Avatar : Zayn Malik Messages : 638 Dollars : 0 Date d'inscription : 28/01/2022 Multicompte(s) : Styx & Will & Dim & Low & Jo Crédits : march-mars Débarqué.e à Los Angeles depuis : Je viens tout juste de sortir de l'avion ! , j'habite : En plein cœur de Central dans un petit studio au dernier étage d'un immeuble. J'aime l'animation, le bruit, la foule, la couleur des néons dans la nuit et les odeurs de L.A. by night.. . On me surnomme : Alex est déjà mon surnom mais je suis ouvert à tous les petits noms ridicules , j'ai : 34 ans et je suis né.e le : 26 juillet. . Je suis : submergé par des eaux venus tout droit du passé et : exclusivement attiré par les hommes . Aujourd'hui, je suis : Responsable de la communication digitale pour une stat up qui va bientôt faire beaucoup de bruit !
On ne peut pas dire que ce week-end détente entre potes soit celui que j’avais imaginé. Le lieu est propice aux imaginations fertiles, dont la mienne qui tourne à plein régime. Les bruits de pas, les planchers qui grincent, les serrures qui se bloquent, tout est réuni pour que ça tourne à la paranoïa générale. Mais Nash à raison (que personne ne lui rapporte ces paroles), dans une heure on rigolera de ce merdier et le groupe pourra se foutre de ma gueule en descendant des bières. Mais même maintenant que la porte est ouverte et que le raton-laveur qui nous a foutu les jetons a décampé, je ne peux m'empêcher de me sentir mal à l’aise dans cette maison. Un mauvais préssentiment me colle à la peau et je peine à retrouver ma bonne humeur.
Mon pic à glace toujours en main, j’inspecte l’extérieur qui semble désert. Je n’ai aucune idée de l’endroit où se trouve le reste de la bande. Ils ont dû aller repérer les alentours et le lac pour mettre au point le programme du week-end. De retour dans le salon, je laisse tomber mon arme de fortune sur la table et essuie mes mains piquées de rouille sur mon jean.
Bon, les autres sont parties en balade. Tu t’occupes d’allumer le feu et je pars à la recherche du générateur ?
Aucune idée de comment allumer une cheminée. Je suis plus habitué aux climats chauds et aux hôtels qu’à ce genre d’endroit. Pas sûr que Nash soit plus avancé que moi mais au pire, on pourra remettre notre flambée lorsque les autres auront décidé de se pointer. Un rapide détour par le garage m’apprend que le fameux générateur que je cherche ne se trouve pas dans la maison. Je profite de l’occasion pour sortir, contourner la maison et allumer une cigarette. La fumée nicotinée se mêle à une brume épaisse qui tombe sur la forêt, augmentant le sentiment d’angoisse qui me serre la gorge.
Mes baskets s’enfoncent dans l’herbe et le silence qui règne me frappe. Pas un bruit, pas un pépiement d’oiseaux. Étrange. Et toujours aucune trace des autres, ni à la voiture, ni derrière la maison. Mon dos se couvre de nouveau de frissons glacés.
Astrée ? Sieg ?
Je hausse les épaules devant l’absence de réponse et rejoint le cabanon dans le fond du jardin. La boue révèle des pas qui mènent jusqu’au générateur ce qui veut dire que Sieg est passé par là. Il aurait pu remettre l’électricité avant de se barrer ! Ne sachant pas comment fonctionne l’engin datant de plusieurs décennies, j’appuie sur plusieurs boutons et manettes avant d’entendre un bourdonnement familier. Je passe la tête par la porte et voit le salon s’illuminer. Victoire ! Le temps de terminer ma cigarette, je retourne dans le salon, le visage de nouveau illuminé par un sourire.
Let’s get the party started ! On va sortir des bières, ça les fera venir !
