp une fois par semaine, si vous décidez de vous inscrire, essayez de respecter votre engagement ! Si vous êtes AFK lors d'un tour, des sanctions sur votre personnage (puisque ça n'a aucune conséquence dans vos rp hors de cette intrigue et de ce topic commun) et si l'on voit que vous ne répondez plus du tout, votre personnage sera retiré de l'intrigue via le PNJ. Cela n'est pas fait pour vous stresser ou vous mettre la pression mais là pour permettre au jeu de continuer.
Il n'y a aucun ordre de passage, essayez de favoriser les réponses courtes/moyennes et de vous inclure les un les autres !
Alex Palmer Molina
I see fire
Signe Astro : Métier : Prénom : Ivy
Avatar : Zayn Malik Messages : 638 Dollars : 0 Date d'inscription : 28/01/2022 Multicompte(s) : Styx & Will & Dim & Low & Jo Crédits : march-mars Débarqué.e à Los Angeles depuis : Je viens tout juste de sortir de l'avion ! , j'habite : En plein cœur de Central dans un petit studio au dernier étage d'un immeuble. J'aime l'animation, le bruit, la foule, la couleur des néons dans la nuit et les odeurs de L.A. by night.. . On me surnomme : Alex est déjà mon surnom mais je suis ouvert à tous les petits noms ridicules , j'ai : 34 ans et je suis né.e le : 26 juillet. . Je suis : submergé par des eaux venus tout droit du passé et : exclusivement attiré par les hommes . Aujourd'hui, je suis : Responsable de la communication digitale pour une stat up qui va bientôt faire beaucoup de bruit !
Un week-end loin de la folie de Los Angeles, loin des deadlines stressantes, des émotions à vif et des aléas inattendus de la vie. Exactement ce qu’il me fallait. Quand j’ai reçu le message d’invitation pour passer quelques jours dans un chalet perdu au milieu de la forêt, je n’ai pas hésité bien longtemps avant de balancer mes affaires dans un sac. Adios la cité des anges ! Direction… Hum, je n’ai pas regardé l’adresse mais le message mentionne une petite maison au calme au milieu de la forêt. Pas de réseaux, pas d’internet. Certains payent des fortunes pour ce genre de week-end détox !
Un dernier message à la famille et j’embarque avec la bande pour trois jours de festivité. Le coffre du mini-van est plein victuailles, de quoi tenir bien plus qu’un week-end. De la nourriture, des boissons, de l’alcool. Beaucoup d’alcool. On dirait des adolescents qui préparent leur première fête mais je crois qu’on a tous besoin de décompresser. L’ambiance est détendue sur le chemin, on se raconte les derniers potins, on chante, on rit. Le week-end commence sous les meilleurs auspices.
Après quelques heures de route, je descends du van, pas mécontent de pouvoir enfin me dégourdir les jambes. Mon regard tombe sur un chalet, tout en bois, entouré par des arbres. Un peu lugubre mais ça fera l’affaire. Le groupe décide d’aller explorer l’intérieur avant de décharger toutes nos affaires. L’immense pièce de vie est à l’image de l’extérieur, sombre et daté. Le chalet n’a pas l’air d’être habité souvent si on se fie à la légère odeur de renfermé.
C’est… Hum… Charmant. On va commencer par aérer !
Mon rire fait écho à celui d’une autre personne qui part vers la cuisine pendant que je m'attelle à ouvrir les lourdes persiennes en bois du salon. De toute façon, on est là pour quelques jours seulement.
Avatar : Nadiv Molcho. Messages : 245 Dollars : 30 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Lyss, Zeka, Cain, Grif, Navy, Tiag, Napo, Kiss, Wolf, Ares, Cora, Tair. Crédits : Apollo. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 1992, j'avais 3 ans et mon doudou dans les bras, presque , j'habite : un bel appart bien rempli de babioles, un étage au-dessus de ma curieuse boutique, au 456 Mulholland Street . On me surnomme : Sieg, Marr, si tu mélanges les deux ça fait mon prénom, c'est rigolo , j'ai : 33 ans, toutes mes dents, et même une petite en or à l'arrière de la bouche, approche-toi tu verras - 33 ans, donc et je suis né.e le : 28/11/1989 . Je suis : célibataire, en mode sultan qui a vu s'enchaîner mille conquêtes mais aimerait maintenant trouver le joyau, et : homosexuel affirmé . Aujourd'hui, je suis : gérant d'un cabinet de curiosités (Treasureland) et expert en art le jour, pilier du marché noir la nuit. Mais chut, hein. Promis ?
