elle sait pas trop quelle mouche l'a piquée. elle avait vu passer l'invitation, l'a automatiquement déclinée. et pourtant there she is, 31 octobre, 22h, halloween party. cascade brune sur robe rouge, maquillage tout aussi incandescent, le strict minimum pour paraître "déguisée" pour l'occasion, elle guette, aurora. venue en transports jusque là, elle attend son cavalier d'un soir. non, non c'est pas son cavalier, ils sont là entre copains. n'est-ce pas ? elle essaie de se convaincre la gosse. kinda. gêne et tension instaurée entre elle et ariel depuis quelques jours déjà... depuis ce matin là. elle avait rarement si bien dormi, rory. elle s'était réveillé presque accrochée à ariel, et non, c'était pas parti. elle pensait qu'en dormant, ça passerait. mais l'envie de l'embrasser était toujours aussi vive. et les jours suivant au club, elle était restée concentrée sur son travail avant le reste. répétitions, costumes, prestations, rentrer. sourire et rire en discutant avec bebe. parce que ça a toujours été comme ça entre eux. parce que ça doit pas changer. et si elle était paranoïaque ? et si elle se laissait porter ? non. pire. et si elle le perdait ? alors elle s'est sincèrement convaincu qu'elle l'invitait à venir avec elle simplement pour s'amuser. c'est pas la première fois qu'ils sortent, de toutes manières. alors pourquoi ? pourquoi a-t-elle mis tant de soin à se préparer cette fois ? et surtout, pourquoi y a son coeur qui bat quand elle se retourne et qu'elle le voit ? mains liées dans le dos, sourire évasif, énigmatique. celui qui se colle depuis quelques jours automatiquement sur ses lippes. « hey... t'as pas eu trop de mal à venir ? » surtout, ne pas commenter combien il est - encore - beau aujourd'hui.
C'était rare que bebe prenait congé du redlips. Chaque dollars comptaient. Mais quand rory l'a invité à cet espèce de fête d'halloween, il n'avait pas pu dire non. Incapable de décliner l'offre fait par la brune. Troublé par celle-ci depuis quelques temps. Combien de temps ? Il ne saurait le dire, mais c'est devenu pire depuis qu'Ariel a dormi avec elle. De sentir sa chaleur près de lui, ça ne s'explique pas encore aujourd'hui, l'effet d'apaisement que ça lui a procuré. Intense. bebe a toujours eu un oeil sur rory, mais avec le temps, il avait préféré ne rien tenter. Nymphe qui n'avait pas l'air intéressée puis, ils avaient une belle amitié. Pour une fois, quelqu'un se soucis vraiment de lui, de comment il va... il ne pouvait gâcher ça. Et ce qui devait arriver, arriva ce matin-là. La tendresse. L'affection échangé de façon équitable, restait dans sa tête. La douceur de sa peau, qu'il pouvait encore sentir sur la sienne. Alors, le gamin avec accepter et avait prit congé pour elle, prétextant qu'il ne bossait pas. Un petit mensonge de rien du tout. Et puis, c'est quand la dernière fois que bebe s'est éclaté à une soirée ? Y'a un bail. Déguisé en Clyde ; pantalon noir skinny et troué, chemise blanche retenue par des bretelles noires. Il avait relevé ses manches au trois-quarts, laissant voir ses bras tatoués. Un chapeau noir et des souliers propres accessoirisent son costume. Concept. Interpréter un bandit quand on en est un, c'est presque une blague et ça fait rire bebe. Son pote le dépose près de l'adresse, lui laissant le soin de marcher juste un peu, le temps d'une clope. Bout rouge qui s'allume, fumé opaque qui s'échappe de ses lèvres alors que ses pas le mènent vers la sublime sirène qui ne tarde pas à prendre la parole. Sourire en coin, il secoue la tête de gauche à droite, recrachant sa boucane de clope ; no, mon pote connait bien LA. T'aurais pu m'le dire tho, j't'aurais ramasser chez toi. Il s'approche encore d'elle, éloigne sa cigarette dans son dos et se penche, lui faisant la bise. Sur chaque joues, accrochant sa hanche de sa main libre en même temps. T'es jolie, by the way. Charme sur les lippes, incapable de ne pas en faire. Oh tien, qu'est-ce que ? Il est nerveux. Putain, ça va devenir une habitude d'être aussi stressé en sa présence, c'est n'importe quoi!