Avatar : Nadiv Molcho. Messages : 245 Dollars : 30 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Lyss, Zeka, Cain, Grif, Navy, Tiag, Napo, Kiss, Wolf, Ares, Cora, Tair. Crédits : Apollo. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 1992, j'avais 3 ans et mon doudou dans les bras, presque , j'habite : un bel appart bien rempli de babioles, un étage au-dessus de ma curieuse boutique, au 456 Mulholland Street . On me surnomme : Sieg, Marr, si tu mélanges les deux ça fait mon prénom, c'est rigolo , j'ai : 33 ans, toutes mes dents, et même une petite en or à l'arrière de la bouche, approche-toi tu verras - 33 ans, donc et je suis né.e le : 28/11/1989 . Je suis : célibataire, en mode sultan qui a vu s'enchaîner mille conquêtes mais aimerait maintenant trouver le joyau, et : homosexuel affirmé . Aujourd'hui, je suis : gérant d'un cabinet de curiosités (Treasureland) et expert en art le jour, pilier du marché noir la nuit. Mais chut, hein. Promis ?
grand menteur, même affabulateur, imagine facilement évadées glorieuses et colorées, puisque les histoires se vendent mieux quand elles sont embellies ou inventées &&& tient un cabinet de curiosités, antiquaire ou piège à touristes en façade, pour les amateurs d'art les plus experts le jour, et pour la vente d'oeuvres volées la nuit, entre deux pochons de drogue qu'il laisse s'écouler, puisqu'il s'offre à les stocker &&& grand enthousiaste, le soleil de la ville brille depuis qu'il y est arrivé, gamin, à la mort de ses parents, chez un oncle qui l'a initié à la vie à l'Indiana Jones &&& a connu foule de draps et de râlements masculins, égarant sa virginité très tôt avec un premier amour déjà oublié, amours envolées maintenant qu'il attend l'âme soeur et le il était une fois &&& magasin le jour, donc, marché noir la nuit, la couronne sur sa tête puisqu'il en est l'un des piliers. se perd souvent à dire que même sans l'argent de la drogue, la marché d'oeuvres en lui-même suffirait à se faire de beaux cadeaux &&& se rend régulièrement chez des clients, nouveaux ou habitués, pour estimer des biens rares ou des collections &&& la gouaille, maîtrise les mots comme personne avant lui, toujours ce sourire insolent aux lèvres, qui illumine ou les embrase de rage &&& fervent adepte de musique, même quand il parle à ses congénères c'est avec au moins un écouteur dans les oreilles, le rythme l'apaise et il surfe sur les mots. &&& fana de pâtes et de milkshake, c'est quasiment toute son alimentation d'ailleurs, il se perd souvent dans des soirées où les boissons sont moins lactées, et les spaghettis plus aromatisés.
Soleil qui se couche, pointille d’orangé et de mauve à travers les branches qui s’épaississent au fur et à mesure de notre avancée dans les bois. Pas un bruit, seulement des craquements, des roucoulements rarissimes d’oiseaux, et le silence qui revient, lourd, de plus en plus même à chaque pas. Si nos voix se faisaient l’écho l’une de l’autre au début, nos cris sont eux aussi devenus muets, alors que mes propres épaules commençaient à s’affaisser. C’était une blague de très mauvais goûts. J’étais quelques mètres devant Astrée, bien que nous essayions de ne pas trop nous distancer. Le sol, plus humide au cœur des bois, devenait mou, malléable, enfoncé sous nos semelles, sables mouvants maléfiques qui reflétaient à peine, par quelques gouttes, le ciel nocturne qui venait s’installer par petites touches. Autre reflet, vacillant, grisonnant : du métal. Je suis le premier à courir de nous deux, à me rapprocher de cet étrange endroit : une cavalcade de caravanes, à la carrosserie pastel bien délavée, teintée de rouille. Ma chaussure glisse, écrase en un bruit de bris. Un téléphone. Merde. "Astrée, j'ai le téléphone de Peter ! Viens, il doit être dans le coin." Je ne croyais pas si bien dire. Une branche craque au-dessus de nos têtes, arrache un cri à ma compagne de déroute, alors que le lourd paquet de l’arbre retrouve la gravité. De brusques éclats carmin. Je recule, horrifié, repoussant le corps, par réflexe. Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Je cherche ton regard, ne le trouve pas. "Il est mort. Putain. Qu’est-ce qu’il se passe ?" Pas le temps de jouer à la méditation, de contrôler mon souffle. Il faut se casser. Je tire Astrée par le bras, déjà. "Viens, on se casse. On reviendra avec les autres." Mes yeux se perdent tout autour, alors que mon cœur bat à tout rompre. "La chose qui lui a fait ça doit être dans le coin. Faut pas traîner. Putain, Astrée, viens !" Tu ne bouges pas, au début, alors que je baisse la tête pour fuir des iris le cadavre de mon pote. Pour ne pas réaliser, pour ne pas m'effondrer. Les bons moments, les beaux souvenirs, sont bien loin, face à la pâleur de cette peau, la rigidité de sa chute et du nœud de corde autour de son corps. Je suis le premier à détaler, mon pas étant bien plus agité qu’à l’aller. Marche rapide, la course attirerait les bruits, nous essoufflerait, et nous donnerait plus de risque de nous perdre. Je regarde moins souvent si tu es toujours derrière moi. Puis un nouveau craquement. Les oiseaux se taisent, leurs piaillements incessants s'éteignent. J'ai la tête qui tourne mais je le vois. Colosse gris, zébré de bordeaux et de boue. Une machette et un masque. Je ferme les yeux, une milliseconde seulement. Les rouvre. Il avance. Vite. Et je fais de même, tirant mon amie par la main avant de juste complètement partir en courant, nos doigts se déliant et fouettant les herbes et les ronces, sans aucune pensée. Animal en danger.