grand menteur, même affabulateur, imagine facilement évadées glorieuses et colorées, puisque les histoires se vendent mieux quand elles sont embellies ou inventées &&& tient un cabinet de curiosités, antiquaire ou piège à touristes en façade, pour les amateurs d'art les plus experts le jour, et pour la vente d'oeuvres volées la nuit, entre deux pochons de drogue qu'il laisse s'écouler, puisqu'il s'offre à les stocker &&& grand enthousiaste, le soleil de la ville brille depuis qu'il y est arrivé, gamin, à la mort de ses parents, chez un oncle qui l'a initié à la vie à l'Indiana Jones &&& a connu foule de draps et de râlements masculins, égarant sa virginité très tôt avec un premier amour déjà oublié, amours envolées maintenant qu'il attend l'âme soeur et le il était une fois &&& magasin le jour, donc, marché noir la nuit, la couronne sur sa tête puisqu'il en est l'un des piliers. se perd souvent à dire que même sans l'argent de la drogue, la marché d'oeuvres en lui-même suffirait à se faire de beaux cadeaux &&& se rend régulièrement chez des clients, nouveaux ou habitués, pour estimer des biens rares ou des collections &&& la gouaille, maîtrise les mots comme personne avant lui, toujours ce sourire insolent aux lèvres, qui illumine ou les embrase de rage &&& fervent adepte de musique, même quand il parle à ses congénères c'est avec au moins un écouteur dans les oreilles, le rythme l'apaise et il surfe sur les mots. &&& fana de pâtes et de milkshake, c'est quasiment toute son alimentation d'ailleurs, il se perd souvent dans des soirées où les boissons sont moins lactées, et les spaghettis plus aromatisés.
Paysage qui défile sous mes yeux, alors que je les rouvre enfin. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais j’ai le sentiment d’être en pleine forme, comme si plus aucune nuit ne serait dédiée à Morphée. Frêle sourire qui s’esquisse quand j’entends une voix vanner mon visage à peine réveillé, mes cils se rabattent, et je m’endors à nouveau sans vraiment me contrôler, trompant déjà ma promesse d’être éveillé pour toujours, mais le visage offert aux quelques derniers rayons de soleil et aux premières effluves alcoolisées.
Le mouvement de balancier du van sur un trou de terre me fait émerger à nouveau, alors que les bouteilles s’entrechoquent à l’arrière. Je regarde autour de nous : des arbres à perte de vue, une sorte d’immense armée de feuilles et de branches, pas encore tout à fait orangées, l’automne ne faisant finalement que débuter. Je suis le premier à sortir de la voiture, à grimacer quand mes semelles s’enfoncent dans une boue moite, pas tout à fait solide, sans être tout à fait liquide non plus. Mes bras se jettent vers le ciel, alors que je m’étire, mes longues jambes bien contrariées d’avoir été privées de se déplier pendant si longtemps. J’ai l’impression d’être dans un autre pays, tant le paysage est différent de la ville : le vert des cimes succède au gris du bitume, au beige de la plage, alors que l’azur des cieux s’étale jusqu’à se refléter sur un lac que j’imagine plus loin, face à l’écho des bruits aux alentours. J’entends qu’on décharge derrière moi le van, et soucieux de ne pas passer pour un rustre auprès de ces amis que je n’ai pas vu depuis très longtemps, je pare mon bras gauche d’un pack de bières et d’un sac de courses, au bout des doigts, et de l’autre, j’agrippe deux Eastpak, une valise, avant de suivre Alex et les autres à l’intérieur.
Je me pince le nez après avoir tout déposé dans un coin de la pièce, alors que les volets s’ouvrent. Déformation professionnelle, alors que mon doigt vient frotter une vieille lampe à huile sur une commode. Sans que je ne sache pourquoi, l’objet m’obsède ; soudainement, une vision me fait reculer, le cœur battant à tout rompre, persuadé d’avoir vu des flammes rouge sang s’allumer. Je ferme les yeux, respire un coup, et plus de brasier. Tant mieux. Je ne dois pas être tout à fait réveillé. Le parquet grince un peu, alors que je retourne dehors chercher les affaires de mes collègues – j’ai bien plus hâte de mettre les pieds dans l’eau gelée, une bouteille à la main, que d’explorer la bâtisse entière, petite mais remplie d’ondes qui me font froid dans le dos.
Spoiler:
Siegmar se réveille d’un long sommeil pesant. Il commence à vider le van, et a une étrange vision en regardant les antiquités du chalet. Il sort de la maison un peu penaud et sans parler de son mauvais feeling aux autres.