c'est indécent de lui faire ça. et elle peut pas s'empêcher de cligner des yeux plusieurs fois, aurora. quand il se prête au jeu, ariel, il le fait et il le fait bien clope au bec, chemise laissant entrevoir ses tatouages sur une peau légèrement dorée par le soleil californien, l'ensemble de ses vêtements lui allait... beaucoup trop bien. si bien qu'elle peut pas s'empêcher de baisser les yeux, aurora. rien qu'une seconde (( une seconde de trop pour son propre bien ? )) avant de relever les yeux vers son visage. « oh.. t'inquiètes, je bougeais pas mal aujourd'hui de toutes manières. » faux, elle est restée chez elle, s'est préparé chez elle. il approche, apnée de la gamine (( nervosité presque agaçante mais devenue étrangement familière ces derniers jours passés près de lui )), lippes qui viennent épouser les joues féminines. et si sa paume étreint sa hanche, c'est à l'épaule qu'elle se tient, rory. sourire doux lorsque le compliment échappe au blond. des heures de préparation qui n'auront pas été vaines, au moins. « merci. » elle baisse les yeux, effleure le tissu qui couvre les épaules encrées. « ces bretelles c'est indécent sur toi. » merde, elle vient vraiment de répondre ça ? électrochoc. les doigts se détachent, et avec, la silhouette de la jeune femme. « hm.. on y va ? c'est par là. » les talons tournent, la robe avec, nymphe ondulant en direction de la demeure gigantesque. « j'étais au au collège avec madison. elle a fini par se marier avec un fleuriste de stars. forcément, ça change le décor. » passer des quartiers moyens (ou a grandi la gamine avec sa famille) de LA aux baraques lumineuses et modernes de beverly hills. elle longe l'allée menant à la demeure, bordée de fleurs. on devine aisément quelle est la profession du mari de son amie. mais également... qu'ils ont vu les choses en grand, car la musique tonne jusque dans la rue. elle pousse la porte sans frapper, rory. de toute manières, personne ne l'aurait entendue. tout le monde est déguisé, danse, saute, crie. « ça me rappelle les soirées quand j'étais à chicago ! » qu'elle crie en regardant ariel par dessus son épaule avant de filer dans la foule. tend les doigts en arrière pour attraper les siens. juste pour pas le perdre... hein ? madison semble perdue dans la masse. la brune sonde la foule du regard, avant de s'arrêter près du bar. « tu veux boire quoi ? »
Y'a l'odeur sucrée de son parfum qui grimpe à ses narines, qui le force presque à être plus lent dans sa bise à la nymphe. Ils s'accrochent à l'autre maladroitement, comme par peur de trop en faire -ou pas assez?- Et bien qu'il lui donnerait volontiers sur les lèvres, il s'abstient. C'est presque obsessif depuis ce matin-là, cet envie de l'embrasser. Il se contente alors, de la complimenter sur sa beauté, profitant d'halloween pour le faire, bien qu'il pourrait lui dire soir après soir. Surtout quand elle quitte le bar, les cheveux défait en chignon négligé, les sneakers aux pieds et des vêtements casual. C'est son moment préféré, à bebe. Quand elle est en coton, sans maquillage... parce que c'est là qu'elle est magnifique. En déshabillée ou nue, elle est sensuelle, sexy et même fatalement bonne... mais y'a cette part d'elle qu'Ariel à la chance de voir, chaque jour et ça... ça c'est vraiment beau. Compliment qui revient à demi, s'exclamant sur les bretelles ; avoue! J'adore ce style aussi, c'est trop bien. Qu'il dit en se regardant un peu, sentant son coeur battre un peu plus vite l'espace d'un instant avant de reprendre son rythme normal. Sirène qui s'éloigne, ouvre la marche à bebe qui la suit docilement. Nerveux d'entrer dans un endroit qu'il ne connait guère, remplit de gens inconnus, sans coke. Complètement sobre ce soir, il joue nerveusement avec ses bretelles, fixant les pieds de rory qui marche devant lui. Elle explique son lien avec l'hôte, fait sourire bebe sur le coin de ses lèvres ; l'argent amène pas l'amour dans une maison. Que le blond marmonne en jetant sa clope à ses pieds, l'écrasant par le fait même. En ouvrant la porte, c'est un autre monde qui s'ouvre, le pousse dans ses souvenirs, le retranche dans ses mémoires. Poupée qui se tourne, crie et force bebe à s'approcher same. Université oblige. Ariel retrousse le nez en souriant, avant de baisser les yeux sur les doigts graciles qu'elle tend vers lui, question de ne pas se perdre dans cette foule. C'est pour ça, right rory ? Gamin qui attrape ceux-ci du bout des siens, captant quelques échanges loin d'être catholique dans le coin des escaliers. une bière si possible. Y'en a ? Que demande l'enfant, s'approchant de son épaule fine pour pouvoir regarder par-dessus. Juste pour ça, évidemment...