Avatar : Eliza Taylor Messages : 242 Dollars : 0 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Aria et les autres Crédits : loudsilence. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 3 ans , j'habite : un duplex avec ma fille . On me surnomme : Ast' , j'ai : 32 ans et je suis né.e le : 12 décembre 1989 . Je suis : célibataire et : bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : institutrice
Astrée n'est pas mon véritable prénom, en fait rien de ce que je raconte n'est vrai, je vis cachée depuis plus de sept ans
Je me sens mal, je sens qu'un truc ne tourne pas rond. Mais je suis mon camarade à travers les bois, faire demi tour maintenant, seule, ne serait pas une bonne idée. Et puis je ne vais pas le laisser non plus. Je ne peux pas abandonner un camarade seul dans cet endroit angoissant. Alors je suis le mouvement, en silence. Je fais attention à faire le moins de bruit possible mais chaque bruit qui résonne autour de nous m'angoisse. Je tremble, j'essaye de me calmer, en vain. Et puis devant moi Siegmar s'arrête. Je regarde le même endroit que lui, un téléphone. Celui de Peter, les paroles de mon ami font écho en moi, oui il ne doit pas être loin. Mais où sommes nous d'ailleurs. Je tourne la tête, une sorte de camping abandonné, des caravanes au couleurs délavées. Un endroit abandonné depuis un moment, sans aucun doute. Je frémis, le genre d'endroit où on a pas envie de s'éterniser « Mais qu'est ce qu'il fout ici » Si c'est pour nous faire une blague, je vais lui en coller une quand on le retrouveras. J'ai envie de partir, je sens qu'il faut qu'on se tire, je vais le dire quand soudain une chose tombe devant nous. Je hurle, je ne peux me retenir alors que je reconnais Peter, enfin, le corps de Peter. Il est couvert de sang, il ne bouge pas. Il est mort, c'est une évidence. Mon compagnon de galère le dit à voix haute. Je recule. Je tremble. Je suis perdue, me sent tellement impuissante. Siegmar dit qu'il faut partir, je suis d'accord mais mes jambes semblent refuser de coopérer. Je sens son bras qui me tire, je met quelques instant à réagir mais je finis par lui emboîter le pas. Alors qu'on marche en silence, j'entends un bruit derrière moi, quelqu'un nous suit. Soudain, j'entends un bruit plus fort et je l'aperçois. Un nouveau hurlement m'échappe alors que Siegmar continue de me tirer. Brusquement je sens que quelqu'un agrippe mon autre bras. Je hurle plus fort « Il me tient ! Il me tient » Je me débat de toute mes forces, finis par réussir à m'arracher de son étreinte aider par Siegmar qui me tire de l'autre côté. Mon cœur bat de plus en plus vite, je cours aussi vite que je peux mais j'entends l'autre toujours à nos trousses. On vas tous crever.