Astrée Esposito
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Signe Astro : Métier : Prénom : Cassiopée
Avatar : Eliza Taylor Messages : 242 Dollars : 0 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Aria et les autres Crédits : loudsilence. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 3 ans , j'habite : un duplex avec ma fille . On me surnomme : Ast' , j'ai : 32 ans et je suis né.e le : 12 décembre 1989 . Je suis : célibataire et : bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : institutrice
Astrée n'est pas mon véritable prénom, en fait rien de ce que je raconte n'est vrai, je vis cachée depuis plus de sept ans
Un weekend loin de tout, c'est tout ce dont j'avais besoin en ce moment. Alors je n'avais pas hésité longtemps à accepté la proposition. Le trajet avait été un petit peu long, moi qui n'aimait pas particulièrement la voiture, j'avais tenté en vain de m'endormir avant de me décider à me concentrer sur le paysage, à savoir des arbres, beaucoup, qui défilent devant mes yeux à toute allure. On s'enfonçait de plus en plus dans la forêt, nous éloignant de la civilisation. Bientôt, mon portable indiqua qu'il n'avait plus de réseau, nous n'avions pas intérêt à nous perdre, faute de quoi on se retrouverais dans la merde. Enfin, le van s'arrête à destination. Un chalet assez désuet, qui semblait tout droit sortir d'il y a une centaine d'année « C'est ... charmant ? » Réflexion qui fait écho à Alex à l'intérieur du chalet. De toute évidence, l'intérieur est aussi daté que l'extérieur le promet. Je suis donc les autres à l'intérieur. En effet, c'est assez minimaliste et ancien. Je regarde autour de moi alors qu'on s'agite à mes côtés. Je finis par me bouger un peu pour ouvrir les volets à mon tour. Du coin de l'œil, j'aperçois Siegmar qui sort un peu rapidement. J'hésite quelques secondes avant de lui emboîter le pas. Je le retrouve devant le van, je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu'il n'est plus tout à fait le même que lors du trajet. Je viens doucement poser une main sur son épaule avant de demander « Tu vas bien ? T'es sortit plutôt vite » Même trop vite, comme si un truc l'avait poussé hors de la maison. Alors que j'attends une réponse, un craquement se fait entendre dans les bois, je tourne la tête vers le bruit, mais rien. Je frissonne avant de secouer la tête doucement, c'est stupide, nous sommes au milieu de nul part, il y a forcément des animaux qui trainent, ça doit être ça. Alors je me concentre de nouveau sur mon compagnon de weekend. J'ai besoin de me changer les idées, je commence à ne pas trop apprécier cet endroit et je suis en train de me demander qui a eu la brillante idée de nous emmener ici, un petit truc moins paumé en bord de mer aurait été tout aussi sympa.
Alejandro Flores
In the air tonight
Signe Astro : Métier : Prénom : DianaJess
Avatar : Diego Luna Messages : 335 Dollars : 0 Date d'inscription : 03/11/2021 Multicompte(s) : Benjamin Patterson, Juan Heredia, Peter Lloyd, Nicolae Townsend, Elliot Wilson, Keazy Brown, Camille Reynaud, Jésus L. Diaz, Adrian Vacaresco, Samuel Wilson Crédits : Ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : quelques mois , j'habite : en colocation forcée avec Scott . On me surnomme : Alex , j'ai : 39 ans et je suis né.e le : 12 juin 1983 . Je suis : en et : bisexuel . Aujourd'hui, je suis : technicien chimiste, mais actuellement je vis de petits boulots
« Rappelez-moi qui a eu l’idée d’organiser un week-end ici, déjà ? » Nash bougonne, le nez en l’air, l’expression un peu renfrognée. Il n’a pourtant pas hésité bien longtemps avant d’accepter de rejoindre ses amis pour un week-end loin de tout, juste le temps de s’assurer que rien ne s’écroulerait pendant son absence. Après tout, il avait bien besoin d’une pause, on ne cessait de le lui répéter. Mais maintenant qu’il était là, il se demandait si c’était réellement une bonne idée dont il ne savait même plus vraiment de qui elle était ; il avait simplement répondu présent quand le message avait été lancé sur la maison de groupe. Sauf que la personne en question avait oublié de préciser que le petit chalet sympathique était loin d’être de la première fraîcheur. Bah, qu’à cela ne tienne. Malgré son éternel grincement de dents, Nash fait contre mauvaise fortune, bon cœur et se charge de quelques sacs de victuailles et autres bouteilles d’alcool en plus de celui de ses affaires en sortant du van et interpelle Astrée et Siegmar qui sont visiblement ressortis aussitôt qu’ils sont rentrés : « Bon, les tourtereaux, on prend racine ? » Aucun sous-entendu dans les propos de Nash, les autres ne connaissent assez pour savoir qu’il a tendance à appeler tout duo, qu’ils soient du même genre ou de genre différents, par ce petit surnom.