elle se contente de sourire, fort, mais ses yeux ma trahissent. trahissent les pensées impérieuses, automatiques. oui ça te va bien Ariel. trop bien même. et elle se contente de s'évader la brune. suit le chemin sinueux et fleuri conduisant à l'entrée de la demeure. qui doit faire facilement quinze fois la taille de son petit appartement du sud de LA. la remarque de bebe fait rire la jeune femme. « aux dernières nouvelles elle l'aimait écoute, maintenant... je sais pas si c'est lui qu'elle aime ou le confort qu'il amène. » au début sur Instagram c'était l'amour fou.. les photos partout. rory elle s'était même surprise à être jalouse, alors à l'école de danse, incapable de se caler dans une relation stable et incertaine quant à son avenir sentimental. la danse avant le reste. puis les photos s'étaient progressivement estompées et espacées pour ne laisser plus que le luxe, les voyages, et elle. une raison de plus pour la belle de ne pas y croire, à ces conneries. l'amour, ça ne dure pas. ils passent la porte, ariel et rory. slalomant entre les âmes déjà pour la plupart bien éméchées. comme un goût de party étudiante dans les confréries universitaires. et les doigts se tendent, s'accrochent, se tiennent à ceux de bebe pour ne pas le perdre dans la masse. poupée qui voit bien les regards féminins qui se portent sur le nouvel arrivant dans la salle. elle serre plus fort, aurora. tire jusqu'aux boissons où elle se sert, rapidement, un verre de punch. « je crois que oui attends... » elle fouine dans le bac à glaçons, en sort la bouteille qu'elle tend par-dessus son épaule... ou se trouve son visage. souffles qui se frôlent, s'affrontent, gamine muette demeure immobile un instant. « hm.. tiens.. voilà. » elle relâche la bière, rory, mais elle ne bouge pas. scrute les dorures qui lui font face, jusqu'à ce qu'une voix l'interpelle. aurora c'est bien toi ? tourne la tête vivement pour y voir... « madison, salut ! » grande blonde aux allures de mannequin - et aux lippes assurément gonflées - déguisée en infirmière sanglante. plus sexy que sanglante si vous voulez l'avis de rory. wow j'étais sûre que tu allais encore trouver une excuse pour ne pas venir ! et.. elle lève les yeux vers Ariel. regard qui en dit long sur les pensées de la blonde. clairement l'argent n'amène pas l'amour dans une maison. mais elle amène des proies. et sans réfléchir elle attrape la main de bebe aurora. rapproche la paume de sa hanche, colle son dos contre le torse masculin. « ça te dérange pas si je ne suis pas venue seule ? j'ai pas prévenu... » elle tourne les yeux vers Ariel. proximité volontaire. « ariel, maddy. maddy, ariel. »
bebe ne peut croire que l’amour dure, s’il y a le luxe que d’un côté. Bebe croit fortement que si c’est uniquement l’un des deux qui a le portefeuille, fatalement, l’autre est là pour celui-ci. Peut-être n’a-t-il jamais eu de bon exemple, peut-être est-il pessimiste, n’empêche qu’il n’a pas de preuve concrète d’un amour simple quand l’argent y est. Avançant parmi les corps obsolètes, humides et réchauffés, ariel suit la nymphe du bout des doigts. Elle cherche, de ses yeux foncés, une bière pour bebe qui s’approche pour regarder par-dessus son épaule, force une proximité inconsciente. Ou peut-être consciente. Il sourit doucement, prenant la bière alors que leurs respirations ce mélange tant ils sont près de l’autre. Affrontement des opales qui s’arrête bien vite quand une voix interpelle la danseuse. Ariel suit la voix, tourne les yeux dorés sur Madison qu’il ne connait pas. Blonde pulpeuse avec des jambes de dingue, bebe ne peut s’empêcher de la reluquer quelques secondes. Il ne peut s’empêcher de se dire qu’elle est fake. jolie, mais fake. Expression presqu’aussi fake qu’elle, feint l’étonnement. Du moins, du point de vue de bebe. Madison lui échange un long regard, de haut en bas, détaillant le barman d’une drôle de façon. Eh, qu’est-ce qu’il disait ? L’argent n’apporte pas l’amour dans une maison quand, de ses yeux de biches, elle lorgne la carcasse masculine avec envie. La nymphe qui se rapproche de bebe, force une proximité avant de faire les présentations officielles. Bebe qui sent la chaleur du dos de la sirène contre le tissu de sa chemise, étire sa main libre vers Maddy « très jolie maison, Madison. » qu’il dit en souriant, voulant être poli. En vérité, il n’a même pas prit le temps de regarder la baraque. Il s’en fou du luxe, bebe. Il n’en a pas besoin pour être heureux.