Avatar : Diego Luna Messages : 335 Dollars : 0 Date d'inscription : 03/11/2021 Multicompte(s) : Benjamin Patterson, Juan Heredia, Peter Lloyd, Nicolae Townsend, Elliot Wilson, Keazy Brown, Camille Reynaud, Jésus L. Diaz, Adrian Vacaresco, Samuel Wilson Crédits : Ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : quelques mois , j'habite : en colocation forcée avec Scott . On me surnomme : Alex , j'ai : 39 ans et je suis né.e le : 12 juin 1983 . Je suis : en et : bisexuel . Aujourd'hui, je suis : technicien chimiste, mais actuellement je vis de petits boulots
Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Une phrase d’une évidence à toute épreuve, qui n’avait pourtant de cesse de lui tourner en tête, comme s’il tentait lui-même de s’en convaincre. Parce que malgré sa belle assurance, malgré ses mots rassurants et son attitude sûre de lui, il y a une partie de son esprit qui reste concentrée sur les derniers événements, en proie à une hyper vigilance qui, s’il en a l’habitude au vu de ses activités passées, ne s’était pas montrée aussi accrue depuis de nombreuses années. Pour autant, il ne croit pas bon de l’écouter. Il doit agir de manière rationnelle, non ? C’est ce qu’on attend de lui, rien d’autre. Et la rationalité veut que tous ces événements étranges aient des explications logiques. La porte ? Un vieux mécanisme grippé. Leur ami qui disparaît ? Un exploration hasardeuse. Et le bruit à l’étage ?...
Et bien, pour cela aussi, il y a une réponse qui finit par débarquer et se jeter sur lui en lui agrippant le bras. Si, sur le coup de la surprise, Nash ne peut s’empêcher de laisser échapper un bref cri en sursautant, il ne tarde néanmoins pas à identifier leur ami évaporé quelques instants auparavant. Et alors qu’il va aller pour le presser de questions, l’interroger avec insistance pour savoir ce qui a pu créer une telle frayeur, le coupable pointe enfin le bout de son nez… Ou, plutôt, de son museau, puisque c’est bien un animal, en l’espèce un raton-laveur à l’air farouche, mais probablement pas plus dangereux qu’un autre représentant de son espèce, qui descend soudain à toute vitesse et crache dans leur direction tout en courant vers la sortie enfin déverrouillée. Déjà, il s’échappe et disparaît dans l’obscurité d’une nuit tombante alors que Nash ne peut s’empêcher de lâcher dans un ricanement : « Tout ça pour ça, vraiment ? Va pour le feu, et si tu croise les autres, dis leur de se bouger les fesses, on va pas les attendre cent ans ! » Qu’il lance à Alex, plaisantant à moitié ; il savait qu’il serait certainement plus serein dès qu’ils seraient enfin tous rassemblés.
Déjà, Nash s’agenouille devant la cheminée pour mettre à exécution la tache qui lui est confiée, sortant de sa poche son briquet préféré, non sans avoir entassé petits bois et vieux journaux sur les bûches dans le foyer. Tout à son occupation, il perd un peu la notion du temps, jusqu’au retour d’Alex qui arrive juste au moment où les flammes accrochent enfin, ou le feu semble enfin prendre. « Bonne idée, ouais, puis on a bien mérité un petit remontant. » Mais, à peine a-t-il fini sa phrase qu’un nouveau bruit à l’extérieur attire son attention. Comme une voix… Aussitôt, Nash fronce les sourcils et tout en se redressant, lance : « Ils seraient pas aller se perdre, quand même ? Va voir ce qu’ils font, ils auront peut être besoin de bras supplémentaires. » Ils n’avaient quand même pris tant de bagages que ça, non ? Faisant signe à leur ami qui avait eu si peur de bouger un peu pour aller aider les autres à l’extérieur, Nash prend deux bières et en tend une à Alex avant de se laisser tomber dans un des fauteuils près du feu. Décidément, on était loin du week-end sympa qu’ils avaient envisagé.