Déjà, Nash fait ses premiers pas dans la maison en grimaçant un sourire à Alex : « Oublie pas qu’on est plus sous le beau soleil de Los Angeles, ici, qu’on se gèle pas tout le week-end. » On le dit souvent rabat-joie, lui préfère se qualifier de réaliste. Mais ils se connaissent aussi depuis assez longtemps pour savoir que ce n’est là qu’une façade dû aux aléas de la vie. En réalité, dès qu’ils seront installés, dès qu’ils pourront simplement penser à s’amuser sans avoir à se prendre la tête sur d’autres détails, Nash se déridera. Il n’est jamais le dernier pour faire la fête ; il faut simplement qu’il ait l’occasion de se mettre dans la bonne ambiance.
Après avoir vaguement rangé ce qui devait être mis au frais, s’assurant que les boissons y avaient toute leur place, Nash fini par se tourner vers les escaliers en interpellant les autres à la volée : « Je vous préviens, je prends la première chambre que je trouve, c’est pas comme si on allait beaucoup dormir de toute façon ! » Mais alors qu’il se trouve au pied des escaliers, c’est un bruit à l’étage qui l’interpelle. Un craquement, assez fort pour lui faire relever la tête, comme si un pied trop lourd venait de se poser sur le parquet ancien. Assez fort, même, pour légèrement faire sursauter Nash. Mais aussitôt, il se résonne ; ça n’est rien d’autre qu’une vieille maison. Il valait mieux qu’ils aient tous le sommeil assez lourd. Enfin, l’alcool se chargerait aussi de les assommer.
Two Faces
Drop in the ocean
Signe Astro : Métier : Prénom : no names
Avatar : no faces Messages : 27 Dollars : 0 Date d'inscription : 26/02/2020 Crédits : praimfaya Débarqué.e à Los Angeles depuis : always . On me surnomme : no nickame , j'ai : a million ages et je suis né.e le : someday . Je suis : haters of humans et : each one . Aujourd'hui, je suis : all-fonctions
Vous êtes tous les deux à l’intérieur de la maison avec trois autres de vos comparses. Vous avez visiblement décidé d’ouvrir les fenêtres pour arrêter, laissant le vent froid grincer à travers les vieux rideaux d’un tissus au motif très vintage. Le courant d’air fera claquer la porte et un de vos amis, le plus jeune, panique et fonce dessus pour la rouvrir, mais elle resta bloquée. Il insiste, tire, appuie sur la clanche de manière insistante mais elle semble verrouillée. Le courant d’air sembla avoir cassé la serrure. Vous voilà donc enfermé dedans alors que trois de vos amis sont resté coincé dehors. Il vous reste plus qu’à trouvé une solution pour pouvoir donner l’accès à vos amis, sachant qu’il y a des barreaux aux fenêtres. Mais peut être faudra-t-il s’inquiéter du bruit à l’étage… Car le bruit que Nash a entendu se repètera plusieurs fois, peut être moins audible, mais bien là.
Vous avez trois choix : 1. Fouiller le rez-de-chaussée pour trouver des outils pour réparer la porte. 2. Tenter d’accéder au mini garage qui mène à une porte de garage qui pourrait potentiellement s’ouvrir. 3. Monter à l’étage et tenter d’accéder au balcon ayant un escalier menant à l’arrière de la maison.
Vous vous retrouvez donc dehors avec un dernier de vos camarades qui sembla traîné à récupérer ses bagages dans la voiture. Trop préoccupé vous n’y faite pas vraiment attention, surtout lorsque celle-ci fu attirés par la porte qui se claque. Vous vous êtes surement précipité pour voir ce qui se passe et vous comprendrez bien vite que celle-ci est bloqué. Vous tentez de communiquer mais un cri vous stoppa dans votre élan, vous vous retournez donc d’un coup. Le premier réflex est donc de vous diriger vers la voiture et votre congénère semble avoir disparu alors qu’il reste son sac sur le sol. Plus aucune trace de lui. Vous êtes donc coincé dehors et un de vos amis à disparu. Qu’allez-vous faire sachant que vous êtes coincé dehors pour le moment ?
Vous avez deux choix : 1. Vous gardez votre calme et appelez votre ami sans trop vous enfoncer ? 2. Ou allez vous partir à sa recherche en vous enfonçant dans la forêt ?