elle devine avec aisance, la danseuse. a passé suffisamment d'années aux côtés de la blonde pour lire ses pensées dans ses yeux bleus. et bien sur qu'ariel lui plaît, il faudrait être compliqué pour que ce soit le contraire. gamine qui s'impose inconsciemment, cherche à protéger son ami de l'infidèle. c'est ça qu'elle fait non ? protéger son ami d'une épouse adultère. et il tend la main, ariel. salue la blonde en complimentant sa demeure. et bien entendu le regard de biche papillonne. merci. faites comme chez vous je vous en prie ! sourires indécents et posture mettant les courbes en valeur, elle se donne en spectacle maddy. et même si rory l'apprécie... intérieurement elle fulmine, la langue qui passe avec agacement le long des incisives avant de récupérer son sourire poli lorsque Madison semble enfin se rappeler l'existence de son amie. « merci mad. on va pas te retenir plus longtemps je crois qu'on attend ta présence là-bas. » elle désigne du bout du doigt la piscine sur la terrasse, où effectivement un groupe d'autres jeunes fortunés lui font signe. oh... oui. je reviendrai vous voir hein ! il faut qu'on rattrape le temps perdu... puis j'aime faire de nouvelles rencontres. le regard clair qui coule une nouvelle fois en direction du blond avant de s'évaporer. « bien sûr... » elle souffle, la brune. parfaitement consciente du fait qu'elle ne reverra pas madison de la soirée. comme à chaque fois. quoique... elle a une raison de revenir cette fois. elle pivote avec son verre, fait face à ariel. « tu lui a tapé dans l'œil. » juste au cas où tu ne le savait pas.
Bla-bla. bebe n'aime pas les conversations superficielles. Il n'aime pas quand, les gens parlent pour faire du bruit. Parfois, le silence est moins malaisant que ce genre de conversation. N'empêche qu'elle est gentille, la Madison. Malaisante, mais gentille. Son regard qui ne déroge pas d'Ariel, comme si elle voyait au-travers de ses vêtements, le rend inconfortable. La nymphe qui se colle près du blond n'arrête guère l'hôte de papillonner des yeux, souriant de ses dents blanches. En plus d'être mariée, normalement rory est sa pote... dans quel époque vit-ont ? Les femmes aux deux, les hommes aux trois. L'infidélité qui prône dans chaque relation, fidèle qu'à l'argent facilement fait. Le confort avant l'amour. Chose qu'ariel trouve déplorable. Lui, jaloux comme mille, ne pourrait pas toléré une fille comme Madison. Ça finirait en meurtre passionnel. ariel n'est pas sain, en couple. C'est tout ou rien. Tout blanc ou tout noir. Pas de zone grise. Il aime à s'en rendre malade, pourrissant les autres autour de lui. Aussi simple que ça. Habillé comme lui ce soir, il en connait, de ces gens-là. Ceux qui sont près à t'faire faire un tour de coffre arrière sans sourciller. Il est toxique, bebe. Ne pense plus rationnellement quand le coeur s'en mêle. Voix de la nymphe qui le ramène sur terre, alors que l'hôte s'éclipse non pas sans jeter un regard derrière elle. Hm? Il hausse un sourcil, fixe rory qui lui fait maintenant face ; ça pas l'air d'te plaire toi, en tout cas... coince sa langue entre ses canines, porte le goulot à ses lèvres en haussant les épaules. Elle peut bien roucouler... j'aime pas ce qui est superficiel. Que ce soit les relations ou les gens.