Two Faces
Drop in the ocean
Signe Astro : Métier : Prénom : no names
Avatar : no faces Messages : 27 Dollars : 0 Date d'inscription : 26/02/2020 Crédits : praimfaya Débarqué.e à Los Angeles depuis : always . On me surnomme : no nickame , j'ai : a million ages et je suis né.e le : someday . Je suis : haters of humans et : each one . Aujourd'hui, je suis : all-fonctions
@Siegmar Luther & @Astrée Esposito, vous décidez donc de prendre la fuite en courant et arrivez à vous séparer de peu du tueur mais surement pas pour très longtemps car il continue de vous poursuivre. Vous traversez les bois en empruntant quasiment le même chemin que tout a l’heure et finissez par tomber sur Timothy que @Nash Ortega a envoyé vous chercher vous trouve. Il est pas très sûr de lui et particulièrement effrayé, mais toujours à cause du raton laveur, il ne se doute pas une seconde qu’il y a un homme derrière lui. Homme qui l’agrippe par les cheveux et le fait tomber en arrière sur le sol pour le traîner dans l’obscurité de la forêt juste devant vos yeux. Vous n’avez pas vraiment d’autre choix, vous essayez tout de même d’attraper Tim mais il est déjà trop loin. Vous finissez donc votre fuite et arrivez enfin dans le chalet.
Quant à @Alex Palmer Molina & @Nash Ortega, vous avez décidé de les attendre à l’intérieur. Vous les verrez donc débarquer en trombe.
Vous êtes invités à jouer la situation et pourquoi pas penser à barricader, par exemple… ou essayer d’appeler la police. Libre à vous de trouver une solution à votre problème majeur.
Alex Palmer Molina
I see fire
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Avatar : Zayn Malik Messages : 638 Dollars : 0 Date d'inscription : 28/01/2022 Multicompte(s) : Styx & Will & Dim & Low & Jo Crédits : march-mars Débarqué.e à Los Angeles depuis : Je viens tout juste de sortir de l'avion ! , j'habite : En plein cœur de Central dans un petit studio au dernier étage d'un immeuble. J'aime l'animation, le bruit, la foule, la couleur des néons dans la nuit et les odeurs de L.A. by night.. . On me surnomme : Alex est déjà mon surnom mais je suis ouvert à tous les petits noms ridicules , j'ai : 34 ans et je suis né.e le : 26 juillet. . Je suis : submergé par des eaux venus tout droit du passé et : exclusivement attiré par les hommes . Aujourd'hui, je suis : Responsable de la communication digitale pour une stat up qui va bientôt faire beaucoup de bruit !
J’attrape une des bières tendues par Nash et me laisse tomber à mon tour dans un fauteuil que j’ai rapproché du feu. Le soleil avait apporté une chaleur douce et réconfortante à l’après-midi mais depuis que le soleil avait disparu derrière les arbres centenaires de la forêt, les températures étaient descendues en flèche. C’est avec un soupire d’aise que je profitais de la chaleur des flammes qui venait réchauffer mes fringues après mon escapade nocturne à la recherche du générateur. Un regard vers l’extérieur me fait remarquer que l’obscurité à envahi les alentours, augmentant l’ambiance film d’horreur qui s’échappe de cet endroit. Il faut vraiment que je m’occupe de la réservation la prochaine fois. Pas que ce chalet perdu au milieu de nul part me déplaise fondamentalement mais il se dégage de ce salon des énergies qui me font froid dans le dos. J’essaye de rationaliser mes peurs en repensant à tout le cinéma que je me suis fait pour pas grand chose au final. Un rire m’échappe quand je croise le regard de Nash qui semble penser à la même chose que moi en observant le haut des escaliers.
Un raton-laveur, mec. On a tous flippé pour un raton-laveur.
Cette pensée me déclenche un nouveau sursaut de rire même si c’est surtout moi qui est flippé comme un gamin. Nash est plutôt du genre rationnel même si j’ai pu voir le doute s’emparer de lui pendant quelques secondes. J’avale quelques gorgées de bière avant d’entendre des pas précipités sur le côté de la maison puis sur le perron. La porte à la serrure cassée a été laissée entrouverte en attendant que le groupe soit réuni autour du feu.
C’est pas trop tôt ! Déso mais on a commencé sans vous !