Siegmar Luther
boîte de pandore et cœur doré
Signe Astro : Métier : Prénom : Apollo.
Avatar : Nadiv Molcho. Messages : 245 Dollars : 30 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Lyss, Zeka, Cain, Grif, Navy, Tiag, Napo, Kiss, Wolf, Ares, Cora, Tair. Crédits : Apollo. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 1992, j'avais 3 ans et mon doudou dans les bras, presque , j'habite : un bel appart bien rempli de babioles, un étage au-dessus de ma curieuse boutique, au 456 Mulholland Street . On me surnomme : Sieg, Marr, si tu mélanges les deux ça fait mon prénom, c'est rigolo , j'ai : 33 ans, toutes mes dents, et même une petite en or à l'arrière de la bouche, approche-toi tu verras - 33 ans, donc et je suis né.e le : 28/11/1989 . Je suis : célibataire, en mode sultan qui a vu s'enchaîner mille conquêtes mais aimerait maintenant trouver le joyau, et : homosexuel affirmé . Aujourd'hui, je suis : gérant d'un cabinet de curiosités (Treasureland) et expert en art le jour, pilier du marché noir la nuit. Mais chut, hein. Promis ?
grand menteur, même affabulateur, imagine facilement évadées glorieuses et colorées, puisque les histoires se vendent mieux quand elles sont embellies ou inventées &&& tient un cabinet de curiosités, antiquaire ou piège à touristes en façade, pour les amateurs d'art les plus experts le jour, et pour la vente d'oeuvres volées la nuit, entre deux pochons de drogue qu'il laisse s'écouler, puisqu'il s'offre à les stocker &&& grand enthousiaste, le soleil de la ville brille depuis qu'il y est arrivé, gamin, à la mort de ses parents, chez un oncle qui l'a initié à la vie à l'Indiana Jones &&& a connu foule de draps et de râlements masculins, égarant sa virginité très tôt avec un premier amour déjà oublié, amours envolées maintenant qu'il attend l'âme soeur et le il était une fois &&& magasin le jour, donc, marché noir la nuit, la couronne sur sa tête puisqu'il en est l'un des piliers. se perd souvent à dire que même sans l'argent de la drogue, la marché d'oeuvres en lui-même suffirait à se faire de beaux cadeaux &&& se rend régulièrement chez des clients, nouveaux ou habitués, pour estimer des biens rares ou des collections &&& la gouaille, maîtrise les mots comme personne avant lui, toujours ce sourire insolent aux lèvres, qui illumine ou les embrase de rage &&& fervent adepte de musique, même quand il parle à ses congénères c'est avec au moins un écouteur dans les oreilles, le rythme l'apaise et il surfe sur les mots. &&& fana de pâtes et de milkshake, c'est quasiment toute son alimentation d'ailleurs, il se perd souvent dans des soirées où les boissons sont moins lactées, et les spaghettis plus aromatisés.
Je sursaute quand une main se pose sur mon dos, relâchant le sac (heureusement rempli uniquement de serviettes de bain) qui se jette dans le sol boueux. Grande respiration, soupir, quand je me retourne, faisant face à Astrée. Son ton m'apaise un peu plus. Tu n'es pas seul, Siegmar. Rien ne peut arriver de grave quand on est cinq potes, en plein milieu de la forêt, avec de quoi faire boire trois régiments, après tout. "Ça va. Je suis pas complètement réveillé, et..." Pas le temps de terminer ma phrase, et tant mieux : je ne veux pas t'exposer à d'étranges visions qui sont sans doute le simple résultat de ma fatigue. La porte de l'entrée claque, et je ne peux m'empêcher de râler. "Les gars, c'est mon nom sur la caution, faites attention !" Les anses du sac entre les doigts, je m'approche du chalet, prêt de nouveau à faire la morale à ceux de mes amis qui sont restés à l'intérieur. Main sur la poignée : elle refuse de tourner. Merde. J'essaie à nouveau, avant de taper, persuadé qu'ils se sont enfermés à l'intérieur. Mes poings contre la porte, bien loin de mes bonnes résolutions, marque un rythme plus intense. Toc. Toc. Toc. "Astrée, tu peux essayer de venir ouvrir ? Ou regarder s'il y a quelqu'un qui puisse nous débloquer ça de l'intérieur ?" Je fais un signe de tête vers les fenêtres, invitant ma comparse à regarder aux carreaux. Toc. Toc. Et un cri.