elle regarde don amie s'éloigner presque avec soulagement. elle aurait dû se douter que maddy ferait les yeux doux à ariel. déjà au lycée la blonde n'était pas du genre stable et fidèle. il fallait croire que le mariage ne l'a pas apaisée. probablement le contraire même. elle pivote la brune, remarque l'évidence avec amertume. ça a pas l'air de te plaire toi en tout cas.. les yeux noirs s'évadent. regardent en biais, pour se perdre sur son verre à moitié vide. « j'ai pas dit ça. » mais non rory t'es clairement pas fan et ça se voit. et il renchérit, bebe. épaules qui se détendent lorsqu'il dit ne pas aimer la superficialité. « hmhm.. » elle fronce le nez, termine son verre d'une traite avant de s'écarter de bebe. « okay. qu'est-ce que tu as envie de faire ? sortir dans les jardins ? danser ? » fausse attitude désinvolte de la poupée qui recule, ondule sur le rythme de la musique assourdissante. aura magnétique, c'est plus fort qu'elle, rory. il faut qu'elle bouge partout ou il y a de la musique. elle attrape dans un bol une poignée de bonbons, tend l'un d'entre eux au blond. « un bonbon ou un sort ? » question mimée du bout des lèvres, musique couvrant la voix de la belle qui glisse une autre sucrerie entre ses lèvres carmin.
Nymphe qui évite son regard, s'éclipse vers son verre. Défensive instantanée ; elle n'a jamais dit ça. bebe ressent le besoin de fermer sa gueule, de ne pas renchérir, même en blague. Comme si elle pouvait se fâcher, bien que la vérité choque... en effet. Préfère laisser mourir le sujet, mais elle ne semble pas le croire? Du moins, selon ses traits quand il dit qu'il n'aime pas la superficialité. Étrange rory, ce soir... il fronce les sourcils, ne comprenant pas trop sur quel pied danser. Amusant jeu de mot quand, de ses pas limpides, elle commence à bouger, prenant soin de demander à bebe ce qu'il voudrait faire. La bière entre les dactyles, il regarde la sirène onduler allégrement sur le rythme, puis elle prend un bonbon. Lui tend. Murmure perdu dans les résonnances des enceintes stéréos qui hurlent, bebe s'approche lentement. Y'a ce sourire étrange sur les lippes en s'approchant d'elle. Il dérive jusqu'à son oreille ; un sort... surtout si c'est toi qui l'donne. Secret avoué, le blond recule en lui retirant le bonbon des doigts. Clin d'oeil lancé à la volée, bebe le fou entre ses lèvres où flotte toujours ce sourire étrange. Envie soudaine d'une ligne. Les gens, la musique, la chaleur... entre la panique et son envie, bebe passe la langue sur ses dents j'reviens ! Qu'il crie pour enterrer la musique, tourne les talons et cherche la salle de bain. Cette baraque va le rendre dingue, carrément. Grimpe le majestueux escalier, a presque peur de toucher à quoique ce soit, arrive à l'étage en regardant autour de lui. Fuck! C'est trop grand, il sait même pas où il trouvera une salle de bain. Une foutue salle de bain. Alors, prenant un guess, il ouvre une porte. C'est clairement pas ce qu'il cherche, mais plutôt un immense bureau. Soupire. Referme la porte. Ouvre la suivante. Une chambre. Et il pourrait jurer que c'est une chambre d'invitée. Immaculé, aucune photo. Que des cadres floraux. Tant pis. Il entre, se disant que c'est probablement le meilleur endroit pour se faire une ligne. C'est pas la salle de bain, mais putain c'est que... il l'a trouvera jamais dans cette demeure!
@Aurora Moon (j't'ai laissée ça ouvert pour en faire c'que tu veux :please2: )
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Ven 30 Oct - 1:12
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