Alors que je m'attendais à des railleries, c’est d’abord un silence de plombs qui s’abat sur la pièce avant que je ne me retourne, comme si la scène se déroulait au ralenti. Je comprends que quelque chose ne va pas. Astrée et Sieg ont le souffle court, les yeux écarquillés et une lueur de folie qui brille dans le regard. Puis le silence est brisé et tous les deux se mettent à parler très vite, en même temps. Je cligne plusieurs fois des yeux, tentant de comprendre quelque chose au charabia qui sort de leurs bouches. Je passe de l’un à l’autre et ne capte que des mots qui ne veulent absolument rien dire.
Oh ! Doucement les gars. Qu’est ce qui vous arrive ?
Je n’ai pas compris un traître mot de leur histoire mais les mains qui tremblent d’Astrée et le visage tendu de Sieg allument un signal de détresse dans ma tête. Une alarme illumine en rouge écarlate tout l’intérieur de mon crâne et ce mauvais préssentiment est de retour. Les cheveux dans ma nuque se dressent et cette fois, j’écoute le récit de mes deux amis. Un récit qui me glace le sang et me fige dans un état de détresse. Mon regard se tourne vers la porte restée ouverte, ma pomme d’adam monte et descend quand j’avale avec beaucoup de mal ma salive.
Ok. Faut qu’on bloque la porte, la serrure est pétée. Et si on poussait le buffet devant ? A quatre, on devrait pouvoir le bouger.
Avatar : Eliza Taylor Messages : 242 Dollars : 0 Date d'inscription : 01/08/2022 Multicompte(s) : Aria et les autres Crédits : loudsilence. Débarqué.e à Los Angeles depuis : 3 ans , j'habite : un duplex avec ma fille . On me surnomme : Ast' , j'ai : 32 ans et je suis né.e le : 12 décembre 1989 . Je suis : célibataire et : bisexuelle . Aujourd'hui, je suis : institutrice
Astrée n'est pas mon véritable prénom, en fait rien de ce que je raconte n'est vrai, je vis cachée depuis plus de sept ans
Courir, courir pour ma vie. Je ne pensais pas arriver à piquer un tel sprint mais depuis que ce type m'a agrippé le bras, j'ai trouvé des forcés inexploitée jusque là. On se précipite en dehors de la forêt. Pourquoi est on entrée dans cette maudite foret bordel ? L'image du corps de Peter me revient à l'esprit. Il est mort, non pire, il a été tué, et le tueur psycopathe est à nos trousses. Enfin on sort de la foret, j'ai mal partout, je me suis prit des branches, dans les bras, dans les jambes, mais je continue à courir vers la maison. J'entends toujours du bruit derrière nous. Alors qu'on vas se précipiter à l'intérieur, on tombe face à Timothy qui fixe un recoin sous la maison d'un air apeuré, je vais lui demander ce qu'il y a quand l'homme au masque arrive derrière lui, pas le temps de dire quoi que ce soit, l'homme attrape Tim, me figeant sur place. Ma main part vers lui pour l'attraper, le secourir, mais trop tard, déjà Tim disparait dans la foret. Il est mort, je sais qu'il est foutu et pourtant je ne peux pas me résoudre à le suivre pour tenter de le sauver, je sais que ce type aura ma peau si je retourne dans cette foutue forêt. Alors je me précipite vers l'intérieur où Alex et Nash semble très à l'aise, trop à l'aise. Voilà qu'ils nous disent qu'ils ont commencé sans nous. Comment n'ont ils pas pu se rendre compte du bordel qui se passe dehors? Je suis toujours paniqué, les images de Peter, de Tim se mêlent dans mon esprit et je suis toujours essouflée « Dehors... Peter.... mort... un type... Tim » Je suis incapable de m'exprimer convenablement et mon camarade ne fait pas mieux. Alex nous dit qu'il ne comprend rien, je tente de me maitriser, arrêter de trembler. « Peter est mort, y'a un mec qui rode dans les bois ... il a chopé Tim » En le disant à voix haute je me rend compte de la merde dans laquelle nous sommes. Je hoche la tête quand Alex suggère de bloquer la porte. Je fouille mes poches mais mon portable n'y est plus, il est tombé dans ma fuite. « J'ai perdu mon portable... faut appeler les flics.... » Il faut qu'on nous tire d'ici, je ne veux pas mourir, pas aujourd'hui en tout cas.