Ça vient de derrière nous, et cette fois, le fond du sac vient racler le bois du porche. "C'était quoi ça ?" Je dévale les quelques marches, alors que notre dernier protagoniste est introuvable. "Peter, mec, t'es passé où ?" Je fais le tour de la voiture, et brusquement, des maux de tête. Douloureux. Fulgurants. Index qui viennent masser mes tempes, alors qu'un bruit venant des fourrés s'intensifie, sans que je vois la moindre feuille remuer. Je dois me faire des idées. "Il est où ce con ?" Quelques pas vers les buissons, plus lent qu'à l'accoutumée, affaibli par mes migraines. "Peter, si t'es parti pisser, c'est pas drôle, tu nous fais flipper. Y a des toilettes à l'intérieur !" Pas de réponse. Je cherche le regard d'Astrée. "Tu penses pas qu'on devrait aller le chercher ? C'est peut-être juste une blague, mais j'ai l'impression qu'il se passe un truc chelou."
Avatar : Zayn Malik Messages : 638 Dollars : 0 Date d'inscription : 28/01/2022 Multicompte(s) : Styx & Will & Dim & Low & Jo Crédits : march-mars Débarqué.e à Los Angeles depuis : Je viens tout juste de sortir de l'avion ! , j'habite : En plein cœur de Central dans un petit studio au dernier étage d'un immeuble. J'aime l'animation, le bruit, la foule, la couleur des néons dans la nuit et les odeurs de L.A. by night.. . On me surnomme : Alex est déjà mon surnom mais je suis ouvert à tous les petits noms ridicules , j'ai : 34 ans et je suis né.e le : 26 juillet. . Je suis : submergé par des eaux venus tout droit du passé et : exclusivement attiré par les hommes . Aujourd'hui, je suis : Responsable de la communication digitale pour une stat up qui va bientôt faire beaucoup de bruit !
Je lève les yeux au ciel et esquisse un sourire à la réflexion de Nash. Il est aussi râleur que je suis joviale. C’est peut-être pour ça qu’on est pote depuis aussi longtemps, les contraires s’attirent à ce qu’il paraît. Ouai, t’inquiète. Je fais disparaître l’odeur de renfermé et je referme. Ca nous fera une bonne excuse pour picoler au coin du feu.Clin d'œil complice avant de reporter mon regard sur les arbres qui me font face. J’entends les autres sortir pour aller chercher les sacs restants mais quelque chose retient mon attention. J’ai l’impression que quelqu’un ou quelque chose me fixe, à l'abri des sapins qui commencent à prendre une teinte sombre. Je plisse les yeux pour mieux voir. Au moment où je crois voir apparaître un visage, la porte d’entrée claque derrière moi me faisant sursauter. Putain !
La main sur le cœur, mon visage va de la porte à l’extérieur. Je suis sûr que quelqu’un m’observait. Mais mon cerveau refuse de fonctionner normalement, il est comme paralysé par une peur qui tisse sa toile dans mon ventre sans que je puisse faire intervenir la partie rationnelle de mon être. Mes pieds me font traverser le salon en quelques enjambées précipitées et mes mains se referment autour de la poignée. Mais la clanche pend dans le vide, le mécanisme a dû casser sous l’impact du choc. Merde. Des coups s’abattent de l’autre côté mais mes mains s'activent toujours dans le vide. Pas la peine de s’énerver les gars, la serrure est pétée !
Je lâche un soupire avant que ma respiration se bloque en me retournant. Je crois même que mon cœur loupe un battement en observant cette pièce qui est à la fois identique et tellement différente. L'ambiance est devenue lourde dans la pièce et la première chose qui me choque est les fenêtres qui sont maintenant fermées. Sans avoir à m’approcher, mon intuition me hurle qu’il sera impossible de les ouvrir. Sans quitter les barreaux qui bloquent notre unique chance de sortie, j’avance doucement jusqu’à Nash qui se tient toujours au pied de l’escalier. Nos corps immobiles, nos visages fixant le palier du premier étage, plongé dans l’obscurité. Qui est au-dessus ?Des grincements. Le parquet craquer comme si quelqu’un arpentait les chambres. Pourtant, je suis sûr que nous sommes que deux dans la maison, les autres sont retournés vers le van. J’avale difficilement ma salive et tire doucement sur la chemise de mon ami qui n’arrive pas à détourner le regard.