Alejandro Flores
In the air tonight
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Avatar : Diego Luna Messages : 335 Dollars : 0 Date d'inscription : 03/11/2021 Multicompte(s) : Benjamin Patterson, Juan Heredia, Peter Lloyd, Nicolae Townsend, Elliot Wilson, Keazy Brown, Camille Reynaud, Jésus L. Diaz, Adrian Vacaresco, Samuel Wilson Crédits : Ichi Débarqué.e à Los Angeles depuis : quelques mois , j'habite : en colocation forcée avec Scott . On me surnomme : Alex , j'ai : 39 ans et je suis né.e le : 12 juin 1983 . Je suis : en et : bisexuel . Aujourd'hui, je suis : technicien chimiste, mais actuellement je vis de petits boulots
« Vous avez flippé pour un raton-laveur. Il m’a pas fait peur, à moi, ce foutu animal. » C’est faux, bien sûr, et Nash n’est pas dupe une seconde qu’Alex en soit bien conscient. D’ailleurs, le sourire en coin qui flotte sur ses lèvres, pleins d’un humour auto-dérisoire, est bien là pour le prouver ; ok, Nash est connu pour sa mauvaise foi, mais il y avait des réactions qu’il ne pouvait malgré tout pas nier. C’était clairement stupide, mais oui, ils avaient tous totalement flipper pour un bête raton-laveur. Néanmoins, désormais tranquillement installé dans un fauteuil relativement confortable et surtout une bière à la main, il pouvait bien s’amuser à se moquer d’eux-mêmes, n’est-ce pas ?
Nash est toujours dans cet état d’esprit quand la porte s’ouvre soudain à la volée et que deux de leurs amis se précipitent à l’intérieur. C’est peut-être pour cela que sa seule réaction, au début, est simplement de lever sa bière vers eux, dans un salue un peu moqueur autant qu’une invitation à les rejoindre. Et c’est pour cela aussi, très certainement, que sa réaction a un temps de retard quand soudain, c’est un flot de paroles sans queue ni tête qui surgit du duo de nouveaux arrivants. C’est une blague, n’est-ce pas ? Ca ne peut être que cela ! « Putain, c’est pas drôle, les gars, arrêtez de raconter n’importe quoi sérieux… » Sauf que l’adrénaline précédente revient en flèche et, si Nash avait perdu toute couleur tout à l’heure, cette fois, le sang bat à ses tempes avec une ardeur non maîtrisée. Parce que ni Astrée, ni Siegfried n’ont exactement l’air de plaisanter. Et soudain, dans le petit chalet au fond des bois, le film d’horreur semble devenir réalité.
Dans un mouvement de réflexe, pressée par les supplications d’Astrée, Nash sort son portable de sa poche et lâche aussitôt une flopée de juron dans sa langue maternelle à faire rougir les plus endurcis de ses cousins : « J’ai toujours pas de réseau, je vais pouvoir joindre personne ! Et quelque chose me dit que ya pas de fixe, ici ! » Puis, les paroles d’Alex lui montent au cerveau et le regard qu’il jette à son ami est alors proprement horrifié. Il ne peut pas parler sérieusement, n’est-ce pas ? C’est impossible ! « Tu déconnes, on peut pas se barricader, si ce mec s’en est déjà pris à Peter, on peut pas le laisser faire la même chose à Tim, on doit aller l’aider ! » Lui, en tout cas, est tout prêt à bondir à l’extérieur si jamais personne ne l’arrête. Ils ne peuvent pas laisser mourir un autre de leurs amis !
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Avatar : no faces Messages : 27 Dollars : 0 Date d'inscription : 26/02/2020 Crédits : praimfaya Débarqué.e à Los Angeles depuis : always . On me surnomme : no nickame , j'ai : a million ages et je suis né.e le : someday . Je suis : haters of humans et : each one . Aujourd'hui, je suis : all-fonctions
Peut être que choisir un vendredi 13 pour aller en forêt dans un chalet n’était pas votre meilleure idée. Mais c’est un peu tard pour changer d’avis n’est-ce pas ? Vous semblez donc vouloir vous barricader dans la maison mais… pas tous visiblement. Surement que ce dernier a un élan héroïque à vouloir sauver Tim… ou peut être est-ce la culpabilité d’être celui qui l’a envoyé dehors chercher les autres, n’est-ce pas, @Nash Ortega ? Personne ne semble être capable de te raisonner, de toute façon, donc tu passes le pas de la porte que tes amis rêvent de voir fermer pour ne surtout pas revoir le tueur et encore moins le voir entrer dans le chalet et tous les tuer. Tu avances donc sur le perron et regarde tout autour, mais tu ne vois rien, pas le moindre signe de vie. Tu prends ton courage à deux mains, tu avances et descends les escaliers, puis tu fais le tour de la maison. Et derrière toi tu entends un bruit. Le bruit de quelques choses qui roulent dans les feuilles mortes. Tu te retournes et voit littéralement la tête de ton ami Tim roulé jusque toi.
Tu as deux choix pour tenter de fuir : - Tenter de rentrer à nouveau dans la maison et finalement aider les autres à se baricader en passant par l’entrée alors que la tête vient de cette direction. - Ou tenter de faire le tour et rentré par le balcon de l’étage, mais rien ne promet que ce soit ouvert.
Quant à @Alex Palmer Molina et @Astrée Esposito, vous vous affairez donc déjà à barricader les fenêtres et les autres entrées ou vous sortez vous aussi pour ne pas laisser Nash tout seul ?
@Siegmar Luther, toi, tu sembles tellement tétanisé que tu reste immobilisé devant la porte et… le tueur est juste devant toi, aucun son ne semble parvenir à sortir de ta bouche et ce dernier t’assomes, une fois au sol, il t’enjambe et se précipite sur les autres. Tu reprends connaissances quelques minutes plus tard, tentes tu de l’arrêter en l’assomant à ton tour ou tente tu de trouver tes amis quitte à risquer à ce que l’autre les trouve avant toi ?
Two Faces
Drop in the ocean
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Un drôle de week end en montagne, n’est-ce pas ? Vous aviez prévu de juste vous noyer dans l’alcool et profiter du lieu soi-disant idyllique. Mais finalement, au lieu de vous noyer dans l’alcool, c’est dans le sang, votre propre sang. Vous semblez ne pas avoir réussi à fuir, fatalement. Si seulement vous aviez branché la ligne téléphonique !
@Nash Ortega, tu étais donc dehors, tu as vu la tête de Tim que tu avais envoyé dehors roulé devant toi. Peut être était-ce la culpabilité, même si tu ne pouvais pas savoir, peut être juste étais-tu terrifié, mais tu t’es figé quelques secondes avant de décider de retourner à toute hâte dans la maison pour prévenir les autres. C’était à ce moment-là que tu es tombé sur @Siegmar Luther qui était inerte sur le sol. L’aidant à se relever à son réveil, il dit que le tueur est dans la maison. Alors à deux vous tenter de vous cacher dans un placard.
En parallèle, @Astrée Esposito & @Alex Palmer Molina, vous étiez à l’étage pour barricader les fenêtres et les portes et c’est là que vous avez entendu les escaliers grincer. Quelqu’un montait, ce n’était pas votre ami et vous l’apprirent à vos dépends. Astrée, tu te mis à hurler quand tu l’as sentit t’attraper par les cheveux. Il te tient donc et finit par te trancher la gorge. Ton corps tombe sur le sol. Quant à toi Alex, tu es témoin et ton instinct de survi te pousse à te jeter sur le tueur. Mais il prend le dessus et te projette au sol. Tu n’as pas le temps de te relever qu’il te traine au sol par le pied.
Tu sens les marches de l’escalier te percuter le dos, impuissant puis te jette dans l’âtre de la cheminé qui était allumée. Tu cris de douleur et il te tient jusqu’à ce que tu ne bouges plus.
Tes deux amis, eux, sont toujours caché dans le placard mais entendent absolument tout. Siegmar panique et fait du bruit sans le vouloir. Les conséquences fut assez rapide, la machette du tueur se plante à travers le bois et transperce Nash sous tes yeux. Tu tentes désespérément de ne faire aucun bruit mais le corps de Nash qui tombe ouvre les portes. Et tu subis alors le même sort.
Vous auriez plutôt dû choisir des vacances à la plage...
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Mer 2 Nov - 16:07