Nash, faut qu’on sorte d’ici. Je le sens pas. Viens, faut qu’on trouve quelque chose pour ouvrir la porte.Je tire une dernière fois sur la manche de sa chemise avant d’ouvrir tous les tiroirs de la cuisine à la recherche de quelque chose qui pourrait me permettre d’ouvrir cette foutue porte. Bingo, un vieux pique à glace piqué de rouille se dévoile sous plusieurs torchons aux couleurs passées. Je peux tenter de faire sauter la serrure avec mon arme de fortune. Je me tourne vers Nash et hausse un sourcil pour lui demander son avis. Au-dessus de nos têtes, les craquements se font toujours entendre, mettant nos nerfs à rude épreuve.
Avatar : Diego Luna Messages : 335 Dollars : 0 Date d'inscription : 03/11/2021 Multicompte(s) : Benjamin Patterson, Juan Heredia, Peter Lloyd, Nicolae Townsend, Elliot Wilson, Keazy Brown, Camille Reynaud, Jésus L. Diaz, Adrian Vacaresco, Samuel Wilson Crédits : Ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : quelques mois , j'habite : en colocation forcée avec Scott . On me surnomme : Alex , j'ai : 39 ans et je suis né.e le : 12 juin 1983 . Je suis : en et : bisexuel . Aujourd'hui, je suis : technicien chimiste, mais actuellement je vis de petits boulots
Nash lève les yeux au ciel devant ce qu’il appelle souvent de l’inconsistance de la part d’Alex, mais avec un sourire aux lèvres qui dément tout possible agacement. Il serait un peu plus près, il l’aurait sans doute légèrement bousculé du coude, sans bien sûr lui faire mal, juste pour appuyer ses propos : « Comme si t’avais besoin d’une excuse comme ça pour picoler. Je te rappelle notre dernière soirée à Miami ou ?... » Oui, c’était il y a longtemps, près de quinze ans. Oui, il n’était pas dans un meilleur état à ce moment-là et la très grande majorité de la soirée et de la nuit qui avait suivi restaient très floues dans son esprit. Mais cela ne l’empêchait pas, de temps à autre, de charrier l’un ou l’autre de ses amis avec cette fameuse nuit et, puisqu’il était le dernier à avoir conservé sa lucidité, il n’était pas difficile de leur faire croire qu’il avait plus de souvenirs qu’il ne voulait bien le dire. Une petite plaisanterie sans trop de conséquences, non ?
Mais déjà, la porte claque et l’attention de Nash, déjà en partie distraite par ses chamailleries avec Alex, fini de se détourner du premier étage et du bruit qu’il a cru entendre par le claquement brutal de la porte. Aussitôt, Nash se détourne totalement, laissant son sac retomber au sol sans plus y faire attention sur le moment. Parce que déjà, l’ambiance dans la petite maison s’est tendue. Déjà, on sent comme un vent de panique, qui ne manque pas de frapper Nash aussi bien que tous les autres, alors qu’on secoue la porte de part et d’autre pour tenter d’entrer. Déjà, il sent l’atmosphère qui s’alourdit venir peser sur ses épaules, avec un poids qui le fige sur place.
Sauf que Nash est quelqu’un de rationnel et, il se plaît à le croire au moins un peu, d’intelligent. Comme le dit si bien Alex, il ne sert à rien de paniquer, même si le vent qui agite leur petit groupe paraît plus glacial encore que l’air du dehors. Alors Nash prend simplement le temps de hocher la tête, comme pour lui-même, avant de venir à la rencontre de son ami : « T’inquiète, ce doit être Lynn, non ? Elle n’a pas l’air d’être là. » Etrange, étant donné que connaissant la jeune femme, elle aurait dû être terrifiée par l’ambiance un peu trop lourde de la pièce et les mille bruits du bois qui vient grincer à leurs oreilles. D’ailleurs, Nash ne peut s’empêcher de se demander où sont passé les autres ; il était persuadé qu’ils étaient au moins cinq à l’intérieur. Bah… Ils doivent probablement eux aussi être parti en exploration. Nash avait vraiment un esprit bien trop rationnel pour se laisser aller à la terreur, malgré la tension qui habite ses muscles. Et sa main vient se poser sur le bras d’Alex quand celui-ci s’agrippe à son bras : « Hey, t’inquiète mec, c’est juste le vent qui a claqué la porte. On va trouver une autre entrée, c’est tout, et tu verras que dans une heure tu te foutras de toi-même de t’être inquiété comme ça. » Il ne pouvait y avoir rien d’autre. Pourquoi est-ce qu’il se passerait quoi que ce soit ? C’était juste un week-end entre amis, tout ce qu’il risquait c’était à la limite une ou deux engueulade comme ils en avaient parfois le secret. Mais malgré l’ambiance lugubre, il ne pouvait rien se passer de plus, n’est-ce pas ?
Avatar : no faces Messages : 27 Dollars : 0 Date d'inscription : 26/02/2020 Crédits : praimfaya Débarqué.e à Los Angeles depuis : always . On me surnomme : no nickame , j'ai : a million ages et je suis né.e le : someday . Je suis : haters of humans et : each one . Aujourd'hui, je suis : all-fonctions
Vous vous inquiétez de ce qui se passe à l’étage mais finalement vous décidez de choisir l’option du rez de chaussée. Vous y trouvez donc un pic à glace, ce qui peut être ce qu’il vous faut, mais espérons que la serrure ne serait pas définitivement brisée et laisse rentrer n’importe qui… Pendant vos recherches, même si Nash semble avoir fait attention à votre ami présent avec vous, il finit par ne plus être dans votre champs de vision. Tellement stressé, par la porte et le bruit qu’il n’a pas pû s’empêcher de partir voir à l’étage pour avoir le cœur net, que ce n’était rien. Vous parvenez à ouvrir la porte mais à peine vous avez eu le temps de le faire que vous l’entendez hurler, il dévale alors les escaliers et s’agrippe à Nash de toute ses forces. « Le bruit !! Le bruit c’est… !! » Il est tellement essoufflé et terrorisé qu’il n’arrive pas à prononcer le moindre mot. Et bien vite vous voyez débouler en grognant un raton laveur qui semblait peu content qu’on l’ait sorti de sa tanière, il feule devant vous et disparait à travers la porte d’entrée. Vous appelez donc vos amis encore dehors pour qu’il rentre mais vous n’entendez pas de réponse, ils sont peut être parti faire un tour, vous vous diriez.
Il ne vous reste plus qu’à vous installer en les attendant. Après tout, vos inquiétudes se sont évaporé en voyant que ce n’était qu’un simple raton laveur. Un s’attelle à allumer le feu, l’autre à peut être même les choses au frais. C’est là que vous vous rappelez qu’il faut aller allumer le générateur, qui est au fond du jardin, à l’arrière de la maison. Vous y allez, et vous trouvez cela étrange, il y avait des traces de pas sur le sol alors que personne n’est venu ici depuis des mois. Vous rentrerez ensuite et commencez donc à faire la fête.
Vous vous inquiétez quand même du retard de vos amis, que décidez vous de faire à ce sujet ?
1. Vous les appelez plusieurs fois, mais sans réponse et sans réseau, vous vous dites qu’ils doivent juste se promener ou faire les cons dans un coin du lieu sans trop vous poser de question. 2. Vous décidez d’aller les chercher, passant d’abord par les voitures et puis par la forêt.
Vous criez le nom de votre ami et tenter de l’appeler mais vous finissez donc par vous enfoncer dans la forêt alors que la nuit tombe. Se passent alors de longues minutes et la nuit tombe de plus en plus. Cela devient de plus en plus inquiétant, d’autant plus que vous n’avez aucune réponse ni signe de votre ami pour le moment. Dans l’obscurité, vous ne remarquerez pas tout de suite le mouvement derrière vous. Cependant vous finissez par tomber sur un lieu dont vous ignorez jusque là l’existence. Un vieux camping avec des vieilles roulottes complètement abandonné. C’est glauque, mais peut être que votre ami se trouve là-bas. Vous avancez et finissez par trouver son téléphone avec l’écran complètement brisé sur le sol. Vous le ramassez et vous continuez alors jusqu’à ce que d’un coup le corps tombe devant vos yeux, pendus la tête par le bas. Vous n’aurez pas vraiment de doute : votre ami est mort.
TW sang, meurtre:
Vous voyez alors du sang couler dans son cou et partout sur le visage. Il a été poignardé à plusieurs reprises par une lame large et contendante.
Vous paniquez donc et vous faites vite demi-tour dans l’espoir de prévenir vos amis que quelque chose d’horrible s’est passé et qu’il faut appeler la police. Mais en partant en chemin, vous entendez des bruits de pas. Un homme immense habillé d’une salopette grise recouverte de terre et de sang, portant un masque de jockey et une machette à la main apparait alors non loin de vous semblant chercher les lieux.
1. Vous vous cachez, ce qui semble marché mais Astrée a fait tomber son téléphone dans la précipitation et vous fait repérer. 2. Vous décidez de fuir en courant le plus vite possible mais l’homme vous repère et vous pourchasse et il attrape le bras d’Astrée, elle arrive à se détacher mais il vous suit de très près.
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Sam 1 Oct - 23:09
! On vous indiquera juste qui a survécu ou non. 
